Bouandès (Village kabyle de Sétif) : « Ma mère s’est vue rejeter sa demande de logement parce qu’elle est chrétienne »

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Chrétiennes kabyles
Chrétiennes kabyles

SOCIÉTÉ (Tamurt) – Une femme, originaire de la daïra de Bouandès (région kabylophone de Sétif) s’est vue rejeter sa demande de logement social par la commission de daïra à cause de sa chrétienté.

C’est ce que nous avons appris auprès de son fils aîné prénommé Samir. Ainsi, les autorités de Bouandès, rongées jusqu’à la moelle par leur phobie à l’égard du christianisme, ont osé piétiner l’article de la constitution algérienne garantissant la liberté de culte et de conscience à tous les Algériens.

Selon les textes en vigueur en matière d’attribution de logements sociaux en Algérie, c’est une commission de daïra qui examine les dossiers des demandeurs pour les classer selon leur situation sociale. Les plus démunis et ayant un logement précaire étant prioritaires.

Cependant, l’administration algérienne, envahie par des fanatiques, a rejeté la demande de cette veuve, mère de trois enfants et vivant dans une demeure des plus vétustes. Son seul tort est d’être kabyle et de surcroit, chrétienne.

Décidément, il est difficile pour un kabyle non musulman de vivre sa croyance en toute quiétude.

29 Commentaires

  1. Mr , le village de Bouandes est en Kabylie et non ailleurs, merci pour l information qui reflète la connivence du pouvoir en Algérie avec l’intégrisme islamiste.

  2. Cette mafia n’ qu le pouvoir qui lui est cede’ – Les Islamistes ont bien prouve’ a qui a besoin de demonstration qu’elle(mafia) ne connait qu’un language, celui qu’elle pratique – Le debouz !

  3. Une seule solution et une seule ! :

    que la{{ {{ KABYLIE REDEVIENNE KABYLE !}} }} et que son peuple cesse de se dire « algériens » !

    aucun kabyle ne peut vivre et demeurer dans la ouma islamiya égorgeuse.

    {{ {{ {{C’EST À PRENDRE OU À LAISSER !}} }} }}

  4. {{Fadhma N-Soumeur, Hand Umari, et l’O.S.}}

    {{HAND OUMERI}}

    – {{ Biographie d’Ahmed Oumeri}}

    Ahmed BELAID alias Oumeri, fut un descendant d’une famille qui a perdu sept hommes durant la résistance des At-Buwaddu à la conquête française en Kabylie. Alors que tout le pays s’était rendu à « l’évidence » et avait « accepté » les auspices de la France protectrice vers 1849, cet Âarch résista sept longues années encore aux assauts répétés et meurtriers des conquérants (1850 – 1857)

    Le colonel Robin écrivait dans la « Revue africaine » qui relatait alors la chronique de la conquête de la Kabylie : « Les Beni-bou-Addou qui, malgré le sac de leurs principaux villages en 1856, étaient restés insoumis, furent encore les derniers à rentrer dans le devoir en 1857. »

    Plus tard, ils s’associèrent aux troupes de Fatma n Soumer, puis, prirent part au soulèvement d’El Mokrani… Les sept guerriers des Ath Hammou, ancêtres de Ahmed, qui périrent alors ont été exécutés par les soldats du général Lerez du 5è RTA. Depuis, cet adage est né pour traverser les années et les générations dont celle de Ahmed et parvenir jusqu’à nous : « W’i bghan ad yissin xellu, imuqel s-afrag n At-Hemmu » Les répercussions psychologiques traumatisantes des rudes épreuves de cette période, particulièrement sanglante de notre histoire, sur les populations, se sont donc transmises – la tradition orale aidant – de génération en génération.

    Ahmed Oumeri voit le jour sur hameau suspendu au pied des crêtes du versant Nord-Ouest de « la montagne de fer »Les Aït-Bouaddou, menaient une vie somme toute identique à celle que menaient leurs compatriotes indigènes. Une vie faite d’indigence et d’injustice. Le petit Oumeri grandit au milieu de cette agressivité constante des milieux social et naturel qui forgera par la suite son amour de la justice, de la liberté mais surtout son courage.

