Cinquantième anniversaire de l’indépendance de l’Algérie et alors ?

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Algérie Constitution
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ALGÉRIE (Tamurt) – Rien que cela incite, par conséquent, sur la valeur et la portée réelles de ce que nous appelons de ce côté sud de la Méditerranée « l’indépendance ». Il est effectivement curieux de savoir pourquoi Paris a exigé « la modération ». Qui veut-il protéger au fait ? les anciens colons d’Algérie ou sa politique coloniale ?

La différence est effectivement de taille entre la politique coloniale mise en pratique et Algérie et la forme relationnelle ayant prévalu pendant cette période coloniale entre les colons et les Algériens. Nous reviendrons sur l’aspect de cette chose plus loin.

A présent, nous devons relever que la conquête de l’Algérie par la France fait partie des conquêtes les plus sanglantes connues jusque-là par l’humanité. Les stratèges et généraux français, soutenus par le pouvoir politique de Paris, n’ont pas manifesté moins de cruauté envers les Algériens que les Conquistadors espagnols envers les Indiens d’Amérique. Même les troupes de Gengis Khan et celles d’Attila n’ont pas fait pire que les militaires français. L’histoire ne nous a pas appris que les Conquistadors espagnols, les guerriers mongols et les conquérants huns ont brûlé vifs leurs ennemis. Les généraux français dont la plus part étaient pourtant formés à l’école militaire de Saint-Cyr et, qui, par conséquent, ont appris sur le bout des doigts les principes des droits de l’Homme élaborés par Maximilien Robespierre, Georges-Jacques Danton, Saint Juste, Hérault de Seychelles et tant d’autres vaillants concepteurs et acteurs de la révolution de 1789, ont tué par dizaines en les brûlants vifs des hommes, des femmes, des vieillards et des enfants.

Ils ont également brûlé des récoltes de blé, de fourrages, vidé des greniers des paysans, saccagé des vergers et tué le cheptel dont leurs troupes n’en avaient pas besoin. S’agissant de viols, inutile d’en parler. Chaque village conquis était synonyme de viol. Nos lecteurs et lectrices doivent savoir que jusqu’à la fin du dix-neuvième siècle, les officiers supérieurs des armées du monde entier n’éprouvaient aucune gêne à rendre public la manière dont ils ont obtenu la victoire. Un acte vu aujourd’hui comme une horreur était vu autrement à cette époque pour peu qu’une raison quelconque, comme la guerre par exemple, le justifie. C’est pour cette raison qu’à chaque village algérien conquis lors de cette terrible campagne de conquête, l’officier en charge de l’opération, souvent un général ou un colonel, un rapport circoncis et circonstancié est aussitôt établi. Aucun détail n’est oublié ou caché délibérément. Le moindre arbrisseau fruitier saccagé est soigneusement noté dans le rapport officiel. A cela s’ajoutait le concours des chroniqueurs. Les chroniqueurs ajoutaient peut-être quelques verves poétiques ou littéraires à leurs écrits. Il faut reconnaître que les Français nourrissent une culture pour l’écriture depuis plusieurs siècles. Aujourd’hui encore, ces écrits sont soigneusement archivés dans la bibliothèque nationale de France.

Qu’en était-il après la fin de la campagne sanglante ?

Après la fin de la campagne sanglante, une autre campagne non moins inique s’en suivit. En effet, une fois les Algériens réduits à l’impuissance guerrière la plus totale, une batterie de mesures administratives suivirent. Il fallait déposséder les Algériens de leurs terres, les terres fertiles naturellement. Pour cela, il fallait légalement user des lois. Or celles-ci étaient votées au Palais Bourbon (Paris). Et quand la loi à elle seule ne pouvait justifier l’expropriation, il fallait faire recours à des stratagèmes souvent diaboliques. En effet, les administrateurs français ont pensé à faire dans la provocation à l’endroit du propriétaire terrien algérien ciblé par la convoitise de ses terres. On poussait sciemment la victime à la révolte de sorte à ce que l’acte de révolte puisse être interprété et conjugué comme un acte de casus belli, et, par conséquent, un acte de rébellion contre l’autorité française. Or, il existait une loi punissant l’acte de rébellion. Non seulement, le rebelle encourait une peine de prison au bagne mais aussi de la dépossession de tous ses biens à raison de 4/5. Devant l’exagération de ces cas, les magistrats ont refusé de marcher dans la combine. C’était outrageusement contraire à ce qu’ils avaient appris à l’université. Pour combler cette lacune, Paris a décidé de mobiliser et d’armer d’un pouvoir judiciaire les gendarmes. Formés et entraînés à être des sanguinaires, se sont bel et bien ces derniers qui se sont chargés de cette triste besogne. C’est pour cette principale raison que des milliers d’Algériens se sont retrouvés au bagne de Caen, à des milliers de kilomètres au delà du Pacifique. Cependant, même toutes les terres fertiles prises, Paris a jugé que ce n’était pas suffisant.

