1ère partie: Quelle économie pour une Kabylie autonome

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Kabylie
Kabylie

CONTRIBUTION DE BOUAZIZ AIT CHEBIB (Tamurt) – Notre recherche est aussi consolidée par des expériences économiques des autres pays. Cette modeste contribution est donc une synthèse de toutes ces données à laquelle nous donnons une orientation autonomiste. Tout le monde est invité à enrichir cette réflexion par des idées, des études et des propositions pour mettre sur pied un vrai projet économique pour la Kabylie.

Introduction
Depuis l’indépendance confisquée par le redéploiement d’un autre colonialisme, bien plus subtil, le pouvoir algérien s’évertue avec constance et acharnement à faire admettre aux Kabyles que leur première patrie, la Kabylie, n’est qu’un foyer de misère. C‘est ainsi qu’à force de répéter un mensonge, il croit en faire une vérité que tous les Kabyles finiront bien par adopter, d’autant plus que la même duperie est reprise en chœur par les partis traditionnels kabyles, qui s’en servent pour justifier auprès de notre peuple leur opposition au projet autonomiste.

Pour appuyer cette idée, le pouvoir algérien s’applique méticuleusement à réunir toutes les conditions (marasme économique, corruption, terrorisme, banditisme, islamisme) pour que les Kabyles n’envisagent pas autrement leur survie, et celle de la Kabylie, que par une abdication pure et simple au dictat arabo-islamique d’un régime raciste, pour bénéficier de l’aumône de l’Etat-providence afin de ne pas mourir de faim

Bien entendu, l’argument est fondé sur une fausse idée selon laquelle le peuple kabyle ne doit sa survie qu’à la manne pétrolière alors que tout le monde sait qu’elle a toujours profité aux généraux et aux politiciens véreux qui ont la main mise sur l’économie algérienne. Il faut cependant savoir que dans le cadre de l’autonomie, la Kabylie a parfaitement le droit d’exiger sa quote-part des revenus du pétrole et du gaz. Contrairement à ce qu’avait dit Saïd Sadi – « on ne peut pas dire aux autres, on partage le pétrole et on garde l’huile d’olive pour nous! »- le pétrole et le gaz sont des produits du sous-sol et appartiennent à tous les citoyens, alors que les produits agricoles sont le fruit du travail et appartiennent donc à leur propriétaire.

Ceci dit, la Kabylie n’a pas émergé de nulle part et encore moins à la suite de la découverte d’un gisement de gaz. Elle n’est pas non plus une création contemporaine résultant d’une quelconque prospérité réalisée grâce à la manne pétrolière. La Kabylie existe depuis la nuit des temps; son existence multimillénaire n’a jamais été conditionnée par une quelconque richesse naturelle. Sa plus grande richesse réside d’abord et avant tout dans le génie de son peuple. Son organisation sociopolitique résolument laïque et démocratique, ses valeurs séculaires et son attachement viscéral à la liberté a inspiré de grands penseurs.

A ce jour, la Kabylie n’a rien perdu de son authenticité, de sa culture de résistance et encore moins de sa détermination à se hisser au rang de nation, au sens moderne du terme, car la Kabylie ancestrale disposait avant la colonisation d’une forme de démocratie participative à travers Tajmaat, l’assemblée de village, qui était une structure sociale et politique, un véritable modèle de démocratie, qui faisait participer les citoyens aux affaires publiques des villages. A la suite de la colonisation française, l’Etat central a tout mis en œuvre pour achever ce que la France coloniale avait entamé en terme de destruction des fondements de la société kabyle, dans le but avoué de casser la cohésion sociale d’une société qui lui avait opposé une résistance farouche et qui n’a jamais accepté la soumission.

Cependant, ni la famine, ni la guerre, ni la répression, ni la politique d’arabisation, ni toutes les politiques de dépersonnalisations n’ont pu triompher du peuple kabyle. De ce fait, nous avons la certitude qu’aucun défi ne peut lui faire peur. Le développement économique est à sa portée, pourvu qu’il recouvre sa souveraineté par son accès à un statut de large autonomie.
En effet, la Kabylie, avec le vrai potentiel économique dont elle dispose et que l’on cherche à tout prix à nous cacher, est en mesure, non seulement d’assurer son propre développement, mais aussi de contribuer d’une façon décisive au développement de toute l’Algérie pour peu que celle-ci se reconcilie avec elle-même et entre de plain pied dans le progrès et la modernité.

