APW de Tizi-Ouzou : Séminaire sur la dynamique de développement à enclencher à Tizi-Ouzou

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APW Tizi Ouzou
APW Tizi Ouzou

TIZI-OUZOU (Tamurt) – Notons d’emblée que le coup de starter de cette rencontre à laquelle ont pris part des représentants de la communauté algérienne de France, les associations et les compétences de la wilaya de Tizi-Ouzou (Tizi-Ouzou) a été par l’observation d’une minute de silence en guise de solidarité avec le mouvement de grève auquel ont appelé ses initiateurs pour protester contre le récent enlèvement de Mourad Bilek et Ali Hammour par « des terroristes ».

L’imputation de ces deux actes criminels à des terroristes émane de M. Saâdi Hadibi, premier vice-président de l’APW lequel a d’ailleurs dirigé les travaux.

Concernant l’objectif recherché à travers ce rendez-vous, comme le titre l’indique, il s’agit de trouver des solutions pratiques pour sortir la wilaya de Tizi-Ouzou du marasme économique et social dans lequel elle se débat depuis fort longtemps déjà. Dans cette dynamique justement, l’APW de Tizi-Ouzou a pensé créer une synergie par une conjugaison du savoir-faire du citoyen kabyle, originaire de la wilaya de Tizi-Ouzou, activant en France et celles d’ici, c’est-à-dire de Tizi-Ouzou. Le partenariat est appelé à se faire dans tous les domaines de créativité. De l’outil matériellement économique jusqu’à l’élément abstrait de nature culturelle en passant par les sciences médicales et éducatives. Même des compétences en matière de la science médico-psychanalytique exerçant leurs talents outre-mer ont pris part à cette rencontre et ont déclaré qu’elles étaient prêtes à apporter leur savoir-faire pour aider les citoyens de la wilaya de Tizi-Ouzou. D’ailleurs, la plupart des émigrés ayant pris part à ce séminaire ont avoué bénéficier déjà d’une expérience dans la mission pour laquelle ils ont été sollicités et reconnu en avoir tiré des dividendes positifs. Ces expériences en question ont trait surtout à la science mchitecture urbanistique.

En ce qui le concerne, le président de la première institution élue de Tizi-Ouzou, M. Mahfoud Bellabas, a laissé entendre à travers sa longue allocution que « cette rencontre a pour objectifs de sensibiliser les acteurs d’ici et de là-bas au co-développement, et leur donner l’occasion de construire ensemble des projets communs ; élaborer un état des lieux des projets initiés dans la wilaya avec les membres de notre communauté vivant à l’étranger ; faire émerger de nouvelles initiatives en faveur du développement local et encourager la mise en œuvre de partenariat entre différents acteurs ; faire participer le plus possible d’opérateurs économiques résidant à l’étranger dans la réalisation des projets de la wilaya ; renforcer et consolider l’expérience de l’APW avec les associations dans les différents secteurs d’activité ; sensibiliser aux actions d’aide au développement solidairement menées entre les acteurs économiques, opérant à l’intérieur de notre wilaya, et les membres de la communauté kabyle vivant en France ; présenter les projets actuellement en cours ; susciter des échanges entre les acteurs français d’origine algérienne et les acteurs nationaux et exploiter des thématiques (jeunesse, insertion par le travail, tourisme, solidarité, etc.) afin d’envisager des perspectives de projets en commun ».
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L’orateur, prolixe comme d’habitude, a affirmé que cette première rencontre – organisée en l’honneur des associations et des compétences issues de la communauté nationale, originaire de la wilaya de Tizi-Ouzou (Tizi-Ouzou) – a pour objet d’informer ces derniers de l’état du développement de notre région, d’être à l’écoute de leurs attentes, de recueillir leurs suggestions et d’accompagner au mieux leur participation aux efforts du développement local et durable ». Le second volet du long discours du président de l’APW sera axé sur l’histoire de l’émigration de la région de Tizi-Ouzou qui, selon lui, remonte à I906. « (…) L’attention que porte la wilaya à sa communauté, poursuit M. Mahfoud Bellabas, est justifiée par le souhait de tirer profit des compétences algériennes établies à l’étranger dans les domaines de la recherche scientifique, de l’expertise et des découvertes technologiques ainsi que l’investissement financier dans divers secteurs. Cet événement sera un moment de réflexion pour renforcer les réseaux de liens par le jumelage entre associations, universitaires, industriels mais aussi un moment de découverte culturelle et festive. (…) ». « Ensemble pour une Kabylie prospère ! », termine l’orateur son discours.

Avant de clore notre article, nous devons relever que dans les coulisses, nombreuses sont les langues à déclarer que les problèmes que connaît la Kabylie en général et Tizi-Ouzou en particulier ont pour origine le politique et, par conséquent, les solutions ne peuvent être que politiques. Nos interlocuteurs qui ont préféré garder l’anonymat, ont mis en avant leurs convictions que ce n’est ni la finance, ni le savoir-faire et ni la volonté qui font défaut dans la wilaya de Tizi-Ouzou (Tizi-Ouzou). En clair, ce sont les hauts dirigeants du pays, notamment ceux agissant dans l’ombre, qui veulent à tout prix maintenir la Kabylie dans l’inertie économique, et ce, pour des raisons qu’un esprit sain ne peut comprendre. Autrement dit, la solution recherchée ne réside pas dans l’organisation de séminaires ou de journées thématiques, mais dans le fait de pouvoir agir dans le sens souhaité par celles et ceux qui aiment cette Kabylie, patrie poursuivie par la hargne depuis la nuit des temps.

