Devant l'inertie du régime et la recrudescence du terrorisme : La Kabylie se mobilise contre l'insécurité

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SOCIÉTÉ (Tamurt) – Des actions pour dénoncer l’insécurité sont en vue dans plusieurs localités de la Kabylie qui est laissée au gré du grand banditisme et terrorisme qui infestent les villages. Les citoyens d’Azeffoun annoncent la couleur par une action pour donner une leçon de mobilisation contre l’intégrisme islamiste qui continue de mettre la région dans une situation d’inquiétude et de désarroi en l’absence d’insécurité qui donne libre court à tout acte terroriste. Le carnage de mardi dernier a fait réagir la société civile de l’ancien port Geydon qui trouvent l’action de rue comme leur seule planche de salut pour se prémunir des fréquentes attaques terroristes en l’absence d’un plan de sécurité efficace en mesure de redonner à la localité son image de paisible région de la Kabylie maritime comme elle était réputée durant les années de quiétude. Les citoyens d’Azeffoun auxquels se joignent ceux des communes limitrophes décident d’une marche populaire pour demain afin de dire, encore une fois, non au terrorisme qui a été éradiqué dans les autres région du pays, à l’exception de la Kabylie qui continuent de payer les affres de cette bête immonde qui endeuille des familles.

De jeunes policiers, citoyens de la région ont été tués à la fluer de l’âge par ces irréductibles lâches qui ont attendu la rupture du jeûne pour prendre les victime au dépourvu dans un guet-apens . Ce sont des Kabyles qui tombent toujours dans ces attentats alors que dans d’autres régions du pays c’est le calme et le terrorisme est presque éradiquée. Comment avec autant de casernes militaires et de barrages fixes de services de sécurité, la Kabylie est toujours la cible des terroristes. Ce sont autant de questions que se posent les citoyens de la Kabylie qui enterrent leurs morts dans le silence absolu alors que durant la décennie ce sont des citoyens courageux qui ont pris les armes pour défendre l’honneur de Kabylie. Ces patriotes qui ont chassé le terrorisme dans les villages ont été oublié par le régime qui a glorifié les intégristes armés à travers sa fameuse loi sur la réconciliation nationale.

Kamel. S

12 Commentaires

  1. Écoutez! Il faut faire appelle à tout les policiers que tu pense sont kabyle pou y aller chercher les coupable s au lieux de nous faire perdre des choses plus intéressante à lire,
    Ces policier servent un état fronco Arabie islamiste qui depuis 62 optimè la Kabylie.si je suis votre logique tout traîtres est fonctionnaire et même les terroriste sont des fonctionnaire non déclarées!si non ce n est ue de la manipulation pour des objectives futuristes

    • C’est super-logique ! Religion d’etat, logement d’etat, arme d’etat, salaire d’etat, emploi-du-temps d’eta… fonctionnaire d’etat. Je suis comme toi, je deduis logiquement. Maintenant, est des anecdoctes de temps a autres, c.a.d. des accidents? Pass du tout, c’est permanent, cyclique,… un model-meme – c.a.d. PROGRAMME’ !

  2. Il faut aller droit au but, les kabyles algeriennistes savent comme tous que le problème est …………est politique , le régime Arabique Musulman savent que le kabyle de service aime la CAROTTE , et cette manne distribuer et la politique de clientélisme fait baigner les kabyles dans une merde jamais vue , cette course aux matérielles détruit l’honneur et la Kabylité des kabyles , et la solution c’est l’indépendance de notre kabylie .