    Le mouvement nationaliste commençait à se cristalliser et à prendre racines dans les couches populaires. L’ENA puis le PPA tentaient de se doter d’une base solide pour pouvoir mener leurs actions de sensibilisations aux contrées les plus éloignées et faire vibrer les fibres patriotiques de leurs frères autochtones.

    Puis, éclata la IIè guerre mondiale et tout désormais, dépendait des tournures que va prendre cette nouvelle tragédie qui venait alors s’ajouter au malheur des algériens.

    Pour que la France « protectrice » ne tombe pas entre les griffes du nazisme, les Algériens sont mobilisés puis expédiés au front. Les villages de Kabylie ne portaient plus dans leurs ruelles que vieillards, femmes et enfants.

    Le jeune Ahmed Oumeri, quant à lui, se retrouva à Sedan, à la frontière francobelge…Prenant conscience que son combat devrait se faire chez-lui, il déserta en 1941.

    Arrêté puis emprisonné à la caserne de Belfort (actuelle El Harrach) où il fut réincorporé au régiment de « la marche des Levants », où, après des tractations et après avoir eu le soutient de la direction du PPA, Ahmed Oumeri organisa une mutinerie qui échoua. Sa déception fut des plus vive quand, le jour même de la révolte carcérale, Messali Lhadj appela les mutins au calme… et à se rendre !

    Ahmed Oumeri réussit sa tentative d’évasion et opta aussitôt pour le maquis contre le colonialisme à la manière des ancêtres. Il rançonnait les « amis » de l’aroumi dont les rançons allaient sans prendre le moindre détour aux plus démunis. « …Il n’arrêtait les cars que pour faire crier à plusieurs dizaines de voyageurs : Vive le PPA, vive l’indépendance… »Un témoin oculaire de ces scènes serait encore en vie.

    Pendant ce temps là, la propagande colonialiste associée aux différentes pressions de ses ennemis, dans une époque où les seuls canaux d’information « sensés » éclairer des populations, en majorités illettrées, étaient propriété de l’administration coloniale, ont fait que les plus illuminés ont cédé et les diffamations les plus invraisemblables et les plus immorales avaient prit les allures de vérités incontestables.

    Mr M.A. Brahimi, dans un travail d’investigation d’envergure, révèle l’existence des contacts entre le groupe d’Ahmed Oumeri et les responsables du PPA-MTLD. En effet, il s’apprêtait à rejoindre l’O.S, convaincu enfin par Krim Belkacem après des années d’efforts.

    Oumeri fut assassiné dans un guet-apens tendu par l’administration au village Iaâzounen, au domicile de son compagnon d’armes Ouacel Ali, le jour même de la création de l’organisation (O.S.).

  5. « L’islamisme est au pouvoir! Malgrè le peuple les agents de l’Arabie Saudites occupent l’Algerie de fait. Un semblant d’institutions formelles font sembler etre libres à la masse arabe. Le verbe d’allah pour tous à remplacé le socialisme de jadis, mais avec les memes personnes les memes certitudes, la meme agonie! Sous leur socialisme arabe leur islamisme arabe des Qardaoui, les libertès ont toujours été leur premiers ennemis. La visite de Chirac est la contre preuves du regime: un peuple entier avait demandè le visa. Dès qu’ils ont 4 sous ils sentent la grandeur mal placée: voilà le projet d’une grande mosquée pour l’élevage industriels de futurs terroristes. Pendant que nos voisins sans rien crèent des capacités productives et un ancrage avec les pays qui comptent nos emirs avec ou sans barbes se font amis de toutes les aventures sans issues: importer des palestiniens, se faire le trapontin de l’iran et lesiver les chaussettes des Saudiens, alors que ces derniers soutienent le Maroc quant au probleme du Polisario et investissent en Tunisie et Maroc mais pas en Algerie! Pour nous faire avaler la supositoire on parle de moudjahidines or le parlement pillule de harkis. De quelle independance parlez vous? » Par Kaci

  6. C’est une des raisons pour lequelles, seule l’autonomie peut sauver la region, meme si certains en sont encore un peut febriles a l’idée, mais au vue de ce qui se passe quotidiennement, c’est une idée qui fait son bout de chemin a grand pas chaque jour.

  7. La fille de Si El Houas—Dr Naziha Hamouda—a ecrit plusieurs livres en anglais traitant de sujets antropologiques des Amazighs des Aures avant d’etre liquidee physiquement comme Mouloud Mammeri par les colons terroristes arabo-islamo-nazis en 1989.