C’est alors que les talons des intellectuels étaient loués. Victor Hugo a loué les siens au pouvoir colonialiste. Par sa plume, l’auteur des Misérables a décrit l’Algérie comme la terre d’Eden. Ses écrits sur l’Algérie que lui-même n’a jamais connue n’était ni plus ni moins qu’une incitation à la venue massive en Algérie d’aventuriers et des sans terre européens. Des études de sols faites auparavant par les scientifiques ont prouvé que de vastes étendues forestières pouvaient, si on venait à les défricher, se révéler de bonnes terres. Par leur savoir-faire, les colons ont effectivement réussi à défricher et rendre cultivable des centaines de milliers d’hectares de forêts. La célèbre et mystique Mitidja était l’œuvre exclusive des colons français. Quand, les Algériens vivaient sous domination turque, la Mitidja n’était qu’une vaste étendue de marécages. De même, les Français ont apporté certains effets de la modernité tels que l’état-civil, le savoir-faire dans les domaines de la construction, l’agriculture, l’organisation administrative, la justice et tant d’autres choses inconnues par les Algériens sous l’occupation ottomane. Nonobstant cela, la France métropolitaine a tenu l’écart la majorité écrasante des Algériens. Dans ses calculs de maintien de l’Algérie sous sa ferme domination, Paris devait jouer à l’inégalité entre les Français chrétiens (population européenne) et les Français musulmans (les Algériens). Comment réussir un tel pari si n’est maintenir les seconds dans le statut de l’indigénat, c’est-à-dire en les privant de la citoyenneté française. Du coup, en n’étant pas un citoyen français, il était difficile, voire impossible de certains privilèges garantis par la République. C’est le cas par exemple de l’instruction obligatoire pour les enfants tel que décidé par un certain Jules Ferry
en 1870, l’obtention de crédits bancaires pour le financement de certains projets d’investissements, la libre circulation, etc. Pour réduire à néant tout espoir de jouir des acquis de la république, l’administrateur français colonialiste a élaboré spécialement pour les Algériens toute une panoplie de pièces administratives. C’est à partir de là que naquit ce que nous appelons aujourd’hui la bureaucratie.

C’est également à partir de cette époque que la corruption a pris en Algérie des formes que l’on connaît aujourd’hui. Pour avoir une moindre pièce administrative, il fallait arroser le Caïd et, qui, à son tour, arrose l’administrateur français. Et parallèlement à ces mesures administratives, Paris a toujours veillé à maintenir le fossé élargi entre les Français chrétiens et les Français musulmans, et ce, en encourageant aussi bien le christianisme que l’islam. Pour les premiers, il leur était « nécessaire » d’être des islamophobes et pour les seconds des christophobes. Est-ce à soupçonner l’innocence de Paris dans la création de l’association des Oulémas dirigées pendant des années par Ben Badis ? Bien sûr que non. Ben Badis et ses confrères ainsi que leurs disciples respectifs ont été encouragés par la France métropolitaine dans leurs prêches et actions consistant à répéter aux Algériens que la seule science valable pour eux ne pouvait être autre que le coran. Ces Oulémas, sous les encouragements de Paris, n’arrêtaient pas également de plaider à ce que les Algériens se différencient des autres par les habitudes alimentaires et vestimentaires. Même le port d’un costume cravate était déclaré « prohibé » pour les Algériens par ces Oulémas. Les Français musulmans se voyaient toujours rappelés l’impératif de porter une djellaba, un seroual (large culotte) et, surtout, éviter de se raser et se pomponner le visage avec l’eau de toilette.

