DRAA EL MIZAN (Tamurt) – Las d’attendre que leur sort lamentable soit enfin connu des pouvoirs publics et, surtout, convaincus que la patience que leur ont toujours recommandée leurs élus ne paye pas puisqu’ils ont même fait preuve d’une longanimité sans pour autant que leur vécu quotidien ne connaisse une moindre amélioration, les citoyens du village de Hénni dans la commune rurale de Draâ El Mizan n’ont eu d’autre alternative que de passer à l’action radicale au cours de la journée d’hier, jeudi 25 avril.
Pour une action radicale, c’en est vraiment une puisqu’ils ont procédé tout simplement à la fermeture pure et simple de l’APC. Pas le moindre service de cette institution n’a fonctionné puisqu’en sus de sa fermeture, les villageois de Hénni en colère y ont tenu un sit-in durant toute la journée.
A travers cette action radicale, les manifestants demandent à ce que leur village soit alimenté en gaz de ville et en eau potable et jouisse de l’assainissement et du bitumage de la route.
Dans leur déclaration à la presse, les responsables de ce village, tous des jeunes et instruits, ont affirmé que leur calvaire dure depuis très longtemps. « Même nos enfants parmi lesquels se trouvent ceux qui doivent affronter les épreuves prochaines du baccalauréat n’ont pas le droit au transport scolaire », a souligné le porte-parole du village de Hénni.
S’agissant de l’eau potable, les manifestants ont avoué ne rien comprendre à la situation de disette dès lors « que l’on nous chante partout que l’eau est en abondance dans notre wilaya alors que notre village souffre le martyr ».
Ces villageois ont tenu également à souligner qu’ils ne demandent pas la lune aux responsables concernés mais un juste un minimum de développement.
Saïd Tissegouine
le peuple kabyle doit un jour cesser de quémander et de pétitionner ses droit les plus elementaires!il doit les imposer,les exiger et meme se battre pour les realiser.jusqu’a quand devrons nous solliciter,prier et demander a ce que nous soyons considerer par ceux là mémes qui nous méprisent et nous haissent?
PEUPLE KABYLE TU N’AS QU’UNE SEULE ALTERNATIVE ,LES ARMES : OUI PRENONS LES ARMES
CAR CETTE VERMINE DE BEDOUINS SE CROIT DETENTRICE DU MONOPOLE DE LA FORCE ALORS
APRES LA COLONISATION C’EST NOTRE EXTINCTION ,NOTRE FIN QU’ILS ONT COMME PROJET……
CHASSONS LES DE NOTRE TERRITOIRE ET QU’UN SEULE BÉDOUINS NE DOIT ECHAPPER A:………..
L’EPURATION AU NETTOYAGE ETHNIQUE….POURLA SURVIE DE LA KABYLIE
salut, je connais trés ce village car je suis de dra-el-mizan s’est une juste revendication pat rapport à ce qu’ils souferts pendant les évé&nements , je vois que pendazntq 51 ans d’indépendance ils sont au poi-mmort,slimane azem la bien (cela était labourer par le boeuf et c’lane qui profie de la récolte.
Bonjour
Moi aussi j’ai grandi dans cette localité et je peux dire que beaucoup de villages souffrent du manque d’eau potable, de l’état des voiries ainsi que de l’absence de raccordement au gaz de ville. Je connais
aussi un grand quartier qui englobe plusieurs cités que j’appellerai des favelas où la pauvreté , le chômage sont le lot quotidien d’un grand nombre des résidents de ces cités construite à l’époque coloniale ( cité de liège, cité Ziconi, cité évolutive, cité Caper etc…). L es pauvres citoyens de ces sortes de bidonvilles ont toujours été marginalisés, délaissés, discriminés, stigmatisés.Ils sont des penny less people, des gens sans peu . Sur les différents projets de construction de logements, les pauvres, ils ne bénéficient que de quelques miettes et ceci après maintes revendications et luttes. Les pauvres ils sont comme des Don Quichotte qui luttent quotidiennement contre ces sortes de moulins à vent que sont devenus les autorités locales. J’en connais un bout car moi aussi j’étais membre d’une association de défense des droits des citoyens de ces quartiers . Lorsqu’il m’arrive de m’y rendre là bas j’ai l’impression que je fais une descente au moyen âge si ce n’est les paraboles et l’usage des téléphones portables qui attestent qu’on est bien dans ce siècle de technologie. Croyez moi mon cœur se chagrine et s’attriste de la réalité qui perdure depuis l’indépendance laquelle n’est pas passée par là. Ce sont presque toujours des étrangers et bien sur la diaspora locale de Dra el mizan qui mettent mains basses sur les logements et le foncier. Sincèrement notre Daira ainsi que les communes qui la composent sont oubliées par les autorités de la willaya de tizi ouzou. La réalité qui occultée ressemble à ce qu’avait décrit Jack London dans son livre intitulé: le peuple de l’abîme ou en anglais : the people of the abyss.
Je pourrais écrire un grand livre sur ce que subissent les honnêtes gens de ces quartiers.
non arretez le projet de prison et pas l’apc.
Azul akkwit s-umata,
Pour l’adduction de l’eau c’est tout à fait normal, cependant je ne comprends pas cet entêtement à vouloir absolument introduire le gaz de ville, le gaz chez nous est obsolète, notre terre inondée de soleil n’a nullement besoin du gaz, qui autre sa dangerosité est aussi un polluant en co2,
L’Avenir du moins chez nous est dans le photovoltaiïque et l’énergie solaire de manière générale, soyons pour une fois à la tête du progrès,d’autant que le soleil est une source d’énergie inépuisable, propre et gratuite, des pays comme l’Allemagne, Pays bas s’en sont dôtées pourtant pauvres en ensoleillement…
« tazghuli gg’ittij d’aserghu amaynut s wayes ad zizznen yudan, yerna d’azedgan,!! »
AGWZUL
1. Il n’y a pas d’institution dans pseudo-pays, ce n’est pas un pays pour commencer, c’est un noman’s land.
2. La mafia qui gere ce noMansLand reussit parce que nous echouons, a nous organiser discipliner. Pourquoi donc fermer une commune ou wilaya a la fois? Il ne suffit que de bien s’organiser et les fermer toutes un meme jour et pour de bon !