  3. anwa yuhwjen wayedh: ma d rebbi i yuhwajen vunadem negh d vunadem i yuhjen rebbi . rebbi ur yuhwaj yiwen a-t ye3iwen d nekwni i yuhwajen rebbi . atmaten-inselmen agi yeneqqen madden ghillen as ahat yuhwaj-iten rebbi ! nutni yengha lehsed ,iwakken ad kecmen gher ljenet , yllaq ad-k hettmen ayen ttxemmimen . a-testeqsidh aqwvayli a-k yemmel arib yetttawin gher ljenet , ma testeqsidh a3rab a-ke yezugher ghas tugidh . ma tthettimen ljenet i yemdanen yllaq d nutni ara naf deg laxert iwakken ad agh 3aqben . lfetwat aseggwas akken ma yella a3raben akwit bghan ad ughalen d enbiwat 200000000 n enbiwat i yellan deg lqa3a assagi . ad yehzen mussa dawed 3isa muhemed !

    • Azul,

      Nekk ur nurzegh Anzzar, Anzzar ur iyi nurez, aqqlegh di ddunnit akken ad nidir di talwit gg tafat, ssikkid ar tmura, tidak igg blullsent ttidin igg efernet tussna ttrezzut gg tmusniwin tinafellatin tidak igg edjant askkarkkes n’ddin, ma-d tmura i ttafaren tineslemt udhant/ghlint ar w anu tedl’itent tallast!!

      Tura nukkwni s’Imazighen Iqbayliyen isefkk ad nagh abrid n ‘izzuran , lagwd abrid n’tussniwin tinafellatin akken ad nesblulles Aghlan ennegh amaynnut, atrar, ad ughal tafat af tmurt ennegh!!

      ar tayyedh.

      AGWZUL

  4. Il suffit de rendre les armes aux citoyens de kabylie, la defense se fera par l’attaque. Les femmes et les hommes iront alors eux même à la recherche de la securité.

    • Le seul est vrai terrorisme injecté en Kabylie ,c’est celui de l’état central,car le monde entier sait que tous les anciens terroristes se sont vu attribué beaucoup beaucoup d’argent ,et ils font de l’import-export d’autres dans le commerce de gros .
      Mes frères Kabyles doivent retenir que les terroristes dont nous parle le pouvoir ,n’est qu’une diversion ,car c’est le terrorisme programmé par le DRS ,qui est largement soutenu en Kabylie . La preuve étant que aucun chef terroriste n’existe dans la réalité ,aucun chef terroriste n’a de nom et prénom ,aucun chef terroriste n’a une adresse précise ,aucun chef des terroriste n’a diffusé aucun tract pour les Algériens,mais aussi aucun chef ou émir des terroristes supposé n’a revendiqué » ces vrais faux attentats de Kabylie .
      Ces policiers tués en Kabylie ,sont tués juste pour justifier l’occupation militariste de notre chére Kabylie et aussi faire de l’intox et la presse algérienne est là pour appuyer cette désinformation -mystification des esprits .
      A bon entendeur salut…

  5. Ce n’est pas par hasard si ce pouvoir colonial ,raciste panarabiste a édésarmé » la kabylie jusqu’au dernier fusil de chasse.Leurs « missionnés » hier le gia,gspc aujourdhui aqmi peuvent pratiquer la « guerre pédagogique » programmée dans les labos de benaknoun en mettant à feu et à sang la kabylie.Les chekpoints ou barrages prennent la forme que la guerre pédeagogique veut leur donner ,de barrages officiels ils peuvent passer aux faux barrages.
    Ils prennent les kabyles pour des poires ou quoi?!

  6. Terrorisme d’État

    Le terrorisme d’État consiste en l’exercice illégitime par l’État de son monopole de la violence à partir du moment où cette violence est d’une part en contradiction avec le contrat décrit par Thomas Hobbes selon lequel l’individu accepte d’abdiquer une partie de sa liberté en échange de la protection de l’État et qu’elle ne vise pas au maintien, menacé, de l’État mais à un accroissement de ses prérogatives. Le terrorisme d’État est donc un enjeu taxinomique puisqu’il met en cause non seulement l’image protectrice de l’État mais aussi la nature des rapports que l’État entretient avec la violence1.
    Sommaire

    1 Origine
    2 Terrorisme d’État et secret d’État
    3 Méthodes de terrorisme d’État
    3.1 Attentats
    3.2 Assassinats