    Elle s’est revoltee dans ses travaux contre l’islam colonial en demontrant scientifiquement que les Amazighs n’ont jamais accepte cette religion imperialiste et coupeuse de tetes volontairement—mais qu’ils ont ete contraints de le faire par la terreur des imperialistes egorgeurs mahometans !

    Voici l’un de ses livre ou elle explique que l’islam n’a jamais ete accepte par les Amazighs!

    – [Rural Women in the Aures: A Poetry in Context->http://www.jstor.org/pss/40178847%5D by Naziha Hamouda

    P.S. Quelqu’un peut-il nous passer sa biographie et sa bibliographie completes ? Merci !

  8. Une bonne lecon de patriotisme Chaouii aux chouis arabo-islamo-izzanises par le colonialisme mahometan genocidaire antichaoui, antikabyle, antimzab, antichenwi, antitwareg, antizenata, … anti-tous-les-amazighs qui constituent la seule population de Tamazgha centrale.

    – [Acawi itqewid amugumi…itsefiq, iqar tahya, tahya brizadan…Acawi itaru taravt guizane…->http://www.youtube.com/watch?v=z9_d2qy4iZc&NR=1%5D

    ————————————————————————————————————————————–

    – [Hommage à la fille de Si El-Houas : Dr Naziha Hamouda->http://www.youtube.com/watch?v=c4hj6SKijZQ%5D

    Auteur : Aures

    Date : 07/03/2008 16:54

    Hommage du poète écrivain M. Messaoud Nedjahi au Dr. Naziha Hamouda

    Sur le site de l’’album Iwal, voir le lien ci-dessous, on peut lire :

    « Radio Aurès, avec à sa tête Madame Fatima Yahia Bey – Nedjahi et Monsieur Messaoud Nedjahi ont tenu à rendre hommage à cette femme irremplaçable que fut Naziha Hamouda (Iwal pour les Chawis) »

    Au fait, notre grand penseur M. Messaoud Nedjahi ne lui a pas rendu hommage uniquement par ses chansons mais AUSSI par ses écrits.

    En effet, plusieurs chapitres de ses oeuvres sont consacrés entièrement ou partiellement à yellis n Si lhouas : Naziha Hamouda (er-rehmet n Rebbi fellasen – nettat d war n Babas)

    À titre d’exemple, citons les chapitres suivants :

    – « Iwal ou La Femme qui racontait des histoires » in « Aurès insolite », pp.11-40 Tout le chapitre lui a été dédié

    – Un autre chapitre est intitulé, et en son honneur, « Le rêve d’Iwal » in « Jugurtha l’héritier du coquelicot », pp.687-111

    – « Le jour d’avant » in « Tamenraset sous la neige », pp.23-62 Dans ce chapitre on peut lire des passages relatifs à son accident de voiture en 1989. Voici un extrait :

    [ …« Je vais demander conseil auprès d’Iwal. Elle qui est un espoir, une femme, saura mieux me conseiller. Iwal ! L’esthétique du verbe. Elle se trouverait, paraît-il à Timsunin, son fief. » Il rejoignit Iwal qui le reçut dans ses bras. Toujours souriante en son habit noir de simplicité. Elle lui offrit, après l’avoir écouté, de l’accompagner. Elle était curieuse de voir, de connaître et pourquoi pas d’aimer cette sœur sauvage. Elle voulait voir de ses yeux la Liberté. ……. ….Morts ( elle & le journaliste, ndlr) dans un accident de voiture diront ceux qui informent…..]

    – « Zerfa » in « Autopsie d’une identité », pp.139-151 Une citation de ce chapitre :

    […Iwal faisait une enquête sur les femmes libres des Aurès et l’anthropologue une recherche sur la distribution des eaux irrigant les jardins. Puis elle aborda le sujet de ces femmes courageuses défiant les éléments pour ramasser un bout de bois pour l’hiver trop rude, descendre à la rivière remplir leurs outres pesantes. La maîtresse de la beauté lui tint un étrange discours tout en poésie chantée…]

    Ce passage sur les recherches de Naziha Hamouda est bien reflété dans un des vers de la chanson « Iwal » écrite et interprétée par M. Messaoud Nedjahi

    Vous pouvez écouter, au même site, les DEUX versins de cette chanson : Celle de Nedjahi+ celle qui est interprétée par notre grande diva auresienne Dihya.