Toutes les forces vives, et il y en a, peuvent êtres mobilisées afin de créer un pôle d’excellence en matière de développement économique. Pour ce faire, il suffit de mettre en synergie les intelligences dont dispose la Kabylie, en l’occurrence les compétences formées par ses universités et les différents centres universitaires du monde, mais aussi les ressources naturelles et les grandes ambitions de la région. La Kabylie est en mesure de réaliser son développement par l’encouragement de l’innovation (via la recherche), l’investissement, l’éducation, l’accroissement de la sécurité; l’indépendance de la justice et la conciliation de son progrès économique et social avec la préservation de l’environnement.

La Kabylie autonome œuvrera immanquablement à assurer à sa population la liberté d’entreprendre et de produire localement des richesses, synonymes d’autonomie économique et sociale, base de toutes les libertés sociales, culturelles et politiques. Or, il n’est un secret pour personne que l’Etat central œuvre activement à étouffer toute prospérité économique en Kabylie, condition sine qua non de son asservissement à un Etat qui n’a d’ambition que d’effacer jusqu’à son existence même.

Kabylie : une région riche, une misère croissante

La Kabylie est autonome dans sa misère programmée et dans ses malheurs, naturels ou provoqués, sans avoir le pouvoir de décision pour y faire face. Elle lutte seule contre une situation socio-économique des plus dramatiques qui conforte les décideurs algériens dans leurs plans machiavéliques, ces derniers étant prêts à faire l’impossible pour amplifier le malheur du peuple kabyle. L’installation du terrorisme sur son territoire est sa dernière innovation en la matière.

Avec un Etat central qui fait dans le sabotage et le chantage économiques, des collectivités territoriales dépourvues de pouvoirs et ne disposant même pas d’une fiscalité locale propre, des entreprises endettées et fiscalement étouffées, le développement économique est une dangereuse chimère pour la Kabylie qui glisse de jour en jour dans une logique de désinvestissement. Le secteur privé, est donc exclusivement kabyle, demeure le seul créateur d’emploi dans une région où le taux de chômage selon les chiffres officiels, dépasse les 30% (touchant 54 % de sa population de moins de 30 ans), soit le double de la moyenne nationale; ce qui est loin d’être un hasard.

L’ANSEJ, la CNAC entre autres, constituent l’essentiel de la politique d’emploi menée par le régime. Cette duperie n’a rien apporté de probant pour absorber le chômage. Bien au contraire, elle a aggravé la situation en transformant nos jeunes chômeurs en  » chômeurs endettés « . En l’absence de dispositif d’accompagnement, les PME créées et les projets lancés dans le cadre de ces dispositifs, vivent dans un état d’abandon qui ne semble, pour le moins, guère retenir l’attention des pouvoirs publics. La majorité de ces entreprises trouvent des difficultés à s’acquitter de leurs redevances avec les banques, d’autres sont sur le point de mettre la clé sous le paillasson en raison d’une mauvaise prise en charge de leur cas par ces mêmes institutions financières. Aujourd’hui, la plupart de ces projets sont à l’arrêt et les plus chanceux végètent encore dans une survivance mais sans aucune rentabilité.

Il n’existe aucun investissement public en Kabylie. L’Etat central bloque toute initiative susceptible de réaliser le développement économique de la région. Il est de notoriété publique que la Kabylie paye économiquement sa résistance à un régime qui la nie jusqu’à dans son existence. Le pouvoir n’ayant jamais pu normaliser la région, il redouble d’ingéniosité pour la soumettre à son joug par le chantage sur l’investissement publique, sur la sécurité et le terrorisme, inhibant par ce moyen pervers et criminel toute velléité d’investissement privé local et à plus forte raison international.

Pendant que les entreprises européennes se délocalisent pour s’établir dans les pays en voie de développement à la recherche d’une main d’œuvre moins coûteuse, les autorités algériennes, ne se contentant pas de détourner plusieurs projets de grande dimension économiques à l’image de la raffinerie de Vgayet, exercent toute forme de pression sur les entreprises kabyles pour les délocaliser vers d’autres régions. Pour le régime raciste d’Alger, la Kabylie est un élément étranger à cette Algérie définie comme étant arabo-islamique. Par conséquent, elle doit être économiquement anéantie et ne doit en aucun cas accéder au progrès et à la prospérité économique.