Quel est l’effet produit par le stricte élément temporel sur les Français chrétiens et les Français musulmans ?

L’implacable élément temporel est plus fort que toute puissance humaine. En effet, avec le temps, d’une façon ou d’une autre le contact entre les Français chrétiens et les français musulmans a fini par se nouer même si ce n’est pas toujours pour le meilleur. Dans les deux camps, des curiosités tentaient de franchir la barrière pour découvrir « cet autre ». Surtout, pour des besoins commerciaux, chacun tentait d’apprendre la langue et la culture de l’autre. Toujours le temps aidant, des liens d’amitié, voire de fraternité, se tissaient. L’indiscutable lien a été mis en avant lors de la Grande Guerre et de la seconde guerre mondiale. Les Français chrétiens d’Algérie n’ont jamais senti ce lien fraternel avec les Français de la Métropole ni au cours de la Grande Guerre ni au cours de la seconde guerre mondiale. « Là-bas chez-nous, on faisait ceci et cela … », disaient-ils aux Français de la Métropole. Loin des yeux, loin du cœur, dit le vieux dicton. Cette vérité indiscutable est révélée par la fin de la seconde guerre mondiale. Les Algériens reconnus comme étant des baroudeurs lors de cette terrible guerre face aux Allemands ont été reconduits, sur ordre de Paris, à ce qu’ils étaient avant le déclenchement de la guerre, c’est-à-dire des indigènes ne méritant pas la reconnaissance officielle de la France. Une telle mesure discriminatoire a suscité de grands mécontentements parmi les Français chrétiens d’Algérie. Certains officiers Pieds Noirs qui osé dénoncé cette injustice ont subi de lourdes sanctions. (IL est vivement recommandé de lire le livre intitulé « l’Affaire des Officiers Algériens », écrit en 1957 par Abdelkader, lui-même était officier au sein de l’armée française. En clair, si le colonialisme français a commis des crimes odieux sur les Algériens, c’est par la seule et unique volonté de Paris et non par les colons eux-mêmes. Ceux-ci ne faisaient qu’appliquer les lois. Evidemment, cela ne doit dispenser tous les colons. Mais qui a donc refusé l’intégration aux Algériens ? C’est bien les députés de la France métropolitaine. Aujourd’hui, beaucoup d’Algériens, faute de maîtrise des notions de l’histoire, désignent les colons comme les seuls responsables des crimes alors qu’en vérité, les véritables responsables sont les colonialistes à l’image de Victor Hugo. Hélas, cet écrivain est pour la plus part des Algériens le symbole de l’honnêteté intellectuelle. Victor Hugo a manifesté pour le peuple français autant de bravoure intellectuelle et politique que de malhonnêteté intellectuelle pour les Algériens. L’écrivain français qui a dénoncé avec beaucoup d’acharnement le colonialisme dont étaient victimes les Algériens n’est autre que Henri de Montherlant (1895-1972).

Pourquoi les Français chrétiens d’Algérie n’ont pas adhéré au combat du Front de Libération Nationale (FLN) à la veille du déclenchement de la guerre d’indépendance en 1954 ?

Difficile de répondre à cette question sans risque de se tromper tant il y a manque de preuves devant appuyer quelques assertions. Toutefois, il est permis de faire quelques conjectures.

En effet, il est curieux de savoir si le FLN a approché les Français d’Algérie en vue de les associer au combat libérateur de la tutelle de la France métropolitaine ? S’il ne l’a pas fait, pourquoi ? S’il l’a fait, la réponse est évidemment claire : il a essuyé un refus catégorique. Qui a massacré les premiers colons lors du déclenchement de la guerre ? Aucune preuve n’existe quant à l’implication de l’Armée de Libération Nationale (ALN). Pas de preuves non plus concernant l’implication de l’armée française. Et pourtant des familles entières de colons ainsi que leur cheptel ont été égorgés. Dans certains cas, même les enfants n’ont pas été épargnés. L’ALN n’avait pas l’habitude de s’attaquer aux individus sans défense, notamment les enfants et les personnes âgées. L’armée régulière française non plus. Certains universitaires algériens suggèrent la piste des services spéciaux français.
C’est d’ailleurs la plus plausible. L’objectif ciblé : terroriser les colons et au même temps désigner l’ALN comme responsable de la terreur.