    Un grand merci à notre anazur M. Messsaoud Nedjahi et à notre diva Dihya.

    Certes, le destin (l’accident), n’avait pas permis à la défunte de mener à termes tous ses travaux de recherches, néanmoins elle nous a légué, du moins à ma connaissance, TROIS publications :

    1- « Les femmes rurales de l’Aurès et la production poétique » in « Peuples Méditerranéens », 1893, pp 267-279. (Vous pouvez lire une partie de cette étude sur ce forum, le titre du message est le même que celui de l’article)

    2-  » Maquisardes militantes de l’Aurès » in « The maghreb review », 1987, pp.141-144. Cet article sera posté prochainement, mais en attendant voilà un avant-goût – les premières phrases de l’article : [La Guerre de Libération Nationale chez les Chaouia du massif Aurésien est un souvenir qui n’a pas cessé d’appartenir au quotidien. Leur expérience semble forte et douloureuse c’est comme si elle datait d’hier. Au cours d’une enquête socio-économique sur l’Aurès est souligné …..]

    3- Quant au 3e article : « Two portraits of Auresian Women » il est publié in « Anthropiology and photography, 1992, pp.206-210. La publication remit en question l’approche des ethnologues précoloniales en prenant comme exemple les photos et les commentaires de Hilton Simpson relatifs aux deux danseuses de Thizi el Abed. Puisque l’article sera posté sous peu alors voici une citation : […It would be a mistake to attribute to Hilton Simpson an ethnographic approach different from that held by his contemporaries, who were deeply influenced by the French conception of the Maghreb. This conception, most notably when transmitted in Western media through novel, screen and popular ephemera such as postcards (Alloula 1987), conformed to the internal logic and dynamics of French policy. Its role was to encourage acceptance and to change real conflicts into symbolic representations, usable and assimilable by the people, in order to justify its sociopolitical project.

    If Hilton Simpson was not necessarily bound by specific colonial policy, as were some French ethnographers and administrators, the tone of his writing and choice of subject reveal the influence of such ideological institutions, seeing the peoples of the Aures as exotic, primitive and distanced….]

    Bref, il s’agit d’un article publié, après sa mort, à partir de ses notes de brouillon, d’où cette remarque de l’éditeur : “ Nazilia Hamouda died tragically in a motor accident in December 1989, leaving only an early draft of her essay for this volume. So that her work reaches some sort of fruition, this draft has been reworked, drawing on correspondence and conversations with the Editor, Dr Nanneke Redclift and Roslyn Poignant. While it has not been possible to reconstruct the depth of analysis and scholarship which would have truly done justice to Dr Hamouda’s ideas, we hope we have not misrepresented her.”

    Souhaitons que d’autres éditeurs et chercheurs suivent l’exemple de ce dernier afin d’achever les travaux de la défunte Dr. Naziha Hamouda tout en continuant à les publier.

  9. {{Un été des contestations à Béjaïa !}}

    Pénurie d’eau, chutes de tension et dégradation du réseau routier

    Depuis son ouverture la saison estivale est devenue insupportable dans la wilaya de Béjaïa. Les manifestations de colère se multiplient au fil des jours, donnant l’image d’une région en pleine rébellion contre les pouvoirs publics. Info diffusée presque en boucle par la Radio locale et/ou rapportée quotidiennement par la presse locale : “(…) hier, des centaines de citoyens ont procédé à la fermeture de la RN (…) pour protester contre (…)”.