En Algérie, l’administration fiscale n’est performante qu’en Kabylie, qui détient, il faut le rappeler, le record du taux de recouvrement de l’impôt au niveau national. Ce constat est consolidé par l’acharnement de cette administration qui avait même refusé tout allégement fiscal au profit des entreprises qui ne travaillaient qu’à moitié durant les évènements du printemps noir. Par ailleurs, un opérateur économique de Kabylie gagne moins que le grossiste à qui il vend ses produits, puisque, lui, ne paye rien dans sa wilaya. La collecte des impôts se fait de manière inéquitable et toujours au détriment de l’investissement en Kabylie. En plus du terrorisme bureaucratique qui freine les velléités de relance économique dans la région, les entrepreneurs de Kabylie sont victimes de lenteurs et de blocage dans l’accès aux crédits bancaires.

Aussi, malgré son potentiel riche, la Kabylie sous le joug arabo-islamique n’a pu développer ni son tourisme, ni son agriculture et encore moins son industrie.
Le secteur touristique avec ses quatre segments balnéaires, thermal, montagne et culturel aurait pu à lui seul développer la région. Il demeure dans un état embryonnaire du fait d’une volonté politique qui s’y oppose par tous les moyens possible, y compris par la délocalisation du terrorisme islamiste en Kabylie.

L’état d’abandon et de dégradation des zones d’activité industrielles empêchent toute perspective d’investissement en Kabylie. Avec la création des agences foncières de wilayas, le véritable patron est le ministère d’où l’impossibilité de voir une quelconque attribution à l’échelle locale. C’est là une mesure visant exclusivement à contrecarrer l’essor de toute activité industrielle et entraver les acteurs locaux qui sont les véritables vecteurs de développement.
L’exemple le plus édifiant de cette véritable stratégie est le projet CAP 2015 initié par le grand opérateur économique kabyle Issaad Rebrab. Annoncé par le groupe Cevital en 2007, le projet de réalisation d’un grand port et d’un pôle de compétitivité de dimension mondiale à Cap Jinet n’arrive toujours pas à voir le jour et n’est pas prêt d’y arriver.

Le régime raciste d’Alger ne peut pas tolérer l’implantation d’un projet susceptible de créer un million d’emploi d’emplois. Pour étouffer et punir cette Kabylie frondeuse, il prive l’Algérie d’une opportunité de réduire la dépendance de l’économie nationale vis-à-vis des hydrocarbures.

Les terres agricoles kabyles, bien que fertiles, sont sous-exploitées ou bradées par les pouvoirs publics, ce qui affecte inévitablement et d’une manière préoccupante ce secteur vital. C’est ce qui explique l’incapacité des agriculteurs à satisfaire la demande locale. De ce fait, la région est devenue dépendante de l’extérieur, alors que ces potentialités agricoles sont en mesure d’assurer son auto-suffisance alimentaire et même approvisionner d’autres régions.

Cette situation est le résultat d’une politique étatique érigée spécifiquement contre le développement de ce secteur en Kabylie. Elle tend inéluctablement vers le rétrécissement de la surface agricole utile de la région à travers le détournement des terres agricoles de leur vocation initiale. Pour ce faire, l’Etat opère quasi systématiquement une conversion des terres agricoles en foncier urbain. Un crime que les services concernés justifient par le fait que le foncier à caractère urbain est financièrement plus rentable pour l’administration fiscale que celui des terres agricoles, ces dernières étant exonérées de la taxe foncière. L’Etat pense donc prioritairement à remplir ses propres caisses, dont on connait les bénéficiaires, au détriment de la Kabylie. Voilà de quoi faire d’une pierre deux coups!

Enfin, en place et lieu d’une stratégie d’exploitation des potentialités forestières, le régime d’Alger prône celle de la terre brulée qui a dévasté les massifs de Yakourene, Akfadou, Boumahni et Mizrana. Il faut savoir que rien que dans la wilaya de Tizi Ouzou, plus de 10.000 oliviers ont été ravagés par les feux durant la période estivale 2007 sous prétexte de lutte contre le terrorisme qui curieusement ne perdure qu’en Kabylie, alors-même qu’elle est surmilitarisée.

Au lieu de mettre en place un plan spécifique pour la région en vue de rattraper son retard en matière de développement socio-économique, le pouvoir a mis en œuvre un plan d’insécurité pour faire de la Kabylie « une zone à risque » et dissuader les investisseurs et les banques étrangères à s’engager pour y injecter des capitaux.

