HOMMAGE (Tamurt) - Historiens et analystes des guerres sont unanimes que la guerre d’indépendance de l’Algérie est l’une des plus intelligentes tant par sa conception et par son mode exécutoire, et ce depuis le début de l’ère des guerres dites « modernes » à ce jour. Cela doit être sans doute l’une des fiertés nationales. La guerre que livra le FLN à la quatrième puissance mondiale laquelle a duré sept ans et demi est aussi l’une des guerres les plus sanglantes après la Grande Guerre et la Seconde guerre mondiale.
TIZI WEZZU (Tamurt) - Ce qui se passe à la rivière de Sébou qui longe tout le département de Tizi Wezzu, du haut des montagnes du Djurdjura jusqu’à Dellys, est grave. Très grave même. Les gendarmes redoublent de férocité envers les jeunes chômeurs kabyles qui travaillent avec leurs pelles à la rivière de Sébaou pour gagner quelques sous, mais étrangement, ils ferment les yeux sur les sablières qui gangrènent cette même rivière.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté vendredi soir à l'unanimité une résolution encadrant la destruction de l'arsenal chimique syrien du régime de...
Le concept de drone semble prendre une place de plus en plus importante dans le monde des nouvelles technologies. Boeing, le célèbre constructeur d’avions,...
ALGÉRIE (Tamurt) - Le premier chef d’état algérien imposé par un coup d’état du clan de Oujda en 1962, Ahmed Ben Bella, était de parents marocains. A ce jour, l’actuel locataire d’El Mouradia, l'invisible Bouteflika, est aussi Marocain, puisqu’il est né à Oujda.. On se demande pourquoi alors l’acquisition du chanteur algérien Cheb Khaled de la nationalité marocaine a soulevé un tollé général en Algérie ? Pourquoi la presse algérienne ne fait jamais allusion à la «marocanité» de ces deux chefs d’état, si demander la nationalité marocaine est une tare ?
ALGÉRIE (Tamurt) - Encore un Kabyle de service qui n’arrête pas de nous étonner par ses sorties qui font parfois rire car, elles frisent le ridicule. Amara Benyounès veut reprendre son bâton de pèlerin pour mobiliser les citoyens en faveur d’un quatrième mandat de Bouteflika.