1956, année de grande panique pour la France métropolitaine.
Avec la découverte du pétrole dans le Sahara et la montée sans cesse du FLN, la France métropolitaine a été prise de panique. Il fallait redoubler la répression envers les adhérents du FLN et, au même temps, séduire les populations non encore touchées par « le virus » de l’indépendance. C’est ainsi que des routes sont construites pour désenclaver les villages, des écoles construites et ouvertes pour les enfants algériens, des emplois sont proposés aux hommes et tant d’autres bonnes choses de la part de la « République ». Au maquis, les combats sont intensifiés. La propagande en direction des Français d’Algérie a augmenté d’intensité. La suite, nous la connaissons. Le plan du général Challe a mis en déroute l’ALN pour ne pas dire qu’il l’a anéantie. Cependant, sur le plan politique, le FLN n’arrêtait d’asséner des coups « mortels » à la quatrième République. Non pas que les éléments du Gouvernement Provisoire de la république Algérienne (GPRA) étaient plus compétents en matière politique que les politiques français mais tout simplement, ils avaient un atout dans la manche : le pétrole de Hassi Messaoud. Ni les Américains, ni les Britanniques, ni les Russes, ni les Chinois et ni aucune autre puissance ne voulaient d’une France comme « une possible » super puissance un jour. Paris, la mort dans l’âme, se résolut à abandonner ce terrain « trop favorable » au FLN. C’est alors que Charles de Gaulle proposa un autre plan : une association franco-algérienne et qui n’était autre qu’une forme de tutorat que la France devait exercer sur l’Algérie en attendant de trouver meilleur plan. Avec, encore une fois, le rejet de cette proposition à la poubelle, Paris décida de jouer le tout pour le tout : priver les Algériens de ressources humaines. Dans ce cadre précis justement, est-ce que le FLN a fait quelque chose pour maintenir les Pieds Noirs ? Ceux-ci sont partis, semble-t-il, dans la précipitation ? Pourquoi ? De qui avaient-ils peur ? Qui les a menacés ? Même dans ce cas, il n’existe aucune preuve de la culpabilité de l’ALN-FLN. Ce que l’on sait en revanche à présent, c’est que les Français sont associés aux affaires algériennes pour ne pas dire, les maîtres décideurs de l’Algérie. Ce sont toutes ces questions que les jeunes Algériens doivent élucider et non « brailler » comme des ânes ou danser comme des streap-taiseuses de cabarets à l’occasion de chaque fête dite « de l’indépendance ». Les jeunes Algériens doivent savoir pourquoi de l’autre côté de la Méditerranée, on ne sent pas offusqué lorsque de ce côté-ci on gonfle d’une manière éhontée le nombre de morts occasionnés par la guerre d’indépendance. Pourquoi donc les Français ne se sentent pas effrayés lorsqu’on parle ici à tout bout de rue que « pas moins d’un million et demi de martyrs » sont tombés entre 1954 et 1962.

Pourquoi Krim Belkacem n’a parlé que de 488.000 martyrs environ et les français eux-mêmes le chiffre de 300.000 ?

Qui a donc intérêt à gonfler les chiffres. Pourquoi a-t-on menti aussi sur le nombre de victimes du 8 mai 1945 ? Alger et ses nombreux ignares avancent le chiffre de 45.000 victimes alors que les Français ne reconnaissent que 13.000. De leur côté, les universitaires algériens, enfin les universitaires dignes de ce nom, situent le nombre de victimes entre 13.000 et 15.000. Pour appuyer leur thèse, ces Algériens, partisans de la vérité historique, soulignent tout simplement qu’en 1945, l’ensemble des habitants touchés par la violente répression française n’atteignait pas le nombre de 45.000. Les jeunes Algériens doivent également découvrir pourquoi il y a eu falsification sur la date de l’invasion de l’Algérie par les troupes françaises. Les Français ont atteint les hauteurs d’Alger au cours de la matinée du 14 juin 1830. Lors de leur débarquement, ils n’ont pas trouvé âme qui vive sur leur chemin. Le 5 juillet 1830, il y a eu la capitulation d’Alger. Ahmed Zamoum et ses troupes, partis de Kabylie, ont rencontré les envahisseurs sur les plaines de Staoualli. Bien sûr, les Français, mieux armés et parfaits connaisseurs de la science de la guerre, n’ont eu aucune difficulté à venir à bout des résistants qui n’avaient que la foi comme véritable arme. Du côté kabyle, il y avait même disette de chevaux. D’ailleurs, même les quelques vaillantes montures existantes, n’ont rien pu faire contre les canons meurtriers ennemis. A une distance de plus de 500 mètres, le boulet tiré pulvérisait le cheval en pleine course et son cavalier.