Le terrorisme sécuritaire et bureaucratique, la pression fiscale et la faillite de l’appareil bancaire sont les mécanismes mis en œuvre par le régime pour anéantir l’économie en Kabylie, affamer son peuple et réduire ainsi à néant sa capacité de résistance à la politique de dépersonnalisation en vue de la faire disparaitre définitivement.

Par Bouaziz Ait Chebib

30 Commentaires

  1. azul

    alors que faire ? je ne crois pas qu’un voyou peut etre raisonnable une fois dans sa vie.si vous ne croyez pas à ça observez les reactions du voyou de la suisse.

    la kabylie est tres riche mais les kabyles sont atteint d’une pauvrite islarabique. nos ailleux ,avaient su dejouer la strategie de france qui leurs disaient deja quoi manger apres l’independance de l’algerie. mais remarquez bien que la methode des colons francais est reprise par les nouveaux colons heritiers des anciens colons.on dirait que la france coloniale est remplacé par le colonialisme francais,à force de voir les memes methodes qui sont appliquées.

    nous devons toujours avoir l’espoir que tout ça va s’arreter un jour et nous devons travailler pour ce seul objectif pour liberer notre peuple de l’esclavage des narco-islamo-arabo-terroristes

  2. Yakourene, par son tissu forestier(riche en la faune et la flore) fut un des endroits paradisiaque les plus rare en monde, son sous sol dispose de deux sorte d´eaux minéral, 1)chaude a des fins de régénération(, le bien etre voir meme thérapeutique)- 2) froide á des fins d´asservir la soif. {{Ces dernières années devenu un lieu infréquantable infesté par toute sorte de pourriture telque les soit-disant militaire et leurs vermine islamo-arabo-izaniste, je me demande comment les gens se laissent faire de commaitre un tel crime et parconsequent privé de leur patrimoine le plus cher!?}}

  3. Enfin un retour à l’évidence des tubes digestifs, d’acu ara theççen Iqvaylien ??? Il est évident que la Kabylie en équation mathématique= ravins et montagnes 0 sources d’énergie rentables et efficaces pour l’industrie et l’économie 0 ressources naturelles habitants campagnards & incultes. Puis, les Makists ne sont ni des Japonais ni des Suisses ni des Coréens et ni des Israéliens. Donc, un échec totale sûre et certain les attendra, au cas, où les Algériens vrais Berbères leur accordent une autonomie. Mais, puisque les Makists affichent publiquement leur haine contre l’Islam et contre l’Algérie, leur projet de dé-Islamisation de la Kabylie, leur soutien pour Israël et leur demande de son aide et soutien contre l’Algérie, alors, nous Algériens, les vrais Berbères, descendants des Ikoutamens, Izenatens, Ihouarens et Izennaguens qui étaient tous musulmans, ne vous laisserons jamais réaliser vos projets d’autonomie ou d’indépendance et souiller la terre Berbères par elkoufr révolue depuis 14 siècles, même, si La France, les USA, Nato et Israël viendront à votre secours, ça sera Algérie 1954, Afghanistan et Irak bis.

  4. c est quoi la kabylie?ils est dans son 7eme moi! comme un enfant dans le ventre de l afrique , bientot l afrique erritera de son enfant l egitime, cet enfant aura tout la famille deriere luis blanck ou noir mais afriquun toute les portes et tout les jardins luis seron ouvert ils est chez lui il aura ni froid ni fin sa mission des dieu c est d empecher l ennemie des humain de semer la pagaille chez lui.les tecnologie sont a la porter de tout le monde , les oceans a tout les peuples, les saoudien et les indou louent des terain meme en europe pour leur besion en agriculture, aharachi nous dit: vien chez moi , j habite chez ma copine!

