Gestion financière des établissements publics : De nombreux responsables dans le collimateur des enquêteurs de l' IGF en Kabylie

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ECONOMIE (Tamurt) – De sources sûres, on nous informe que des brigades de l’Inspection Générale des Finances (IGF) seront envoyées dans les prochains jours dans la wilaya de Tizi-Wezzu afin d’enquêter sur de nombreuses affaires de mauvaise gestion des établissements publics et des institutions de l’État.

Les brigades de l’I G F auront pour mission de débusquer toutes les personnes impliqués de près ou de loin dans des affaires douteuses où de nombreux milliards sont disparus sans laisser de traces. Ces brigades d’enquête cibleront la maison de la culture Mouloud Ath Maâmar où nos sources parlent de gros sous qui ont été utilisés à des fins inavoués sans traçabilité dans les financements des actions de cet établissement dont les budgets annuels se chiffrent à des dizaines de milliards.

L’autre structure qui recevra la visite des agents de l’IGF est le théâtre communal kateb yacine pour l’histoire des requêtes concernant le montant faramineux de l’enveloppe de sa réhabilitation envoyées par des élus au gouvernement. L’APW de Tizi-Wezzu, les œuvres universitaires, l’hôpital Nedir seront passés au crible par les brigades de l’IGF qui remonteront jusqu’à une gestion d’une quinzaine d’années et qui cibleront des personnes qui ont eu à gérer de maniéré mafieuse l’argent du contribuable.

Parmi ces responsables certains sont déjà incarcérés et ceux ont pris la fuite à l’étranger alors que d’autres leurs passeports leurs sont confisqués jusqu’à la fin des résultats de cette enquête affirment nos sources qui citent même d’anciens directeurs de wilaya, d’ex maires et présidents de l’APW seront remis à la justice s’ils sont débusqués par les enquêteurs.

Kamel. S

8 Commentaires

  1. De sources sûres, on nous a ont affirmé : De sources sûres, nous ont affirmé que des brigades de l’Inspection Générale des Finances…

    OFF

  2. et les budjets de la gendarmerie,du drs,de la police,des casérnes militaires et les douanes,,qui les controlera,lqui demandra a certains hauts gradés de differents sces de l’insécurité,a chakib khelil,a toufiq reb el dzayer et leurs cliques,de justifier leurs biens mal acquis? le citoyen lambda sait que c’est dans ces diferentes institutions et les hautes spheres du pouvoir que les détournements et la corruptions sont erigés en systeme et regnent en maitres.alors mrs de L IGF,pour que vous soyez crédibles,il faut commencer par le commencement.on tue pas un serpent en le frappant a la queu!

  3. Il serait urgent et indispensable de commencer par la tête avant d’aller vers en bas pour en finir avec la corruption mafieuse qui gangrène Tamazgha centrale depuis belle lurette .

    Il faut d’abord arrêter et jeter en prison tous les pseudo-ministres, pseudo-présidents, et pseudo-députés de ce régime colonialiste mafio-arabo-allaho-francais qui ont cédé gratuitement toutes les richesses de la terre des amazighs a toutes les vermines colonialistes et impérialistes de la planète.

    Ensuite, il faut une équipe de médiation internationale qui sera composée de personnalités civiles laïques non-gouvernementales connues pour leur activités de défense des droits des peuples a l’autodtermination qui va aider la Kabylie et le reste de Tamazgha centrale a instaurer une véritable démocratie laïque qui libérera l’ensemble des peuples amazighs emprisonnés depuis 1962 dans le néocolonialisme terroriste mafio-arabo-islamo-occidental!

    C’est la seule alternative d’ensemble pour Tamazgha centrale qui aspire a sa libération pour que ses enfants amazighs puissent enfin vivre libres, en paix, et en harmonie avec le reste de l’humanité.

  4. plus de 24 milliards dilapidés pour racheter à Bejaïa la villa de l’ami du fils de Chakib Khalil.

    Un autre scandale implique directement CHAKIB KHALIL. Un citoyen algérien réside à l’U.S.A, possède une bâtisse située au quartier des quatre chemins à Bejaia à côté de l’Ets MAHLEB (hydraulique) et avant l’arrive à l’hôtel THIZIRI, qui la mit en vente chez un gérant d’une Agence immobilière dans la même wilaya pour une somme de 07 milliards de centimes.
    Vu l’exagération du prix demande et le manque flagrant de la conformité, aucun n’acheteur n’a manifeste son intérêt.
    Le temps passe, ce monsieur n’a rien vu venir et a fini par solliciter directement une connaissance qui réside en Amérique du Nord comme lui, en l’occurrence le fils de CHAKIB KHALIL. Ce dernier, sans hésitation, demanda directement l’aide de son père qui était cette époque ministre de l’énergie et des mines. Cette affaire a été prise en charge par (l’ex) directeur de la distribution de Bejaïa pour l’achat de cette bâtisse pour une somme de 24 milliards au frais de la Sonelgaz de Bejaïa, un prix mirobolant qui dépasse largement son prix initial avec une différence de 17 milliards par-rapport à la somme demandée !!!! Aujourd’hui, une enveloppe budgétaire supplémentaire a été débloquée pour les travaux et le réaménagement de cette bâtisse qui se trouve en état ruinée afin que le service (D.F.C) de la Sonelgaz s’y installe définitivement.