23 Commentaires

  1. Abdesam Abdenour a demandé aux enseignants de l’université de Tizi Wezzu de déchoir l’ex-président algérien de 1962 à 1965, Ahmed Ben Bella, de sa qualité de Dr honoris causa qui lui a été octroyée en 2007.

    Suite aux scandaleuses déclarations de Ben Bella à Jeune Afrique, Abdeslam Abdenour regrette la promotion de cet usurpateur à l’une des plus prestigieuses distinctions universitaire. Il s’indigne et demande à la direction de l’université de Tizi Wezzu de prendre ses responsabilités devant l’Histoire en annulant et en retirant la distinction qui lui a été injustement décernée.

  2. Abdesam Abdenour a demandé aux enseignants de l’université de Tizi Wezzu de déchoir l’ex-président algérien de 1962 à 1965, Ahmed Ben Bella, de sa qualité de Dr honoris causa qui lui a été octroyée en 2007.

    Suite aux scandaleuses déclarations de Ben Bella à Jeune Afrique, Abdeslam Abdenour regrette la promotion de cet usurpateur à l’une des plus prestigieuses distinctions universitaire. Il s’indigne et demande à la direction de l’université de Tizi Wezzu de prendre ses responsabilités devant l’Histoire en annulant et en retirant la distinction qui lui a été injustement décernée.

  3. Que ces gens qui clament que la crise en kabylie est politique aient plus de bravoure et sortent de l’anonymat et assument publiquement leur position.
    Le temps n’attends pas, si on avance pas on recule.
    Alors a tous Les Kabyles qui Sont impliques dans ces cercles officiels « soit disant elus » aient un peu dignite et agissent pour l’interet de la kabylie.

  4. Que ces gens qui clament que la crise en kabylie est politique aient plus de bravoure et sortent de l’anonymat et assument publiquement leur position.
    Le temps n’attends pas, si on avance pas on recule.
    Alors a tous Les Kabyles qui Sont impliques dans ces cercles officiels « soit disant elus » aient un peu dignite et agissent pour l’interet de la kabylie.

  5. « Ahmed Ben Bella, de sa qualité de Dr honoris causa qui lui a été octroyée en 2007 » par l’universite de Tizi-Ouzou!??? Quelle honte et quelle tragedie!!!

    La valetaille kabyle, chompionne dans l’art de leche c..ls de nos ennemis imperialistes, exterminateurs arabo-islamo-nazis, a ruinee notre dignite et notre honneur en octoroyant a un rat d’egout une distinction pareille!!!!!!!!!

  6. Et une balle dans la tête si tu veux aussi, non !?

    Cependant ils font de bons espions pour le peuple Kabyle, ces Kabycho (Kabyles de services).

    Néanmoins, cette initiative est d’un aspect prospère.

    Pourquoi avoir attendu tant d’années pour l’initier ?

    Comment peut on entreprendre quand on sait pertinemment qu’on va se faire enlever ? La minute de silence le prouve !

    Je suis très motivé par ce style de création de tissu social. Des idées propres au développement de la Kabylie avec implication direct de la population, tant en terme d’emploi qu’en tant QU’INVESTISSEUR MÊME AVEC DE SIMPLES MOYENS? J4EN AI QUELQUES UNES.

    J’ai tenté d’initier une activité économique en Kabylie, avec des cousins. Cela s’est soldé par l’évaporation des moyens que j’avais mis en place. Et de surcroît, leurs parents les ont défendu en affirmant les circonstances Bla Bla Bla.

    Tout les enfants d’immigrés en France le savent : « on ne peut pas leur faire confiance », et le pire c’est que l’on peut quasiment généralisé.

    Et pourtant je suis un fervent défenseur de la cause Kabyle, et un pro-MAK.

    Que faire face à la débandade de toute la population ? Qui fuit au quotidien le pouvoir central de la pseudo nation « Algérie » aux mains des occidentaux (plus des américains que des français maintenant).
    La vision doit être plus globale (mondiale), c’est un non choix !

  7. Wigi dudmawen n elhif. Adwi-d isawalan usensal usarwal n wegdud aqvayli.

    Hier ils etaient avec les Romains, puis avec les nazis arabo-islamistes, puis avec les Turques, puis avec la France et aujourd’hui ces zombies sont toujours la a sucer le sang du peuple et de la nation kabyle avec le regime le plus barbare de la planete!!! Le regime d’Alger est une honte pour tout kabyle et tout algerien qui se respecte!!! C’est un regime doublement barbare incarnant deux barbarismes anti-humains, l’imperialisme genocidaire arabo-islamo-terroriste et le neocolonialisme esclavagiste francais.

