Tizi Ouzou, Clôture des festivités de l’hommage à Cheikh Nourdine

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Tizi-Wezzu, Tamurt.info: C’est donc toute la localité de Larbaâ Nath Irathen, 25 kilomètres au sud est de Tizi-Ouzou, qui a replongé dans ce décor théâtral pour rendre hommage à cet artiste à l’initiative de la dynamique association Tigdjdit.
Un programme très riche en diverses activités culturelles était proposé durant ces cinq jours. Et c’est hier soir que s’est déroulée, à la salle de cinéma Afrique, la cérémonie de clôture des festivités de cette deuxième édition des journées théâtrales, manifestation culturelle de haute facture qui gagne en maturité et en renommée.
Une dizaine de troupes théâtrales venues de différentes localités de la wilaya à côté de la troupe de l’association Numidia d’Oran ont pris part aux festivités qui se sont déroulées en présence des membres de la famille de Chikh et de ses enfants qui ont été émus par cet hommage rendu à cet homme de culture.

Au total, six prix ont été remis aux participants. Le prix du meilleur spectacle a ainsi été décerné à la pièce Takana de la troupe de Taourit Amokrane, celui du meilleur texte pour la pièce « domino » de l’association Youcef Oukaci, le prix de la meilleure interprétation féminine a été attribué à Khelfoun Katia et celui de la meilleure interprétation masculine à Brik Chaouch Mohamed alors que le prix de la meilleure mise en scène a été attribué à Lyes Mokrane , celui du meilleur décor à la pièce « Muh Uperpuc » ( adaptation de Tartuffe de Molière), ceci en plus des diplômes décernés aux participants. La fête de clôture a été marquée par la représentation de la pièce « azal N Telleli » (Le prix de la liberté) du théâtre régional Kateb Yacine, la chanteuse Célia Ould Mohand de l’association culturelle Numidia d’Oran et le groupe Ilemezyen Nath Irathen.

Cheikh Nourdine est né en 1918 au village Aguemoun, à Larbaâ Nath Irathen. Il avait entamé une longue carrière artistique durant laquelle il a pratiquement touché à tout : le cinéma, la chanson et le théâtre depuis 1960. Il est décédé au mois d’août 1999. Cheikh Nourdine a marqué également son parcours avec ses nombreux sketchs réalisés avec l’autre monument de la culture kabyle, le chanteur Slimane Azem. Il l déparque très jeune à Alger, en 1935, alors que son âge ne dépassait pas les 16 ans. Il composera plusieurs chansons, comme A xali xali, Yelis t murth, Allo triciti, etc.

Lounès O.

1 COMMENTAIRE

  1. {{les déficits d´éducation Algerienne crée des malades mentaux chez nos enfants :}}
    Nous somme victimes du système pédagogique Algérien par leur {{système d´Arabization généralisé}} et forcée ! l´Arabisation est un phénomène qui progresse négativement et produit une maladie s´appel : {{la Dyslaxie}} .
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Dyslexie
    Ce psychopath de BenBouzid porte atteinte à notre système d´éducation de Tamazight , sorte
    d´un crime culturelle et scientifique , il a injecté cette malade dyslaxie par une indifférence et un déséquilibre pour le but de détruite l´éducation de Tamazight dans les écoles Algérienne et
    freiner tout progrés de cette langue dans sa propre terre Tamazight .
    la méthode d´apprentissage et la maîtrise de la langue Tamazight dans les différentes région Amazighophone , par example :
    La Kabylie ( transcrire Tamazight en Latin )
    Chawia (transcrire Tamazight en Tifinagh )
    M´zab ( transcrire Tamazight en Arab )
    {{J´espère que nos élites peuvent suivre en justice ce psychopath et doit etre juger pour ce qu´il a fait et planifié pour détruire notre langue maternelle .
    }}

    {{Généralitée sur cette maladie :}}
    La dyslexie est un trouble spécifique de l’apprentissage de la lecture, lié à une difficulté particulière à identifier les lettres, les syllabes ou les mots qui se manifeste en l’absence de tout déficit visuel, auditif ou intellectuel et malgré une scolarisation adéquate. La dyslexie entraîne souvent des difficultés orthographiques associées. On parle de dyslexie acquise (ou alexie) pour caractériser les déficits de lecture qui apparaissent à la suite d’une lésion cérébrale chez des personnes qui lisaient tout à fait normalement avant cette atteinte du système nerveux central. Par ailleurs, le terme de dyslexie, est le plus souvent utilisé pour renvoyer aux difficultés spécifiques qui se manifestent chez l’enfant au moment de l’apprentissage de la lecture. Ce trouble d’origine génétique se manifeste indépendamment du contexte éducatif, social, ou psycho-affectif de l’enfant. Le contexte joue un rôle important dans l’expression du trouble mais n’est pas à l’origine des difficultés rencontrées. La dyslexie a été reconnue comme un trouble du développement des acquisitions scolaires par l’Organisation mondiale de la santé en 1991 qui estime qu’elle touche de 8 à 12 % de la population[réf. nécessaire], dont 5 à 15 % des enfants1. Son diagnostic est établi au moyen d’un bilan pluridisciplinaire mené par un professionnel médical et divers acteurs appartenant à des professions paramédicales, bilan qui permet d’éliminer d’autres causes et de caractériser le type de dyslexie pour lui apporter les réponses les mieux adaptées en termes d’aménagement scolaire, prise en charge et remédiation. Pour le moment, il n’existe aucun examen paraclinique permettant d’aider au diagnostic, mais il semble que certaines méthodes d’imagerie médicale soient capables d’identifier les mécanismes de compensation qui sont efficaces pour surmonter le trouble2.
    De nombreuses études scientifiques ont permis d’identifier des facteurs génétiques impliqués dans l’étiologie de la dyslexie. Néanmoins, ce trouble de la lecture reste très dépendant de l’environnement socio-linguistique : en particulier, la dyslexie est d’autant moins handicapante que la langue est plus transparente. Ainsi, les enfants dyslexiques qui doivent maîtriser des langues transparentes comme l’italien ou l’espagnol lisent le plus souvent sans erreur ; leur trouble se manifeste essentiellement par une lenteur de lecture. Au contraire, les dyslexiques font de nombreuses erreurs (déformations des mots) dans des langues plus opaques comme l’anglais ou le français ce qui affecte à la fois la justesse et le temps de lecture. Pourtant, la notion de dyslexie de l’enfant reste toujours en débat. Si la grande majorité des scientifiques sont dans l’ensemble d’accord pour reconnaître son origine biologique, d’après certains spécialistes, en particulier en France, elle représenterait une médicalisation excessive de questions pédagogiques et psycho-sociales

    Ur tanmirt .

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