  5. Thanemirth i Mas Ait Chebib.
    J’ai visité le sud de l’Espagne dernièrement et plus précisément Malaga, qui est une région désertique à l’ origine et beaucoup plus peuplée que la Kabylie….ils ont en fait un paradis, ils ont même développés une agriculture de montagne très impressionnante, sans parler du tourisme et des autres secteurs.
    La Kabylie est riche humainement et naturellement et son développement se fera avec la volonté des Kabyles de Kabylie et ceux de la diaspora……il faut juste nous séparer de ceux qui nous tirent vers le bas et qu’on se définit comme un peuple a part entière comme on l’avait été pendant des millénaires.
    ‘‘I Wish to preach, not the doctrine of ignoble ease, but the doctrine of the strenuous life’’ Teddy Roosevelt

  6. Voila les économies de la algerie et surtout la pauvre kabylie vont chez les fantasmes des orientaux , è
    la kabylie avait subit une terrible vague de froide et de la neige , grace a solidarité au MAK et sa solidarité qu´ils ont ramassé une somme inférieure de 20,000€ et que le ministere de la culture et l´information commence à distribuer les chéques audela des milliers de centaines ou millions d´euro pour les concerts orientaux en Algerie , a l´occasion du 50eme anniversaire .
    selon el watan
    La chanteuse libanaise Elissa est invitée en Algérie pour le 2 juillet à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance « on parle d’un cachet d’un milliard de centime, environ 100 000 euros, elle se produira à Annaba »
    un proverbe dit : chi el mach hah , ath yetch el mertaah
    Urtanmirt

  7. La Kabylie possède certes des ressources matérielles et humaines mais elle n’est pas souveraine. L’autorité suprême est détenue par qui vous savez (notre ennemi), et rien ne bougera tant que le pouvoir reste entre ses mains.

    La priorité des priorité est la reconquête de notre souveraineté. Elle ne se fera pas avec des lamentations et des suppliques mais avec des sacrifices, des larmes et du sang.
    On a beau dire, on ne peut pas voler avec une seule aile (politique), une deuxième aile (armée) est indispensable. On n’en fera pas l’économie.

    Alors, mourir au feu ou se laisser mourir à petit feu ?

  8. Parler d´economie pour une kabylie autonome ! bien sûr avec ces jeunes kabyles qui ne veulent plus travailler les Terres de leurs parents et qui preferent le gain facile , aller s´installer dans les grandes villes ou fuir a l´etranger pour vivre comme une vermine sur le dos des bosseurs .une econnomie pour une kabylie autonome avec le travail et le sérieux pas avec TAMSSLEITE ! en hatisant la haine ! Soyons raisonables.Je crois que M. Mehni a une seule idee dans la tête et ne vit que pour cette idée c est de vanger son fils au détriment de tous les berberes.Lui qu a -t-il fait pour les berberes ou les kabyles ?n´est -il pas entrain de dénigrer tous les berberes ? n´a -t-il pas peur qu ´on le juge de raciste et de regionaliste. ce n´est pas en divisant qu´on trouvera une solution pour relencer la kabylie .au lieu d´aller en israel qui n´ont rien a foutre avec un gentil comme toi . Il fallait faire appel a tous les intelectuels a tous les technocrate kabyles a l´etranger afin de developper cette kabylie sur le plan social et economique en responsabilisant le citoyen et lui enlever l´idee du berger en lui inculquant l´idee des institutions d´Etat .Il n est jamais trop tard pour bien faire.Et je continue a fumer du thé

  9. Je n’ai pas lu tout l’article, ce n’est pas par manque d’intérêt; ce qui m’a interpellé est les deux mots : Kabylie et Autonome. Rabi yehdikoum ya jma3a. Il faut construire ce pays, arrêter de le RONGER DE L’INTÉRIEUR. Je suis kabyle, et j’aime tout mon pays, ou que je sois je ferais en sorte de ne pas le trahir, de contribuer à son avancement. Les gens demandent la lune, la kabylie autonome,  » Dachu ith 3elem la kabylie ? qu’est-ce que vous avez fait pour la kabylie ? Les gens jettent des ordures partout, on arrête pas de sensibiliser, mais rien à faire, c’est devenue une affaire nationale (Tbehdayel, quelle honte de parler d’une telle question à l’heure des nouvelles technologies, avancement scientifiques, …). Alors arrêtons de dire et de faire des bêtises. Soyez bon citoyen, faite votre travail comme il se doit, ne trichez pas ou que vous soyez. SI NOUS LE PEUPLE AVIONS ÉTÉS CORRECTE, SOYEZ SURS QUE LES AUTORITES L’AUREZ ETE EUX AUSSI, ET SI ILS NE LE SONT PAS DIEU LES FERA REMPLACER PAR D’AUTRES PLUS JUSTES. ALLAHE YEHDINA KAMEL.

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