    Les terroristes islamistes qui sement la terreur en Kabylie ne sont rien d’autres que des membres militaires de l’OAS qui est au pouvoir a Alger depuis 1962!!!!!!!!!!

    Vive la Kabylie libre!!!

  8. Wigi dudmawen n elhif. Adwi-d isawalan usensal usarwal n wegdud aqvayli.

    Hier ils etaient avec les Romains, puis avec les nazis arabo-islamistes, puis avec les Turques, puis avec la France et aujourd’hui ces zombies sont toujours la a sucer le sang du peuple et de la nation kabyle avec le regime le plus barbare de la planete!!! Le regime d’Alger est une honte pour tout kabyle et tout algerien qui se respecte!!! C’est un regime doublement barbare incarnant deux barbarismes anti-humains, l’imperialisme genocidaire arabo-islamo-terroriste et le neocolonialisme esclavagiste francais.

    Les terroristes islamistes qui sement la terreur en Kabylie ne sont rien d’autres que des membres militaires de l’OAS qui est au pouvoir a Alger depuis 1962!!!!!!!!!!

    Vive la Kabylie libre!!!

  9. Chronique (Lundi 23 Mai 2011)

    {{L’antikabylisme comme programme politique}}

    Par : Mustapha Hammouche

    Si un jour l’Algérie revient à la raison, les futures générations découvriront que longtemps avant, un chef terroriste avait traîné en justice un journal qui avait osé rappeler sa “qualité” d’ancien terroriste. C’était en 2001, au début de l’ère de la “concorde”.

    Ils s’apercevront, ensuite, que ce même journal a, plus tard, ouvert ses pages à ce même terroriste, lui offrant un support pour y faire l’apologie de son projet. C’était en 2011, à l’apothéose de la “réconciliation”.

    Il y cible — comme il savait le faire au maquis — un symbole de l’amazighité, Mouloud Mammeri, pour rééditer la provocation de Ben Bella : le tueur sauvé des griffes du GIA par le régime voit dans ce grand esprit “un Kabyle plus qu’un Algérien”. Une forme d’invective tout droit inspirée de la pratique d’État : en juin 2001, les officiels ont appelé les Algérois à défendre leur ville contre les envahisseurs kabyles et depuis que le mouvement de Kabylie y est venu faire la démonstration de sa popularité, Alger est interdite à toute manifestation publique ; pour contrer les marches suscitées par la CNCD, les autorités ont appris à leurs baltaguias à suggérer aux manifestants d’aller “marcher dans leurs villages”.

    Et si, aujourd’hui, un “émir” peut médiatiser sa délectation d’avoir donné le prénom du tueur de la Kahina à son fils, c’est que la presse n’est plus ce qu’elle était. Même si elle se revendique — double trahison — sans distinction du combat de Djaout et Mekbel. L’argent, seul, fait courir les éditeurs dont à peine deux ou trois n’osent pas encore passer la ligne rouge au-delà de laquelle tout devient possible pourvu qu’il puisse se répercuter dans les comptes du journal. L’insertion sociale des terroristes s’est traduite en insertion morale du terrorisme. Il n’est plus scandaleux d’avoir tué au nom de l’idéologie islamiste. Et la société s’est soumise à ce viol moral : elle conçoit parfaitement que Hattab soit mis à l’abri de toute menace pendant que Gherbi se meurt au fond d’une cellule ; en tout cas, elle ne manifeste aucun émoi devant un tel paradoxe.

    Naturellement, l’arabisme a toujours traqué la berbérité et, donc, la “kabylité” comme base-arrière culturelle, terreau de la conscience identitaire, bref, d’une projection autonome de la perspective nationale. L’arabisme, lui, a pour fonction de lier le destin national à une entité arabe qui l’englobe. L’arabisme est un antinationalisme ; il procède, par exclusion, de tout ce qui remet en cause l’amarrage culturel et, donc, géopolitique de l’Algérie, puis du Maghreb, à une supra-entité arabe.
    Jusqu’ici, c’est la conscience berbère que les forces antinationales pourchassaient. Aujourd’hui, l’arabisme primaire, type Ben Bella — mais tout à fait conforme à la “pensée” de l’establishment politique actuel, s’attaque à la kabylité, faisant de l’antikabylisme un programme politique, un programme commun islamo-arabiste.

    A posteriori, le séparatisme type MAK s’en trouve légitimé. En voulant refouler, aux sens physique et psychique, la Kabylie, comme matrice revendicative, on veut déplacer l’affrontement politique entre progrès et régression vers un affrontement régionaliste entre “Arabes” et Kabyles. Et c’est l’État qui s’emploie à allumer l’incendie pour étouffer un débat.

    [M. H.->http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=156488]

    musthammouche@yahoo.fr

  10. Chronique (Lundi 23 Mai 2011)

    {{L’antikabylisme comme programme politique}}

    Par : Mustapha Hammouche

    Si un jour l’Algérie revient à la raison, les futures générations découvriront que longtemps avant, un chef terroriste avait traîné en justice un journal qui avait osé rappeler sa “qualité” d’ancien terroriste. C’était en 2001, au début de l’ère de la “concorde”.