  5. Le neveu de Chakib Khelil il la nationalité américaine était intraitable
    Quand Réda Hemche faisait la loi au Val d’Hydra
    Décidément, les scandales de Sonatrach se suivent et ne se ressemblent pas. Seule certitude, les langues commencent à se délier, notamment sur le comportement “sans pitié” de certains protagonistes comme Réda Hemche, le neveu du ministre de l’énergie, cité plusieurs fois dans l’affaire et actuellement en fuite. Ayant surpris deux agents de la Sûreté nationale en train de somnoler dans la résidence de son oncle, Chakib Khelil, au Val d’Hydra à Alger, il ordonnera aussitôt que les deux policiers “fautifs” soient arrêtés sur-le-champ. Ces derniers seront alors emmenés, menottés et mis aux arrêts. De lourdes sanctions disciplinaires leur seront infligées par leur hiérarchie… Voilà un exemple de “justice expéditive” à laquelle semblait croire fermement l’ancien chef de cabinet du P-DG de Sonatrach, au faîte de sa puissance et avant qu’il ne soit, bien sûr, rattrapé par les affaires.

  6. Tizi Ouzou
    Enquêtes sur la gestion de l’APC
    par les elus du FFS
    Dossiers n La gestion de l’APC de Tizi Ouzou est sous la loupe des enquêteurs.Selon des sources généralement bien informées, il y a eu d’abord les enquêteurs de la Cour des comptes qui se sont installés dans un bureau du 5e étage de la mairie et qui ont épluché dossiers et bilans de gestion de l’APC durant les trois derniers mandats (depuis 1997).a 2012 Selon nos sources, les dossiers relatifs au foncier et aux finances ont été passés au crible.
    Par ailleurs, après le départ de la commission de la Cour des comptes, d’autres enquêteurs sont venus prendre le relais. Cette fois, nous dit-on, la commission d’enquête a été diligentée par le wali de Tizi Ouzou et s’intéresse notamment à la commission des marchés et aux bons de commande.
    Des élus et même l’ex-wali de Tizi Ouzou, en l’occurrence Hocine Ouadhah, ont publiquement dénoncé des «malversations et une complicité entre l’APC et certains fournisseurs».
    Il s’agirait d’une surfacturation, à en croire les propos tenus il y a quelques années par l’ex-wali qui avait souligné que certains fournisseurs ne disposaient même pas de siège pour les contacter. Un ancien élu de l’APC sous le mandat de Omar Cherak puis de Cherif Aït Ahmed, nous fait savoir que le mobilier scolaire est en train de «croupir» à ce jour à Timizart Loghbar exposé à la pluie et au soleil.
    Ce mobilier (tables, tableaux…) a été acheté pour 450 millions de centimes et n’a pas été remis aux écoles. Notre interlocuteur qui requiert l’anonymat se demande : «Où son passés les parapluies en fer qui étaient au niveau de l’ex-marché de gros de fruits et légumes délocalisé vers Tala Athmane ?» Il nous fait savoir qu’une personne a voulu soumissionner pour acheter le fer (qui se vend au kilo) «mais aucune suite ne lui a été donnée». Quant à la situation du foncier, «le bradage et tel que le développement de la ville de Tizi Ouzou est aujourd’hui compromis ne cesse de répéter le wali, en soulignant que la wilaya n’arrive pas à placer les deux lycées dont a bénéficié la ville des Genêts.

  7. Toute la plèbe mazighe sait que les fonctionnaires responsables sont ,en Kabylies,recrutés dans sa classe sociale des « chorafas ». Cette « noblesse « qui fut et demeure l’alliée fidèle de tous les envahisseurs successifs est chargée de canaliser toutes nos richesses à l’endroit du colon et prélève au passage la récompense de sa forfaiture sous la forme de détournements officieusement licites.Tout ce frétillement burlesque pour tenter de donner un crédit à une justice qui ne s’est jamais assumée ne peut que conforter notre incrédulité .

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