    4 Terrorisme et manipulation

    Origine
    {{
    Le terrorisme d’État est à l’origine une variante du terrorisme. Or la notion même de « terrorisme » est issue de l’histoire révolutionnaire française et du régime de la Terreur. Comme le remarque Jean-François Gayraud2, il y eut une expérience concrète avant qu’apparaisse le terme. Selon ses mots, il s’agit « d’une vaste machine politique » qui a organisé des assassinats et des exécutions, soutenue par le pouvoir judiciaire puisque le pouvoir politique avait voté des lois d’exception}}. Par la suite, l’expression « terrorisme d’État » a été forgée, dans le cadre de la guerre froide, par l’URSS pour désigner l’opération Condor : une stratégie de répression des mouvements insurrectionnels d’extrême-gauche mise en place par les régimes autoritaires d’Amérique du Sud dans les années 1970. Il s’agissait de dénoncer des pratiques qui consistaient à employer massivement des services secrets ou des groupes paramilitaires pour mener des actions d’assassinat et de torture. La « disparition forcée » fut un des phénomènes marquants de cette période (voir à ce sujet le mouvement de Las madres de la plaza de Mayo en Argentine). Guy Debord est un théoricien majeur du terrorisme d’état. Dans La véritable scission, ouvrage cosigné avec Gianfranco Sanguinetti (lui-même par ailleurs auteur de Du terrorisme et de l’état3 ) et publié en 1972, il accuse « les services de protection de l’état italien » d’avoir fait, en 1969, exploser les bombes de la Piazza Fontana4, principal point de départ des « années de plomb » italiennes. En janvier 1979, dans la Préface à la quatrième édition italienne de « La Société du Spectacle », et à propos de l’assassinat de Aldo Moro, il admet la possibilité d’une couche périphérique de petit terrorisme sincère, mais toléré momentanément, comme un vivier dans lequel on peut toujours pêcher à la commande quelques coupables à montrer sur un plateau5. En février-avril 1988, dans Commentaires sur la société du spectacle, il explique qu’il est dans l’ordre de la logique historique que des terroristes sincères en viennent à se faire manipuler par des services secrets6.
    Terrorisme d’État et secret d’État

    Par définition, le terrorisme d’État reste difficile à identifier puisqu’il relève du secret et que la difficulté tient à mettre en relation de façon formelle la perpétration des actes relevant du terrorisme et l’État qui en est le commanditaire. Ceci est compliqué par le rideau qui empêche de faire la distinction entre l’autorité qui a donné l’ordre et celui qui n’est pas au courant. Le concept reste souvent totalement tabou dans le cadre des relations diplomatiques entre deux pays. Dans le traitement médiatique, les journalistes évitent également – par manque d’éléments de preuve – de procéder à une attribution en direction d’un État et préfèrent s’en tenir d’abord à la réserve.

    L’essayiste Webster G. Tarpley définit ainsi le terrorisme d’État moderne : « [il est] le moyen par lequel les oligarchies mènent contre les peuples une guerre clandestine qu’il serait politiquement impossible de mener ouvertement7. »

    Dans ces conditions, rares sont les affaires où les États sont mis en cause au plus haut niveau de façon flagrante. En 1985, l’attentat du Rainbow Warrior, attribué à l’État français, sera retentissant dans le concert des nations puisqu’intervenant dans un contexte de paix et ciblant un pays démocratique sur son territoire. Sans comparaison, un autre événement aussi médiatique sera l’attentat de Lockerbie attribué à la Jamahiriya arabe libyenne en 1988 et qui donnera lieu à un processus qui aboutira 15 ans après à la reconnaissance par la Libye de sa responsabilité. Un processus similaire, conduit par un collectif de victimes, Les Familles du DC10 d’UTA8, se produira pour l’attentat contre le vol 772 UTA le 19 septembre 1989, pour lequel la Jamahiriya arabe libyenne reconnaîtra aussi sa responsabilité et indemnisera les familles des 170 victimes.