    Ils s’apercevront, ensuite, que ce même journal a, plus tard, ouvert ses pages à ce même terroriste, lui offrant un support pour y faire l’apologie de son projet. C’était en 2011, à l’apothéose de la “réconciliation”.

    Il y cible — comme il savait le faire au maquis — un symbole de l’amazighité, Mouloud Mammeri, pour rééditer la provocation de Ben Bella : le tueur sauvé des griffes du GIA par le régime voit dans ce grand esprit “un Kabyle plus qu’un Algérien”. Une forme d’invective tout droit inspirée de la pratique d’État : en juin 2001, les officiels ont appelé les Algérois à défendre leur ville contre les envahisseurs kabyles et depuis que le mouvement de Kabylie y est venu faire la démonstration de sa popularité, Alger est interdite à toute manifestation publique ; pour contrer les marches suscitées par la CNCD, les autorités ont appris à leurs baltaguias à suggérer aux manifestants d’aller “marcher dans leurs villages”.

    Et si, aujourd’hui, un “émir” peut médiatiser sa délectation d’avoir donné le prénom du tueur de la Kahina à son fils, c’est que la presse n’est plus ce qu’elle était. Même si elle se revendique — double trahison — sans distinction du combat de Djaout et Mekbel. L’argent, seul, fait courir les éditeurs dont à peine deux ou trois n’osent pas encore passer la ligne rouge au-delà de laquelle tout devient possible pourvu qu’il puisse se répercuter dans les comptes du journal. L’insertion sociale des terroristes s’est traduite en insertion morale du terrorisme. Il n’est plus scandaleux d’avoir tué au nom de l’idéologie islamiste. Et la société s’est soumise à ce viol moral : elle conçoit parfaitement que Hattab soit mis à l’abri de toute menace pendant que Gherbi se meurt au fond d’une cellule ; en tout cas, elle ne manifeste aucun émoi devant un tel paradoxe.

    Naturellement, l’arabisme a toujours traqué la berbérité et, donc, la “kabylité” comme base-arrière culturelle, terreau de la conscience identitaire, bref, d’une projection autonome de la perspective nationale. L’arabisme, lui, a pour fonction de lier le destin national à une entité arabe qui l’englobe. L’arabisme est un antinationalisme ; il procède, par exclusion, de tout ce qui remet en cause l’amarrage culturel et, donc, géopolitique de l’Algérie, puis du Maghreb, à une supra-entité arabe.
    Jusqu’ici, c’est la conscience berbère que les forces antinationales pourchassaient. Aujourd’hui, l’arabisme primaire, type Ben Bella — mais tout à fait conforme à la “pensée” de l’establishment politique actuel, s’attaque à la kabylité, faisant de l’antikabylisme un programme politique, un programme commun islamo-arabiste.

    A posteriori, le séparatisme type MAK s’en trouve légitimé. En voulant refouler, aux sens physique et psychique, la Kabylie, comme matrice revendicative, on veut déplacer l’affrontement politique entre progrès et régression vers un affrontement régionaliste entre “Arabes” et Kabyles. Et c’est l’État qui s’emploie à allumer l’incendie pour étouffer un débat.

    [M. H.->http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=156488]

    musthammouche@yahoo.fr

  11. azul,belle conclusion, c’est les dirigent de TIZI-OUZOU peuvent là comprendre,il n’ y a pas ni lois pour assurer que ces investissement ne seront pas comme d’habitude dans leur poche,et qu’il commence à parler la langue Kabyle pour comprendre les Kabyles, c’est un bon conseille que les grands sociologue et politiciens vous donnent

  12. azul,belle conclusion, c’est les dirigent de TIZI-OUZOU peuvent là comprendre,il n’ y a pas ni lois pour assurer que ces investissement ne seront pas comme d’habitude dans leur poche,et qu’il commence à parler la langue Kabyle pour comprendre les Kabyles, c’est un bon conseille que les grands sociologue et politiciens vous donnent

  13. Tout d’abord je cautionne entièrement la demande mas A.Abdeslam et je dirais meme que je ne voudrais pas être à la place de ceux qui ont offert un doctorat à ce guignol !. Ceci dit,au risque de ne pas être d’accord avec certains,ce que je vois actuellement ,c’est que ce qui est initiée actuellement par cette APW,ne fait que vulgariser et faire souligner d’avantage la nécessite d’une autonomie !.

  14. Tout d’abord je cautionne entièrement la demande mas A.Abdeslam et je dirais meme que je ne voudrais pas être à la place de ceux qui ont offert un doctorat à ce guignol !. Ceci dit,au risque de ne pas être d’accord avec certains,ce que je vois actuellement ,c’est que ce qui est initiée actuellement par cette APW,ne fait que vulgariser et faire souligner d’avantage la nécessite d’une autonomie !.

  15. {{Dites la vérité aux aux Algériens ! Quand aux Kabyles, meme s’ils ne savent pas, leur nature rationnelle d’hommes libres les aide a flairer toutes les impostures et toutes les intrigues politiques esclavagistes depuis la nuit des temps}}

    Dans les Etats arabo-africains post-coloniaux, les situations de crise extrême de régime ne mettent pas en jeu une confrontation entre institutions ou élus, mais entre peuples, clans, tribus, ethnies. Un retour irrationnel et brutal à la féodalité précoloniale et aux conflits moyenâgeux.

