La coordination inter-villages reconnait que « la mise en place d’une décharge intercommunale contrôlée demeure une nécessité pour éradiquer le phénomène des décharges publiques sauvages qui nuisent à la santé publique et menace directement la faune et la flore » mais elle précise néanmoins, « qu’elle ne doit pas être implantée au cœur du poumon de la région ».
Cette énième disparition tient en haleine toute la région des Ath Dwala qui souffrent du cauchemar des enlèvements. Plusieurs personnes originaires de cette région, dont un jeune originaire du même village que Ali, à savoir Tala Khelil implanté juste un peu plus haut que el barrage de Taksebt ont été enlevées depuis l’apparition du phénomène des enlèvements.
Plusieurs citoyens qui ont postulés à l’octroi de logements sociaux à Tigzirt, au nord de Tizi-wezzu (Tizi-Ouzou), n’ont pas caché leur colère en decouvrant que leurs noms ne figurent pas sur la liste des bénéficiaires.
Hier soir seulement, l’agence postale du grand village Attouche, dans la localité de Makouda, 20 km au nord de Tizi Ouzou, a été saccagée et incendiée par des inconnus. Les malfaiteurs se sont introduits par la fenêtre, ce qui laisse supposer qu’il s’agit d’un acte préparé et étudié, selon une source locale.
Cinq des étudiants ont été « accusés » par la tutelle d’avoir organisé une grève illégale alors que les quinze autres, dont trois grévistes de la faim, ont été poursuivis par le directeur de l’institut Ben Mahdjoub Abdelaziz, pour avoir occupé des chambres illégalement. Et comme il est attendu le tribunal administratif d’Alger a sorti un arrêt de référée ordonnant aux étudiants de quitter l’institut.
Le président de l'Assemblée nationale constituante tunisienne, Mustapha Ben Jaafar, a confirmé ce mardi à Paris la tenue d'élections dans son pays «avant la...