    Le lendemain, la même situation est signalée dans une autre commune. Des actions de protestations laissant penser que rien ne se fait dans la wilaya de Béjaïa pour améliorer les conditions de vie des populations. Des torrents de récriminations mettant souvent à nu une gestion presque aléatoire de tous les secteurs. Ainsi, le secteur le plus critiqué depuis le début de l’été, est sans conteste, celui de l’hydraulique. Pratiquement toutes les actions de rue initiées dans telle commune ou autre durant cette période avaient pour origine la pénurie de l’eau potable et une anarchie avérée dans sa distribution. Des robinets de milliers de foyers de plusieurs quartiers de la commune de Béjaïa restent à sec parfois des mois durant ! A Béjaïa-ville, pour ne citer que cette commune, au moins trois actions de protestation ont été enregistrés ces derniers jours. Des citoyens, ne croyant plus aux discours lénifiants des responsables locaux, occupent la voie publique en signe de protestation pour se faire entendre. Des actions de rue créant un climat d’anarchie indescriptible sur les routes et ruelles de la cité oubliée. Ainsi, des bouchons se forment au niveau de tous les carrefours du chef-lieu, voire même sur les chemins de wilaya et les routes nationales. Conséquences ? Des familles sous une chaleur torride prennent leur mal en patience pendant de longues heures sous les capots de leurs carrosses dans l’insouciance générale. Voulant aller profiter des plaisirs de la mer, elles se retrouvent nez à nez avec des manifestants intransigeants, interdisant le passage même aux voitures transportant des personnes nécessitant une urgente prise en charge médicale. Dans ce qui s’apparente à un tumulte, l’intervention des pouvoirs publics, aidés dans leur tâche par les services de sécurité, se limite à gérer des situations d’urgence en jouant notamment la carte de l’apaisement. La levée des barrages est souvent conditionnée par l’établissement d’un procès-verbal où seront consignées noir sur blanc les revendications des protestataires et les engagements des pouvoirs publics. C’est dire que les administrés ne croient plus aux discours des administrateurs, car le fossé qui les sépare, ne cesse de s’élargir instaurant par là même un climat de défiance entre les deux parties.

    La qualité des eaux de Tichy-Haf contestée

    Pour preuve, des citoyens doutent de la qualité des eaux du barrage de Tichy-Haf malgré les assurances données par tous les responsables locaux. Pour ces citoyens, cette eau serait impropre à la consommation. Une eau dont, arguent-ils, le goût et l’odeur restent “étranges”. Et pourtant même le ministre des Ressources en eau avait déclaré lors de sa visite à Béjaïa que “l’eau du barrage de Tichihaf est d’excellente qualité”. Mais qui peut convaincre le population d’Ighil Ouazzoug et Iheddaden ? Outre la problématique et lancinante pénurie d’eau potable, les habitants des quatre coins de la wilaya, endurent d’autres calvaires liés à la dégradation du réseau routier, à des chutes de tension, à l’insalubrité et autres problèmes. Autant de problèmes exposés dans la plupart des cas par des citoyens d’une manière violente en bloquant notamment des axes routiers à la circulation automobile.

    D. S.

  10. Déjà pour nous Kabyle ordinaire notre vie n’est pas facile avec le pouvoir qui développe une « kabylophobie » et être chrétien de surcroit n’arrangerait pas probablement les choses , mais je crois en raison de l’attitude courageuse et méritante de ces chrétiens kabyles qui se battent sur tous les plans et dans toutes les directions quelque part en moi je les jalouse un peu pour leur courage et leur honorabilité débordante je crois que de fait je vais me préparer moi aussi à devenir chrétien pour relever de cette caste de braves que nous encourageons et que nous soutenons de tout nous même ,mais ce que je peux dire à ces victimes …tenez bon vous n’aurez pas pour longtemps à souffrir car bientôt la kabylie autonome viendra à votre secours et tiendra compte de ces arènes où le pouvoir vous jette en gladiateurs victimes des islamophobes et de leurs suites et ce jour vous et nous nous chanterons et nous danserons vous et nous et tous ensemble
    GHERAB Abdellah

  11. {{La République Chaoui indépendante.}}

    {{LES FEMMES RURALES DE L’AURES ET LA PRODUCTION POETIQUE}}

    Par : Dr Naziha HAMOUDA

    Bonne lecture

    Il existe dans l’Aurès une importante production poétique féminine. Il s’agit d’une poésie chantée s’inscrivant dans le cadre d’une tradition orale, où les femmes occupent une position déterminante.

    Pratiquement, toutes les femmes de l’Aurès sont concernées par la production et la transmission de la poésie et, se faisant, elles participent pour une grande part à maintenir et à perpétuer l’homogénéité du corps social et de la culture. Elles ; portent la responsabilité du patrimoine culturel, elles l’enrichissent, le font circuler et vivre.

