Face à la démission des services de la voirie de la commune, tous les moyens sont bons pour se débarrasser des montagnes d'ordures occasionnées par les restes de nourritures et autres débris de l'Aid. Il faut dire que depuis plus d'une semaine, dans certains quartiers, les camions de la voirie communale ne sont pas passés pour ramasser les ordures d'où l'accumulation d'une certaines quantités de déchets qui favorisent la proliférations des maladies ainsi de diverses bestioles en tout genre.
SOCIÉTÉ (Tamurt) - Des actions pour dénoncer l'insécurité sont en vue dans plusieurs localités de la Kabylie qui est laissée au gré du grand banditisme et terrorisme qui infestent les villages. Les citoyens d'Azeffoun annoncent la couleur par une action pour donner une leçon de mobilisation contre l'intégrisme islamiste qui continue de mettre la région dans une situation d'inquiétude et de désarroi en l'absence d'insécurité qui donne libre court à tout acte terroriste. Le carnage de mardi dernier a fait réagir la société civile de l'ancien port Geydon qui trouvent l'action de rue comme leur seule planche de salut pour se prémunir des fréquentes attaques terroristes en l'absence d'un plan de sécurité efficace en mesure de redonner à la localité son image de paisible région de la Kabylie maritime comme elle était réputée durant les années de quiétude. Les citoyens d'Azeffoun auxquels se joignent ceux des communes limitrophes décident d'une marche populaire pour demain afin de dire, encore une fois, non au terrorisme qui a été éradiqué dans les autres région du pays, à l'exception de la Kabylie qui continuent de payer les affres de cette bête immonde qui endeuille des familles.
SOCIÉTÉ (Tamurt) - Des actions pour dénoncer l'insécurité sont en vue dans plusieurs localités de la Kabylie qui est laissée au gré du grand banditisme et terrorisme qui infestent les villages. Les citoyens d'Azeffoun annoncent la couleur par une action pour donner une leçon de mobilisation contre l'intégrisme islamiste qui continue de mettre la région dans une situation d'inquiétude et de désarroi en l'absence d'insécurité qui donne libre court à tout acte terroriste. Le carnage de mardi dernier a fait réagir la société civile de l'ancien port Geydon qui trouvent l'action de rue comme leur seule planche de salut pour se prémunir des fréquentes attaques terroristes en l'absence d'un plan de sécurité efficace en mesure de redonner à la localité son image de paisible région de la Kabylie maritime comme elle était réputée durant les années de quiétude. Les citoyens d'Azeffoun auxquels se joignent ceux des communes limitrophes décident d'une marche populaire pour demain afin de dire, encore une fois, non au terrorisme qui a été éradiqué dans les autres région du pays, à l'exception de la Kabylie qui continuent de payer les affres de cette bête immonde qui endeuille des familles.
KABYLIE (Tamurt) - On dit que pour des raisons topographiques, relief accidenté et densité des maquis, les services de sécurité peinent à en finir avec les groupes islamiques armés qui sèment la terreur en Kabylie. L’argument ne tient pas la route. La Kabylie n’est pas la seule région en Algérie qui est caractérisée par un relief montagneux. Médéa, région de Boughar, est également réputée pour la complexité de sa cartographie et est difficilement accessible. Pourtant le terrorisme n’y est que résiduel dans la région, pour ne pas dire entièrement éradiqué.
Un appel est lancé à l’ensemble des habitants de la région pour se mobiliser et s’unir contre ce mal qui frappe la région. Le carnage commis par un groupe armé mercredi soir a provoqué une onde de choc dans toute la Kabylie maritime.
On apprend que les contestataires ont eu gain de cause étant donné que le président de l'APC aurait décidé de saisir le wali pour lui demander de revoir la liste et de permettre à d'autres personnes jugées plus nécessiteuses d'en bénéficier.
BGAYET (Tamurt) - Le ramadhan, par l’entremise de la fête de l’Aïd, a été remplacé de pied ferme par la saison estivale laquelle, hélas, n’a que trois semaines à puiser. Tit ! Tit ! Vroum ! Vroum ! C’est le son des klaxons des voitures et le bruit des échappements des motos qui tentent de zigzaguer entre les files de voitures qui rejoignent, majoritairement à partir de la région de Sétif et Bordj Bou Arreridj, les villes côtières de la wilaya de Bgayet, prises d’assaut au lendemain de la fête de l’Aïd.