    L’Algérie n’est pas entrée dans un scénario tunisien ou égyptien, d’un peuple uni contre un régime. Mais dans celui d’une rébellion anarchique en ordre dispersé, matérialiste, plus intéressée par les dilapidations de la rente que par des idéaux politiques. Elle se rapproche dangereusement du scénario libyen, très proche d’une guerre civile, comme si cette issue tragique était inéluctable.

    Le clan Laurent Gbagbo, chrétien évangélique, accuse le musulman Alassane Ouattara et ses partisans d’être burkinabés, donc étrangers à la Côte d’ivoire.

    Le clan Kadhafi insulte le peuple libyen, le bombarde, paye des mercenaires, et menace ouvertement de monter les tribus les unes contre les autres jusqu’à la guerre civile et la partition du pays.

    En Algérie, le clan d’Oujda reste, comme d’habitude, menteur, faussaire et hypocrite sur ses origines, ses intentions et son avenir. Il ne conçoit que deux scénarios, le maintien de son clan au pouvoir ou le chaos, la division du peuple et la partition de son immense territoire.

    Les semaines se suivent et se ressemblent pour les manifestants du samedi. La stratégie du clan d’Oujda reste la même depuis l’indépendance: empêcher les Kabyles de «gagner la bataille d’Alger».

    Depuis que des marocains, opposants à la monarchie alaouite, engagés politiquement avec le FLN, ont quitté leur pays d’origine pour «envahir» les institutions du nouvel Etat algérien indépendant, seuls des «kabyles et chaouis de service», les «harkis du système», prêts à trahir leur berbérité, sont admis dans les coulisses du pouvoir. (1)

    Les autres, sourcilleux sur la revendication identitaire, sont combattus avec un acharnement meurtrier. Cela a commencé dès 1958 avec les assassinats et les trahisons (Abane Ramdane, Amirouche, …). Puis en 1963, avec l’exil et l’emprisonnement (Krim Belkacem, Hocine Ait-Ahmed,…).

    De 1965 à 1978, Boumediene et sa main de fer, la Sécurité Militaire, héritière du MALG, contrôlée intégralement par les marocains du clan d’Oujda, surveilla étroitement les berbéristes en les laissant à peine respirer.

    Une génération florissante de militants berbéristes, formée par le FFS d’Ait-Ahmed et le PRS de Boudiaf a été littéralement broyée par la SM. Le 1er printemps berbère d’avril 1980, puis le 2ème de 2001 ont été durement réprimés, étouffés… dans l’indifférence du reste du pays désinformé.

    Le drame de la situation tragi-comique des algériens est qu’ils ignorent l’origine et l’histoire réelle des gouvernants de ce pays. Le pouvoir du clan d’Oujda est basé sur le mensonge et la falsification de l’Histoire que la presse aux ordres, formatée par le parti unique et encadrée par le DRS, hésite à transgresser, bien que soit venue l’heure des choix dramatiques que doit faire la Nation.

    Peu d’algériens savent que le 1er Président de la République, Ahmed Ben Bella, est un tirailleur marocain déjà accusé en 1952, par Abane Ramdane, d’être un agent colonial infiltré dans le FLN. (2)

    Qui savait en 1965 que le nom du 2ème Président, le colonel Houari Boumediene, n’était qu’un pseudonyme et qu’il s’appelait en réalité Mohamed Boukharouba. Il a aussi caché ou effacé l’origine et le passé de son entourage politique et militaire.

    Qui sait si le 3ème Président, le colonel Chadli Bendjedid, né à Bouteldja à la frontière tunisienne est vraiment algérien ou plutôt tunisien ?

    Qui sait encore que le 4ème Président, le général Liamine Zeroual, le seul à démissionner de son poste, est politiquement paralysé parce qu’il avait un frère harki qui a atteint le grade de général dans l’armée française et récemment décédé.

    Qui sait enfin que le 5ème Président, Abdelaziz Bouteflika, est un marocain né à Oujda, alors que le site officiel de la présidence ne mentionne pas son lieu de naissance. (3)

    De nombreux algériens croient qu’il est né à Tlemcen, comme cela est encore mentionné dans sa biographie sur le site de l’ONU, dont il fut en 1974, Président de l’AG. (4)

    Treize ministres du 1er gouvernement de Bouteflika en 1999 seraient nés à M’Sirda ou Tlemcen, la bonne blague. C’est du faux et usage de faux. Ils sont plutôt nés au Maroc et ont falsifié les registres d’actes de naissance. (5)

    Durant toutes les années de plomb jusqu’à la mort de Hassan II en 1999, les membres du clan d’Oujda ont continué à faire venir des membres de leurs familles du Maroc pour les intégrer dans les rangs de l’armée, la police ou l’administration, en falsifiant leur état-civil. Et qui sait si tous ces gens-là portent leur véritable nom ?

    Dans le listing gouvernemental, c’est très drôle de constater le sentiment de culpabilité qui précise l’origine des ministres nés à l’étranger.