    Noam Chomsky écrivait en 1989 que « l’Opération Mongoose, qui jusque ici gagne le prix de la plus grande entreprise isolée de terrorisme international au monde, lancée par l’administration Kennedy juste après la Baie des Cochons, était secrète »9. Elle avait un budget de 50 millions de dollars par an, employait 2 500 personnes dont environ 500 américains, et resta malgré tout secrète pendant 14 années, de 1961 à 1975. Elle fut révélée en partie par la Commission Church au Sénat américain et « par quelques bonnes enquêtes journalistiques ».

    La notion de terrorisme d’État peut également être utilisée dans le cadre d’une critique politique : c’est le cas pour Noam Chomsky qui considère les États-Unis comme menant une politique étrangère relevant du terrorisme d’État, écrivant notamment : « (…) il faut commencer par reconnaître que dans la majeure partie du monde, les États-Unis sont considérés comme un grand pays terroriste. »10. Il s’appuie en particulier sur un jugement rendu par la Cour internationale de justice en 1986 qui a condamné les États-Unis pour « usage illégal de la force » au Nicaragua dans les années 198011.

    Le thème du « terrorisme d’État américain » a été repris par d’autres commentateurs, comme l’historien Jean-Michel Lacroix, pour qui « on ne saurait oublier que si les États-Unis condamnent [après le 11 Septembre] le terrorisme d’État, c’est après l’avoir appuyé en Indonésie, au Cambodge, en Iran ou en Afrique du Sud » 12.
    Méthodes de terrorisme d’État

    {{Les tribunaux expéditifs, la torture, les explosions terroristes, le kidnapping et les exécutions hors-procès sont cités comme pratiques courantes de terrorisme d’État, souvent utilisées pour terroriser les populations par les régimes souverains ou mandataires.}}

    John Rawlings Rees (1890-1969), psychiatre et directeur du Tavistock Institute of Medical Psychology à Londres en 1932, a développé une théorie de contrôle psychologique des masses fondée sur la formation délibérée de névroses. Selon lui, il était possible d’imposer à une population adulte un état émotionnel comparable à celui d’enfants névrosés13.

    Kurt Lewin décrit l’impact des stratégies de terreur sur les individus : « L’alternance fréquente entre des mesures disciplinaires sévères et la promesse d’être bien traité, accompagnée d’informations contradictoires, interdit toute compréhension logique de la situation. L’individu ne peut dès lors décider si telle ou telle action va le rapprocher ou au contraire l’éloigner de ses propres objectifs. Dans ces conditions, même les individus les plus déterminés seront démobilisés par des conflits intérieurs qui paralyseront leur capacité d’action14,15. »

    Les citoyens des nations occidentales sont généralement protégés des procès injustes par des protections constitutionnelles ou législatives et les procédures judiciaires, bien que, par exemple, récemment aux États-Unis, ces protections auraient été écartées dans l’affaire Hamdi v. Rumsfeld en 2004[réf. nécessaire]. Les autres nations peuvent avoir des institutions plus faibles et des régimes instables qui permettent aux gouvernements d’avoir une influence plus importante sur le déroulement des procès.

    {{Amnesty International signale qu’en 2003, dans 132 pays la torture a été pratiquée par des membres des forces de sécurité, de la police ou d’autres agents de l’État16.}}
    Attentats

    Cinq membres de l’administration iranienne sont formellement accusés par la justice argentine d’avoir commandité en 1994 l’attentat de l’AMIA à Buenos-Aires perpétré par le Hezbollah par mesure de rétorsion contre l’Argentine qui n’avait pas rempli les obligations d’un contrat prévoyant un transfert de technologie nucléaire à Téhéran17.
    Assassinats

    {{Les assassinats ou meurtres politiques ont lieu quand des agents de l’État tuent des citoyens jugés comme des menaces, ou pour intimider des communautés}}. Ils peuvent être réalisés par des militaires, les services de renseignement, les forces de polices ou des milices paramilitaires (type « escadrons de la mort »). Dans ce dernier cas, il peut y avoir des liens étroits entre eux et les forces officielles, avec des participations communes et/ou une absence de poursuites.