Enfin, les jeunes Algériens doivent chercher à connaître le véritable contenu du document portant les accords d’Evian. Qu’est-ce qui a réellement discuté entre les deux parties à Evian ? Est-ce qu’il y a eu des discussions parallèles à celles d’Evian entre les parties occultes françaises et algériennes. Sur quoi ont porté ces discussions « secrètes ». Quelles étaient les personnalités physiques ayant pris part à ces discussions secrètes ? Pourquoi juste après la proclamation de l’indépendance, l’Algérien entra en pleine crise politique ? Qui est véritablement à l’origine de la crise de l’été I962 ( congrès de Tripoli qui reste ouvert jusqu’au jour d’aujourd’hui) ? Pourquoi tant de vaillants chefs du FLN à l’instar de Khider et Krim Belkacem ont été liquidés physiquement juste au cours de ces années ayant suivi l’indépendance ? C’est en trouvant des réponses justes à ces questions qu’on pourrait comprendre un tant soit peu la véritable nature relationnelle existante aujourd’hui encore entre Paris et Alger.

Et nous devons rappeler que ce n’est pas en braillant comme des ânes et en jouant des hanches et des fesses au son du tambour et de la cornemuse qu’on a une chance de connaître la vérité.

Saïd Tissegouine

15 Commentaires

  1. L’Algerie arabo-islamiste a 50 ans .C’est la fete ,grand bien leur fasse!!
    Pour la Kabylie mis à part les pelerinages dans les cimetieres pour comemorer les
    assassinats commis par ce meme etat arabe qu’en est- il ?Rien n’a changé depuis
    le départ de l’administration française: Répression, assassinats,éxiles, enrolement de force
    au sein d’une armée totalement étrangere et à caractere totalement colonial.
    S’ajoute un systeme educatif specialement conçu pour détruire,gommer l’identité kabyle.
    Une chose est claire:Tant que la Kabylie n’aura pas dressé une armée réguliere
    pour sa liberté ,rien ne changera pour nous et j’ajoute que si nous restons toujours
    avec notre mentalité d’hysterique ou naif ,nous en payerons le prix extrémement élevé.
    Dans l’histoire,je n’ai jamais lu qu’un peuple pouvait se libérer en ayant un comportement
    d’assisté ou de philosophe.

    Allez!! Prochain objectif:La prise du fortin assiégé.

  2. Le pire des colonialisme qui est pire que celui des français c’est celui du régime algérien issu du coup d’État de 1962 dit le clan d Oujda. Les soldats français n’ont tiré que sur des gens qui les combattaient et armés. Le régime d’Alger tire sur des civils et du même pays, même religion, sauf pas des Arabes bien sure, car pour ce régime il faut devenir un arabe en parlant le patois des bidonvilles d’Alger et de ces environs. Dés l’instant ou vous devenez arabophone vous devenez un anti humain, un terroriste a vie, un voleur, un menteur, un destructeur, etc…{{Ahmed Ben Bella était « un salafiste » (à sa façon) dés 1962, il avait fait coulé l’alphabet berbere tifinagh de l’imprimerie d’Alger laissée par les français. }} C’est aussi un salafiste parce que il est un négateur un destructeur de tout savoir de toutes traces d histoire, etc..
    Les Français n’ont jamais essayé de détruire les traces de notre histoire encore moins notre langue. Les colonialismes sont différents. Celui des Arabes est plus négateur, destructeurs, c’est une guerre sans fin.

  3. « William Schaller, consul général des Etats Unis à Alger, Esquisse sur l’Etat d’Alger, 1826 :

    Le châtiment réservé aux Juifs est le feu, le décollement, la pendaison et les crocs, et le dernier supplice pour les femmes est d’être noyées.

