ALGÉRIE (Tamurt) - « Je soutiens Bouteflika pour un 4ème mandat », a annoncé Amara Benyounès, avant d’ajouter, ou plutôt de préciser et de rappeler pour ceux qui feignent de l’oublier qu’il soutien Bouteflika depuis 2004. Une affirmation qui ne trompe personne sur les visées clientélistes d’un nouveau suppôt du régime, au détriment des valeurs humaines et politiques. Désigné ministre depuis le dernier remaniement Amara Benyounès dont l’engagement au côté de Bouteflika ne souffre aucune ambigüité, même un brin de hantise, réitère sa volonté de vendre son âme quitte à faire des heureux parmi ses détracteurs qui le désigne comme un KDS jusqu’au boutiste.
Pour la journée de vendredi, le public aura droit à une pièce théâtrale, intitulée ‘’tacbaylit’’ qui sera présentée par l’association Uqtaan d’Akaouadj, alors que la journée de samedi sera marquée par une conférence débat qui sera animée par M. Omar Fetmouche, directeur du Théâtre Régional de Béjaïa, au tour de l’œuvre de Mohia.
KABYLIE (Tamurt) - Suite au match nul consenti à domicile, hier soir, par la JSK contre l'ESS (1-1), Mohand-Chérif Hannachi a déclaré, devant un parterre de journalistes, "quitter définitivement" le club phare de la Kabylie, la JSK (Jeunesse sportive de Kabylie).
Avant de déclencher une intervention militaire, a-t-il souligné, « il faut d’abord trouver une solution politique entre l’Etat malien et l’Azawad. Il faut entamer des négociations sous les auspices de la communauté internationale ». « L’intervention militaire risque d’apporter plus de problèmes que de solutions dans la région. Elle peut faire beaucoup de victimes et provoquer des déplacements de population importants », estime M. Ag Achérif.
Bien avant l’émergence des « printemps arabes », il y eut tout en début des années 80 en Algérie, ce qu’on qualifie de « printemps berbère ». Alors que le mouvement de contestation réclamait la reconnaissance de son identité et Tamazight en tant que langue officielle, 32 ans plus tard, nous n’en sommes qu’à une mi-reconnaissance.