    {{Ces escadrons de la mort, agissant dans un cadre national, attaquent souvent les faibles}} (socialement), les minorités religieuses ou ethniques, ou les citoyens désignés comme subversifs. Leurs cibles incluent typiquement les SDF, les enfants des rues, les leaders de syndicats, les peuples indigènes, les religieux, les activistes, les journalistes et les universitaires. Ces escadrons protègent généralement leurs donneurs d’ordre par l’illusion d’une criminalité spontanée. Souvent, les corps sont dissimulés, augmentant la détresse des familles et des communautés. Ces cas sont connus sous le nom de « disparitions forcées », particulièrement en Amérique du Sud.

    Le « Groupe de travail sur les disparitions forcées ou involontaires » de l’ONU a été créé en 1980 pour enquêter sur le phénomène global des disparitions inexpliquées.

    L’élimination d’opposants politiques, s’ils se déroulent à l’étranger, est en règle générale organisée, directement ou indirectement, par les services secrets de l’État incriminé.

    Voici quelques exemples en ce domaine :

    Carlo Rosselli et son frère Nello, exilés antifascistes italiens, ont été assassinés en France en 1937 par des membres de la Cagoule française, très probablement à la demande du régime de Mussolini qui finançait ce groupe.

    Ramón Mercader, un des exécuteurs travaillant pour le NKVD, a assassiné Léon Trotski au Mexique en 1940 et aurait auparavant tué une vingtaine de ses partisans18

    Georgi Markov, dissident bulgare, auteur de romans et de pièces de théâtre a été assassiné en 1978 par les services secrets bulgares à l’aide du parapluie bulgare.

    Moussa Koussa, responsable des services secrets de la Jamahiriya arabe libyenne, a été expulsé du Royaume-Uni en juin 1980 après avoir déclaré que son pays allait exécuter deux opposants sur le sol britannique et il est soupçonné d’avoir coordonné une demi-douzaine d’éliminations physiques en Europe19.

    Imad Moughniyah, responsable du Hezbollah libanais, a été accusé d’avoir organisé plusieurs attentats et prises d’otages pour le compte de l’Iran. Lui-même est mort en 2008 en Syrie dans l’explosion de sa voiture, dans des circonstances qui font soupçonner, sans certitude, une action du Mossad israélien.

    Shapour Bakhtiar, dernier Premier ministre d’Iran du règne du chah d’Iran a été assassiné en France en 1991 par des hommes travaillant pour le gouvernement Iranien après avoir survécu à une attaque en 1980 commis par Anis Naccache agissant sur ordre direct de Rouhollah Khomeini20.

  7. {{Pendant les entrepeneurs kabyles souffrent de leur batons dans les roues de l´économie , il faut que les kabyles mobilisent contre les investissements des enfants ´Ali belhadj en Belgique ( liège et d´autres villes ) une série des supermarchés en Belgique , ??? il faut demander a la capitale de l´UE faire d´investigation sur les blanchissements de cette investissements ?? provenance d´ou ??? peut etre des rackettes des pensions des vieilles femmes et hommes , ou des sommes des orphelins enfants kabyles ou bien prevenance du kidnappings ou bien des crimes organisés ??? aulieu de saisir les petites sommes de nos compatriotes à l´étranger , selon la photo fils d´Ali baba ( Belhadj ) porte un chache SHIISTE ( soi des pro-Hizbo-allah ) parceque les SUNNI porte toujours le Chache Rouge , Voilà l´indifférence entre un SUNNI et SHIISTE , ils sont habitués par les fitna entre les deux voix pour gérer et maitriser bien la politique donc le cas de la kabylie ?? ils veulent creer un creux entre les kabyles differentes cultes.}}

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