    Comme Nouredine Yazid Zerhouni «né en 1937 à Tabarka-Tunisie, originaire de Tlemcen»,

    Chakib Khelil «né le 8 Août 1939 à Oujda-Maroc, originaire de Tlemcen»,

    Daho Ould Kablia «né le 04 Mai 1933 à Tanger-Maroc originaire de Tlemcen»,

    El Hadi Khaldi «né le 30 septembre 1956 à Tunis, originaire d’El Oued».

    Zerhouni n’est pas né en Tunisie. Dans un article de Jeune Afrique, mentionnant qu’il est natif de la région de Fès, il révèle qu’il avait lui-même recruté en 1962 le général Mohamed Mediene, dit Toufik, patron du DRS, «lorsqu’il était sous-lieutenant d’artillerie», sans préciser dans quelle armée (?) Ainsi que l’adjudant Ali Tounsi, sous-officier de la Force locale à Sidi Bel Abbès. (6)

    Cet aveu indique que Toufik fait bien partie intégrante du clan d’Oujda, et que dans les supposés conflits de l’armée avec Bouteflika, il gère des arbitrages avec les autres chefs militaires au profit de son clan. Force est de constater que de tous les conflits d’autorité ou décisionnels survenus depuis 1999, notamment les élections, c’est toujours le clan d’Oujda qui en sort vainqueur.

    Le clan d’Oujda a investi et verrouillé toutes les institutions de l’Etat : Administration, affaires étrangères, justice, police, medias, patronat,… Ainsi que les milieux culturels, comme l’université orpheline d’un Malek Bennabi ou d’un Mouloud Maameri, le théâtre orphelin d’un Kateb Yacine, le cinéma, le sport, …

    L’interdiction totalement anachronique de radios et télés privées dans un monde parabolisée est un crime infâme qui a empêché des générations d’algériens de s’exprimer, créer, faire carrière et s’émanciper.

    Un demi-siècle de monopole du pouvoir, d’imposture, de répression et de corruption ont fait perdre aux élites civiles la boussole des réalités dans les luttes politiques. On le re-découvre encore en ce premier week-end du mois de mars.

    L’image donnée par le FFS à la salle Atlas se voulait unitaire avec d’autres partis maghrébins, mais elle est en fait ridicule, par son exclusion des partis algériens, notamment du RCD.

    Le coup de couteau asséné à Said Sadi, qui s’est débarrassé de la garde rapprochée du DRS, est un message policier très clair: «sans notre protection, tu risques ta vie!»

    Il est plus que temps pour les politiciens et les journalistes de dire la vérité aux algériens afin de mettre un terme à une des plus grandes mystifications de l’histoire politique.

    [Par Saâd Lounès->http://saadlounes.unblog.fr/dites-la-verite-aux-algeriens/]

    06-03-2011

    (1) Double trahison des Marocains qui gouvernent l’Algérie

    (2) Le tirailleur marocain Ben Bella, l’infiltré du FLN

    (3) http://www.elmouradia.dz

    (4) http://www.un.org/french/ga/55/president/bio29f.htm

    (5) http://www.algerie-dz.com/forums/showthread.php?t=65203

    (6) Zerhouni sur tous les fronts

  16. {{Dites la vérité aux aux Algériens ! Quand aux Kabyles, meme s’ils ne savent pas, leur nature rationnelle d’hommes libres les aide a flairer toutes les impostures et toutes les intrigues politiques esclavagistes depuis la nuit des temps}}

    Dans les Etats arabo-africains post-coloniaux, les situations de crise extrême de régime ne mettent pas en jeu une confrontation entre institutions ou élus, mais entre peuples, clans, tribus, ethnies. Un retour irrationnel et brutal à la féodalité précoloniale et aux conflits moyenâgeux.

    L’Algérie n’est pas entrée dans un scénario tunisien ou égyptien, d’un peuple uni contre un régime. Mais dans celui d’une rébellion anarchique en ordre dispersé, matérialiste, plus intéressée par les dilapidations de la rente que par des idéaux politiques. Elle se rapproche dangereusement du scénario libyen, très proche d’une guerre civile, comme si cette issue tragique était inéluctable.

    Le clan Laurent Gbagbo, chrétien évangélique, accuse le musulman Alassane Ouattara et ses partisans d’être burkinabés, donc étrangers à la Côte d’ivoire.

    Le clan Kadhafi insulte le peuple libyen, le bombarde, paye des mercenaires, et menace ouvertement de monter les tribus les unes contre les autres jusqu’à la guerre civile et la partition du pays.

    En Algérie, le clan d’Oujda reste, comme d’habitude, menteur, faussaire et hypocrite sur ses origines, ses intentions et son avenir. Il ne conçoit que deux scénarios, le maintien de son clan au pouvoir ou le chaos, la division du peuple et la partition de son immense territoire.

    Les semaines se suivent et se ressemblent pour les manifestants du samedi. La stratégie du clan d’Oujda reste la même depuis l’indépendance: empêcher les Kabyles de «gagner la bataille d’Alger».