    Cependant, nous aurons 1’occasion de souligner plus loin les difficultés qu’elles rencontrent : difficultés et obstacles qui se dressent devant la culture berbère, difficultés qui s’appesantissent particulièrement sur elles, en tant que femmes. Comme le note Judy Chicago : « I found out that in different historic periods women artists functioned and achieved often in the place of overwhelming difficulties ». En effet nous tenterons ici de poser diverses questions concernant le statut des femmes et de leur production poétique dans l’Aurès et la place qu’elles occupent dans la société et dans la culture.

    Le statut des femmes n’est pas partout le même dans tout le massif de l’Aurès. Si les femmes de l’Aurès occidental demeurent reines de l’espace, celles de l’Aurès oriental en sont relativement exclues. La raison en est que la partie orientale du massif a subi davantage 1’influence de l’islam particulièrement du fait de l’implantation des Oulémas dont nous rappellerons plus loin les objectifs et l’impact dans le développement du nationalisme algérien.

    L’Aurès se présente comme « un massif montagneux compact de 8000 km2, qui s’étend de la dépression qui mène do Batna à Biskra jusqu’à Khenchela et de la vallée de l’Oued el Arab, entre les hautes plaines constantinoises méridionales (Sbakh) et la dépression saharienne du Ziban » . On trouve des sommets de plus de 2 000 m (les plus hauts d’Algérie). De profondes vallées sillonnent le massif et débouchent sur le Sahara (comme la valide de l’Oued el Abiod).

    Au cours de l’histoire l’Aurès fut un bastion de la résistance aux conquêtes étrangères, des Phéniciens (au XII siècle avant l’ère chrétienne), jusqu’aux invasions arabes ; et françaises. Ce fut une longue succession de luttes et de persécutions au cours desquelles les populations des Aures se dressèrent contre l’implantation de pouvoirs étrangers. Des grands noms jalonnent cette histoire : Orthais, Yabdas, Jugurtha. Massinissa, Kouceila et Kahina (de son vrai nom Dehia, Reine de l’Aurès). Celle-ci incarne, encore aujourd’hui, la résistance à l’implantation des Arabes. Ceux-ci mirent environ un siècle avant de parvenir à mater la résistance et à implanter leur pouvoir et tour religion. Ils ne réussirent à arabiser que les contours du massif et la population garda en grande partie son indépendance juridique et sa langue. De nos jours 1’arabe est essentiellement utilisé par les hommes pour les contacts avec les étrangers .

    C’est donc au prix de grandes difficultés que l’islam fut introduit au VIIIe siècle (selon Ibn Khaldoun et Ibn Yazid) 4, amenant avec lui un nouveau type d’organisation sociale. Néanmoins la coutume locale continuera à être respecter et on particulier les femmes continueront à être maîtresses de leurs actes et à jouir d’une très grande liberté de mouvement. ….

    à suivre … (Cliquez sur la souce pour lire cet excellent travail et pour decouvrir comment s’etait operee l’islamisation et l’arabisation des Chouis par la ruse des Oulemas et la naivete des leadeurs Chouis)

    [Source: Dr Naziha Hamouda :  » Les femmes rurales de l’Aurès et la production poétique », Peuples Méditerranéens, 1983, pp 267-279.->http://mondeberbere.yuku.com/topic/843%5D

  12. {{Le Dieu paien pharaon RA a trois tetes paiennes—Judaime, Christianisme et Islam !}}

    Il est du devoir de tout un chacun de comprendre et de reussir a faire le lien entre le premier pseudo-dieu monotheiste, pharaonique RA et les trois religions qui l’ont suivi pour demontrer aux Hommes bernes que le pseudo-Dieu pahraonique esclavagiste RA s’est juste fait pousser trois tetes—les troies religions monotheistes qui ne sont que la perpetuation de la mythologie esclavagiste des pharaons—en plus tout le prouve dans les trois pseudo-religions. En fait les juifs sont derriere toutes les trois religions—Allah est une creation de pretres juifs. Car ces derniers, eux qui etaient les temoins et les victimes de cette epoque esclavagiste du pseudo-Dieu pharaonique RA de merde ont bien compris que pour berner facilement l’humanite et la reduire en esclavage il suffisait de perpetuer la tradition des pharaons monotheistes qui avaient invente le Dieu unique RA !