    Le nombre et la richesse des Juifs vont toujours s’affaiblissant et je crois qu’aujourd’hui les Juifs d’Alger sont peut-être les plus malheureux d’Israël.

    Un musulman ou un chrétien qui va dans les rues quand il est nuit, doit avoir une lanterne allumée ; mais un Juif doit porter une lumière sans lanterne ; car, dans toutes occasions les Juifs sont frappés de distinctions humiliantes.

    Les malheureux enfants d’Israël, traités avec tant de rigueur dans les autres contrées, ne devaient attendre des Barbaresques que bien peu d’indulgence ; et, certes, il n’est aucune espèce d’outrage, aucune espèce de vexation auxquelles ils ne soient exposés. On leur défend d’écrire ou de parler l’arabe, dans la crainte qu’ils ne deviennent capables de lire le divin Coran. Ils ne peuvent monter à cheval, et sont obligés de se servir de mulets et d’ânes, le premier de ces animaux étant regardé comme d’une trop belle espèce pour eux. Quand ils passent devant une mosquée, il leur faut marcher pieds nus ; et ils n’osent point s’approcher d’un puits ou d’une fontaine pendant tout le temps qu’un Maure y boit : il leur est également interdit de s’asseoir devant un mahométan. »
    Je n’adhère point à l’idée coloniale mais cette conquête d’un autre temps répondait à des actes de piraterie , de barbarie , de terrorisme et de traite d’esclaves chrétiens sur les côtes nord de la Méditerranée ..

  4. Monsieur le journaliste ST: Les jeunes anegeriens s’enfichent de leur identité, culture et histoire amazighs. Leur seule mission sur terre est d’enlacer le cul du cadavre momoh 5 fois par jour et lancer des salamalik 1000 fois par jour, ils refusent d’apprendre leur langue amazigh parce que le cadavre colonial momoh leur a appris que la langue arabe créée 3 siècles après sa mort, est la langue du chef des diables allah! La science pour eux est un affaire des infidèles, ennemis d’allah. 50 TOOOZZZ !!!!!!!!!! 50 ans de TOOZZ!!!!!! Et encore 50 fois TOOZZ!!!!!!!!!!!

    Ils ont fait le choix d’aller en enfer sans le savoir! Et personne au monde ne peut les sauver!!!!!!!

    Vive la Kabylie indépendante! A bas le colonialisme terroriste allaho-momoho-infernal!!!!!!!!

  5. {{Les parades militaires, pour quelle objectif? exposé l´armement de la nouvelle génération qui ira jusqua la conquete spaciale, et la technologie évidemment le made Algeria, il ya de koi impressionné bcp de monde notammnet avec le le pas geon fait dans le progré par notre cherie algerie poste colonial.
    En effet la france fait la la concurence avec d´autre puissance pour gagné quelque marché, se n´est seulement dans secteur enérgitique mais aussi le morceau du terrain de la mitidja qui ´s est étant sur tout le long de l´algeroi attise leur convoitise(sidi-barhim et sidi orange oblige), pour y arrivé a cette obejectif, il faut que l´ex puissance colonial drague intensivement bouteflika(illak adha-chuf agkanduris), autoproclamé depuis 1999 comme le chef de mordia!
    huraytoun moubarakatoun!!!}}

  6. L’orsqu’on des des femmes des homme kabyles ou autres(Taos amrouche,Slimane azem,Kateb yacine etc..),sous une autre forme,déformés ou carrément dénaturalisés de leur patrie,que reste-il à vivre avec ce pouvoir autiste d’Alger?

  7. 200MILLIARS DE DOLLARS entre les mains des truants, ca me glace le sang cest pire que la bombe atomique pakistanaise; L’ O N U . doit mettre sous tutelle les pays petrolier;ils doivent juste nous donner des pattates; semoule; l’huile et des vettements de marques pour les algerois;du chite pour les oranais ; du bon vin pour les kabyles;on sera plus heureux comme ca.

  8. Le livre de JJJordi,sur les disparus demontre avec des archives declassifiées le role du FLN dans l’exode des pieds noirs,jusqu’au massacre d’Oran…
    Quant à l’article,pourquoi ne parle-t-il pas des autres conquetes notamment de l’expansion musulmanet les conquetes turques qui elles aussi ont été très sanglantes?

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