    Depuis que des marocains, opposants à la monarchie alaouite, engagés politiquement avec le FLN, ont quitté leur pays d’origine pour «envahir» les institutions du nouvel Etat algérien indépendant, seuls des «kabyles et chaouis de service», les «harkis du système», prêts à trahir leur berbérité, sont admis dans les coulisses du pouvoir. (1)

    Les autres, sourcilleux sur la revendication identitaire, sont combattus avec un acharnement meurtrier. Cela a commencé dès 1958 avec les assassinats et les trahisons (Abane Ramdane, Amirouche, …). Puis en 1963, avec l’exil et l’emprisonnement (Krim Belkacem, Hocine Ait-Ahmed,…).

    De 1965 à 1978, Boumediene et sa main de fer, la Sécurité Militaire, héritière du MALG, contrôlée intégralement par les marocains du clan d’Oujda, surveilla étroitement les berbéristes en les laissant à peine respirer.

    Une génération florissante de militants berbéristes, formée par le FFS d’Ait-Ahmed et le PRS de Boudiaf a été littéralement broyée par la SM. Le 1er printemps berbère d’avril 1980, puis le 2ème de 2001 ont été durement réprimés, étouffés… dans l’indifférence du reste du pays désinformé.

    Le drame de la situation tragi-comique des algériens est qu’ils ignorent l’origine et l’histoire réelle des gouvernants de ce pays. Le pouvoir du clan d’Oujda est basé sur le mensonge et la falsification de l’Histoire que la presse aux ordres, formatée par le parti unique et encadrée par le DRS, hésite à transgresser, bien que soit venue l’heure des choix dramatiques que doit faire la Nation.

    Peu d’algériens savent que le 1er Président de la République, Ahmed Ben Bella, est un tirailleur marocain déjà accusé en 1952, par Abane Ramdane, d’être un agent colonial infiltré dans le FLN. (2)

    Qui savait en 1965 que le nom du 2ème Président, le colonel Houari Boumediene, n’était qu’un pseudonyme et qu’il s’appelait en réalité Mohamed Boukharouba. Il a aussi caché ou effacé l’origine et le passé de son entourage politique et militaire.

    Qui sait si le 3ème Président, le colonel Chadli Bendjedid, né à Bouteldja à la frontière tunisienne est vraiment algérien ou plutôt tunisien ?

    Qui sait encore que le 4ème Président, le général Liamine Zeroual, le seul à démissionner de son poste, est politiquement paralysé parce qu’il avait un frère harki qui a atteint le grade de général dans l’armée française et récemment décédé.

    Qui sait enfin que le 5ème Président, Abdelaziz Bouteflika, est un marocain né à Oujda, alors que le site officiel de la présidence ne mentionne pas son lieu de naissance. (3)

    De nombreux algériens croient qu’il est né à Tlemcen, comme cela est encore mentionné dans sa biographie sur le site de l’ONU, dont il fut en 1974, Président de l’AG. (4)

    Treize ministres du 1er gouvernement de Bouteflika en 1999 seraient nés à M’Sirda ou Tlemcen, la bonne blague. C’est du faux et usage de faux. Ils sont plutôt nés au Maroc et ont falsifié les registres d’actes de naissance. (5)

    Durant toutes les années de plomb jusqu’à la mort de Hassan II en 1999, les membres du clan d’Oujda ont continué à faire venir des membres de leurs familles du Maroc pour les intégrer dans les rangs de l’armée, la police ou l’administration, en falsifiant leur état-civil. Et qui sait si tous ces gens-là portent leur véritable nom ?

    Dans le listing gouvernemental, c’est très drôle de constater le sentiment de culpabilité qui précise l’origine des ministres nés à l’étranger.

    Comme Nouredine Yazid Zerhouni «né en 1937 à Tabarka-Tunisie, originaire de Tlemcen»,

    Chakib Khelil «né le 8 Août 1939 à Oujda-Maroc, originaire de Tlemcen»,

    Daho Ould Kablia «né le 04 Mai 1933 à Tanger-Maroc originaire de Tlemcen»,

    El Hadi Khaldi «né le 30 septembre 1956 à Tunis, originaire d’El Oued».

    Zerhouni n’est pas né en Tunisie. Dans un article de Jeune Afrique, mentionnant qu’il est natif de la région de Fès, il révèle qu’il avait lui-même recruté en 1962 le général Mohamed Mediene, dit Toufik, patron du DRS, «lorsqu’il était sous-lieutenant d’artillerie», sans préciser dans quelle armée (?) Ainsi que l’adjudant Ali Tounsi, sous-officier de la Force locale à Sidi Bel Abbès. (6)

    Cet aveu indique que Toufik fait bien partie intégrante du clan d’Oujda, et que dans les supposés conflits de l’armée avec Bouteflika, il gère des arbitrages avec les autres chefs militaires au profit de son clan. Force est de constater que de tous les conflits d’autorité ou décisionnels survenus depuis 1999, notamment les élections, c’est toujours le clan d’Oujda qui en sort vainqueur.

