Tizi-Wezzu, Tamurt.info: Les anciens rappelés comptent également battre le pavé des rue d’Alger le 1er octobre prochain. Mais les chances de voir leur marche tolérée sont minimes, comme d’habitude. Le pouvoir central d’Alger va déployer tous les services de sécurité pour empêcher la marche. C’est logique, au faite, car ils seront considérés come des étrangers.
Ils revendiquent leurs droits les plus élémentaires depuis plus d’une année. Le pouvoir central d’Alger continue à leur faire la sourde oreille. Les rappelés sont abandonnés à leur propre sort une fois les institutions de l’Etat étaient sauvées des griffes de la horde islamiste. Bouteflika leur a tourné le dos. Des terroristes dont les mains sont entachées de sang sont pris en charge par l’Etat et bénéficient de toutes les largesses en faveur d’une loi taillée sur mesure, mais pas les anciens rappelés qui ont tout sacrifié pour sauver le pays.
Les marcheurs ont scandé à tue tête des slogans anti pouvoir. Ils sentent trahis par les responsables militaires qui profitent de leur retraites dorée dans des pays occidental. Aucun chiffre officiel n’est disponible sur le nombre exact des anciens rappelés. Une chose est sûre, la plupart d’entre eux sont des Kabyles.
Izem Irath.info
Photos: Marche des appelés à Tizi-Ouzou le 24/08/2012, DR.
Vous vous etes fait avoir comme des novices en servant de chaire à conon pour « une armée de Boussouf et de Boumedyen qui vous hai et vous a urtilise pour sauver ses interets. Saadi est responsable de cette trahison en entrainant ses comptriotes kabyles à venir en aide au régime assassin de Abane, Amirtouche, Krim et tous les autres.
* Phrase sur la banderolle était celle de Didouche Mourade. Il repose dans un cimetiére à Constantine où sa tombe a été prophané.
Il n’y a d’autres issues – Ils est temps de vous reintegrer, vous entrainez et etre pres des armes, car la vraie guerre est inevitable, elles attend tout le monde, alors autant s’y preparer. Ce regime ne vas pas vous provoquer eternellement, tot ou tard il passera a l’action.