    En expliquant les choses plus simplement comme je viens de le faire, il fort a parier qu’il nous serait plus facile d’eclairer et de convaincre les zombies totalitaires arabo-islamo-pharaoniques qui ignorent tout de leur pharaonisme—l’origine de leur totalitarisme–et de leur paganisme.

    Comme quoi on est pas encore sorti de l’antiquite avec les musulmans ignorants! Les juifs et les Chretiens plus civilises que les mahometans ont compris depuis longtemps l’origine pharaonique et painne de leurs religions, c’est pour cela qu’ils sont plus frequentables et pacifiques.

    Mais l’ignorance grasse des mahometans (des musulmans) entretenue volontairement par les dictatures arabo-islamiques pour preserver leur pouvoir empeche ces premiers de se rendre compte qu’ils ne font que perpetuer la tradition des pharaons esclavagistes .

    Oui, des pretres juifs malicieux ont crees les trois religions monotheistes pour perpetuer la tradition esclavagiste pharaonique du pseudo-dieu RA contre toute l’humanite!

    J’aime les juifs, je les adore meme, mais leurs religieux (leurs pretres) symbolisent la tyrannie par le mensonge pour moi!

    Merci de ne pas censurer!

  13. {{Les Kabyles ne supportent plus de vivre sous la tyrannie theocratique d’Akhnaton que perpetuent les paiens monotheistes theocrates arabo-islamo-akhnatoniens !}}

    Les valeurs des islamistes sont paiennes et akhnatoniennes—pharaoniques—vu que l’islam n’est rien d’autre que la perpetuation du premier monotheisme paien du pharaon theocrate Akhnaton et que Allah est le fils adultérin du mythe paien Aton ! Qui dit monotheisme dit paganisme theocratique, totalitarisme et tyrannie ! Qui dit polytheisme dit humanisme seculier, democratie, laicite, et liberte !

    Non pas le denigrement, ce qui nous interesse reellement est la disparition totale de l’islam totaliataire de notre terre polytheiste amazighe et faire subir aux derniers integristes islamistes de ton genre ce que Ramses I et II ont fait subir aux monotheistes totalitaires et paiens akhnatoniens !

    Oui, les nazis arabo-islamo-zombies peuvent commencer a dire adieu a leur imposture paienne pharaonique (cherchez-vous en une autre fraude pharaonique puisque vous ne vivez que de cela) car le monde se doit de retrouver les sources de sa conscience naturelle polytheiste, laique, democratique, et de liberte !

    Les Kabyles ne supportent plus de vivre sous la tyrannie theocratique d’Akhnaton que perpetuent les paiens monotheistes theocrates arabo-islamo-akhnatoniens !

    [Car qui dit monotheisme dit paganisme totalitaire, theocratie, et tyrannie ! Qui dit polytheisme dit humanisme seculier, democratie, laicite, et liberte !->http://www.afrique-du-nord.com/article.php3?id_article=2185#forum22913%5D

  14. « avec … un 18,5 en Math et 17 en Physique », ton copain afghan Benbouzid devait t’offert une bourse d’entree a El azhar pour faire des etudes dans l’art de la tromperie et de l’egorgement des humains ou pour devenir pilote de chameaux-airlignes qui dessert El Qaib(d)a – Centfrancsixcoups!

    Arretes de t’enerver, c’etait juste pour te taquiner!

  15. bonjour,

    Je viens de lire l’article, et je trouve cela scandaleux de rejeter la demande de logement de cette dame, pour le motif suivant : elle est chrétienne. Mais, arrêtez de mélanger la religion avec les droits du citoyen. Qu’elle soit chrétienne, musulmane, boudhiste, athée, ou autres choses, elle est d’abord un être humain.
    L’algérie est un pays tolérant, nous sommes tous des humains, la religion est propre à la personne.
    Nous pouvons vivre tous ensemble, musulmans, chrétiens, etc…. l’essentiel est d’aimer l’autrui.
    Alors, svp monsieur le maire, faites un geste humain à cette dame, qui ne demande rien d’autre qu’un toit pour vivre avec sa famille, et ne regardez pas la religion qu’elle a choisi. Ou est le problème???
    ce n’est pas une voleuse, une criminelle, ce n’est qu’une simple dame qui demande ses droits légitimes. Un toit pour ses enfants!!!
    farida: Une personne qui aime toutes les religions, (tout simplement humaine).

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