    Le clan d’Oujda a investi et verrouillé toutes les institutions de l’Etat : Administration, affaires étrangères, justice, police, medias, patronat,… Ainsi que les milieux culturels, comme l’université orpheline d’un Malek Bennabi ou d’un Mouloud Maameri, le théâtre orphelin d’un Kateb Yacine, le cinéma, le sport, …

    L’interdiction totalement anachronique de radios et télés privées dans un monde parabolisée est un crime infâme qui a empêché des générations d’algériens de s’exprimer, créer, faire carrière et s’émanciper.

    Un demi-siècle de monopole du pouvoir, d’imposture, de répression et de corruption ont fait perdre aux élites civiles la boussole des réalités dans les luttes politiques. On le re-découvre encore en ce premier week-end du mois de mars.

    L’image donnée par le FFS à la salle Atlas se voulait unitaire avec d’autres partis maghrébins, mais elle est en fait ridicule, par son exclusion des partis algériens, notamment du RCD.

    Le coup de couteau asséné à Said Sadi, qui s’est débarrassé de la garde rapprochée du DRS, est un message policier très clair: «sans notre protection, tu risques ta vie!»

    Il est plus que temps pour les politiciens et les journalistes de dire la vérité aux algériens afin de mettre un terme à une des plus grandes mystifications de l’histoire politique.

    [Par Saâd Lounès->http://saadlounes.unblog.fr/dites-la-verite-aux-algeriens/]

    06-03-2011

    (1) Double trahison des Marocains qui gouvernent l’Algérie

    (2) Le tirailleur marocain Ben Bella, l’infiltré du FLN

    (3) http://www.elmouradia.dz

    (4) http://www.un.org/french/ga/55/president/bio29f.htm

    (5) http://www.algerie-dz.com/forums/showthread.php?t=65203

    (6) Zerhouni sur tous les fronts

  17. {{Le paradis est pavé de bonnes intentions}}

    Pour ma part ,je n y vois au mieux des bons sentiments au pire un vœux pieux ..
    cause toujours tu m’intéresses..

    Aussi louables soient-elles toutes les volontés de ce beau monde rien ne fera sans la destitution du système qui a généré et perpétue tous les maux que vivent la Kabylie pour justement se maintenir.
    {{
    Comment peut-on penser une seule seconde que ce pouvoir vomi ce sera ara kiri comme un grand?}}

    Le pouvoir est là pour soumettre la Kabylie et les kabyles et c’est la normalisation signe de notre mort qui est recherché.Nos pantins y sont aussi pour qq chose.

    Quelle est l’être objectif qui peut croire un seul instant à un changement radical avec cette maffia marocaine qui n’ a fait depuis 50 ans que descendre la Kabylie et assassiner les citoyens avec l’aide de nos écervelés kabyles qui ont troqué leur dignité contre quelques biens ..

    {{N’est-elle pas la peur de se voir rattraper par les révoltes multiples qui fait agiter tout ce monde qui c’est tu depuis des années en profitant de la rente?}}

    C’est la peur qui les fait tous courir et non un certain patriotisme car c’est le chaos qui s y prépare et là ils seront servis…Alors vite, dépêchez-vous rentiers!!

    J’adhère à mille % à ces déclarations :
    « nombreuses sont les langues à déclarer que les problèmes que connaît la Kabylie en général et Tizi-Ouzou en particulier ont pour origine le politique et, par conséquent, les solutions ne peuvent être que politiques. »je rajoute ,d’où le remplacement du système qui implique la mort des tenants du pouvoir qui n’accepteront pas leur suicide .

    voilà le dilemme..

    En clair, {{ce sont les hauts dirigeants du pays, notamment ceux agissant dans l’ombre, qui veulent à tout prix maintenir la Kabylie dans l’inertie économique ,}} et ce, pour des raisons qu’un esprit sain ne peut comprendre.

    Seule l’autonomie rendra tous les pouvoirs aux kabyles pour espérer voir un jour se réaliser la société tant rêvée.

    Entre temps,il faut amuser la galerie.

  18. « En ce lundi 23 mai 2011, le chroniqueur Mustapha Hammouche du quotidien Liberté termine son écrit du jour ainsi :

    “ À posteriori, le séparatisme type MAK s’en trouve légitimé. En voulant refouler, aux sens physique et psychique, la Kabylie, comme matrice revendicative, on veut déplacer l’affrontement politique entre progrès et régression vers un affrontement régionaliste entre “Arabes” et Kabyles. Et c’est l’État qui s’emploie à allumer l’incendie pour étouffer un débat”.

    Au MAK, on lit les chroniques et on apprécie fort bien le professionnalisme et l’éthique de M. Hammouche. Largement mérités d’ailleurs. Sauf que cette fois, en voulant contrebalancer et équilibrer ses propos, il accole le terme sépara-tisme à l’action politique du MAK, alors qu’il a, à maintes reprises, attribué cette volonté séparatiste au pouvoir. Comme l’a si bien dit un autre chroniqueur d’un autre quotidien en qualifiant “ d’apartheid” la rétention et le refoulement des supporters kabyles lors de la finale de la coupe d’Algérie le 1er mais 2011. . . .  »

    [Source->http://www.tamurt.info/kabylie-pilonnage-intensif,1662.html?lang=fr]

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