BGAYET (Tamurt) - La date du 22 mai est restée gravée dans la mémoire collective des kabyles. En effet, il y a 68 ans de cela, les colons français avaient rassemblé, à Melbou, toutes les populations de l’Est bougiote, soit de Kherrata à Aokas, pour une leçon d’intimidation orchestrée par le préfet de l’époque à partir d’un bâtiment de guerre stationné au large de la méditerranée afin d'asseoir une totale soumission des habitants.
TIZI WEZZU (Tamurt) - Les dernières averses tombées en Kabylie n’ont pas fait que des dégâts matériels. En plus de plus de 60 personnes blessées, dont 10 dans un état grave, un mort vient d’être enregistré dans la région forestière de Mizrana, 40 km au nord de la ville de Tizi Wezzu.
"Il était un militant incorruptible, un érudit engagé, un homme exemplaire qui est décédé dans la pauvreté mais dans la dignité. Même si aucune institution étatique ne porte son nom, Mohand U Harun, bénéficie de la meilleure des reconnaissances, celle de son peuple, le peuple pour qui il a légué un combat, un socle de valeurs et une oeuvre scientifique qui ont inscrit son nom dans le patrimoine universel".
Les présumés assassins seront poursuivis en justice pour association de malfaiteurs, homicide volontaire avec préméditation, rapt en vue de réclamer une rançon et dissimulation du corps de la victime.
KABYLIE (Tamurt) - Alors que de fortes averses n’ont pas cessé depuis hier vers minuit, les pouvoirs publics ont brillé par leur absence sur le terrain. La population est livrée à elle-même en Kabylie.
Les glissements de terrains menacent des villages entiers dans la région de Michelet et de Fort-National. Des bourgades sont coupées de monde, alors que les averses pluies continuent à pleuvoir sans arrêts. Les maires ont mis les quelques engins en leur disposition à la population, mais ce sont des moyens qui sont largement insuffisants devant l’ampleur de la catastrophe et des dégâts. Le téléphone de presque l’ensemble des unités des protections civiles ne sonnent plus.
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a dénoncé mercredi la disqualification de son dauphin Esfandiar Rahim Mashaïe pour la présidentielle du 14 juin, affirmant qu'il...
ALGÉRIE (Tamurt) - Ce franc-tireur, cette femme lèche-pied, cette spécialiste du baisemain, tire sur tout ce qui bouge. Même les soutiens à Bouteflika n’échappent pas à son arme de destruction ; l’insulte et l’invective. Elle se fait rare depuis l’hospitalisation prolongée de Bouteflika. Avant, elle organisait trois, voire quatre points de presse par semaine, mais depuis quelques temps, la « porte-parole » de Bouteflika se fait très discrète, vu que la situation de son parrain, Bouteflika, ne prête plus à l’optimisme.