L’Académie berbère avait été durant une dizaine d’années le foyer de toute une génération de militants amazighs mobilisés pour la défense et la réhabilitation de la langue et de l’identité amazighes dans les pays de l’Amazighie.
TIZI WEZZU (Tamurt) - Le parti de Hocine Aït Ahmed ( appellation qui colle malgré le retrait de ce dernier de sa prèsidence) est sur la corde raide. Il s’est fragmenté davantage. Sa décision de participer à toutes les élections que le pouvoir organise a été presque fatale, pour ainsi dire. Presque tout l’ensemble des anciens responsables du FFS se sont réunis aujourd’hui, toute la journée, en conclave en vue de redresser leur parti « récupéré entièrement par un clan de Bouteflika ».
CONTRIBUTION (Tamurt) - Dans cet article, il est plus qu’utile d’engager une réflexion profonde sur l’école de demain. C'est-à-dire l’école Kabyle dans une Kabylie autonome. Avant d’entreprendre une quelconque suggestion sur les modalités d’une école Kabyle démocratique, laïque et citoyenne, il est de prime abord de souligner le caractère chaotique et l’échec de l’école Algérienne dans tout son ensemble. On peut, a priori, diviser l’enseignement en Algérie en deux phases :
INTERVIEW (Tamurt) - M. KHACER Med Ouramdane est l’un des anciens militants de la cause Amazigh les plus actifs en France avec un parcours qu’il a entamé depuis le début des années soixante.
Ancien Membre de l’Académie berbère, il a consacré toute sa vie au militantisme. Khacer, a été forcé à l’exil en 1969, après avoir fait passer une chanson de Slimane Azem à la chaine II où il travaillait.
Il était parmi les premiers Algériens à qui on accordait l’exil politique à l’époque. Khacer créera l’une des premières associations berbères en 1985 à Roubaix. Ces dernières années, il anime plusieurs conférences dans des universités françaises sur l’Amazighité et la démocratie. Dans cet entretient, il revient sur plusieurs facettes de la culture amazighes.
INTERVIEW (Tamurt) - M. KHACER Med Ouramdane est l’un des anciens militants de la cause Amazigh les plus actifs en France avec un parcours qu’il a entamé depuis le début des années soixante.
Ancien Membre de l’Académie berbère, il a consacré toute sa vie au militantisme. Khacer, a été forcé à l’exil en 1969, après avoir fait passer une chanson de Slimane Azem à la chaine II où il travaillait.
Il était parmi les premiers Algériens à qui on accordait l’exil politique à l’époque. Khacer créera l’une des premières associations berbères en 1985 à Roubaix. Ces dernières années, il anime plusieurs conférences dans des universités françaises sur l’Amazighité et la démocratie. Dans cet entretient, il revient sur plusieurs facettes de la culture amazighes.
CULTURE (Tamurt) - Le 5 janvier 2005, la chanson kabyle en particulier perdait l’un de ses piliers et l'un des ambassadeurs de sa culture en général. il s'agit de Brahim Izri, chanteur moderne qui a marqué son époque avec son style musicale limpide. Il nous a quitté des suites d'une longue maladie qui l’a emporté à l’âge de 51 ans dans un hôpital parisien. Il est parti au moment où il pouvait tant donner à la chanson Kabyle.
CULTURE (Tamurt) - La 4ème édition du Festival national du théâtre amazigh qu'a abrité la wilaya de Batna du 10 au 18 décembre dernier, n’était pas du goût de tous les participants.