CULTURE (Tamurt) – Né sur l’île de Djerba, peuplée majoritairement d’amazighophones, le chanteur Tunisien, Ben Ouirane Lazhar, fait parler de lui dans toute la région de l’Afrique du nord. Son nom est associé au combat identitaire amazigh en Tunisie. Il est surnommé par les militants kabyles, le Matoub de Djerba.
Ce grand artiste, qui joue de plusieurs instruments de musique, a fait de la lutte pour l’identité Amazighe sa seule raison de vivre. Tamazight est la seule langue qu’il utilise. Ses chansons tonnent comme un cri de détresse du peuple amazigh tunisien.
Dans de nombreuses chansons, comme « Azul Imazighen », il appelle les Amazighs de Tunis à « Tagrawala » (la révolution), pour arracher leurs droits confisqués depuis des siècles. Dans un style de musique, tantôt sentimental et tantôt rythmé, avec des instruments de musique traditionnels, Lazhar évoque plusieurs sujets liés à la culture ancestrale Berbère. Il ne rate aucune occasion pour monter sur scène, la guitare en bandoulière. Très estimé dans les régions sud de Tunisie, où la population s’exprime toujours en Tamazight, Lazhar sillonne monts et plaines, villages et hameaux pour faire entendre sa voix mélodieuse et appelle ses concitoyens à l’éveil et au combat pour Tamazight.
« Durant le règne de Ben Ali, Lazhar profitait des fêtes de mariage et autres célébrations pour s’exprimer, mais depuis la chute du tyran de Carthage, il s’est engagé corps et âme dans le militantisme et est sorti de l’île de Djerba pour aller à la rencontre des populations Amazighes qui sont restées très attachées à leur langue à travers toutes les régions du sud de la Tunisie. C’est un artiste infatigable », nous dira Nadia, une militante tunisienne de la cause Amazighe. Le souhait de Lazhar, est de se produire dans toute les régions berbérophones de l’Afrique du nord, notamment dans les Aurès, en Kabylie, dans les îles Canaris, au Maroc et chez les Touaregs. En un mot, il veux rencontrer ses frères!
Farid M pour Tamurt
Un sommeil de 15 siecle . . . le reveil peut etreun cauchemard. On fini par devenir du folklore d’amusement, qui se doit de finir et vite. Cela est inevitable. La question est de nous en occuper serieusement maintenant, ou de laisser derriere nos problemes aux generations future, ce qui revient a les condamner a subir nos negligeance, de nous rallier derriere, ceux qui sont decider a relever le defit.
Tous derriere le MAK et le GPK.
La vie du peuple AMAZIGH n’est faite que de souffrances et ce depuis la nuit des temps. Nous sommes nombreux, courageux (c’est les historiens qui le disent), cultivés, pacifistes, laïques, nous avons une langue, un territoire, mais tout le temps nous sommes sous la botte de quelqu’un (romain, Türk, arabe, français) aujourd’hui encore, en 2013, le peuple AMAZIGH reste ligoté, sans avenir propre ni considération des autres peuples du monde. Je vais soumettre une idée qui peut paraître pour certains « farfelue »: Suivez bien ma pensée:
Du fait que les AMAZIGHS sont éparpillés et donc minoritaire dans chaque pays(maroc,algérie,tunisie,libye mali et egypte)
dons impossible de créer leurs propres états.
1) Déplacer le peuple AMAZIGH de SIOUA (Egypte) vers le territoire AMAZIGH de Libye (Mont NAFOUSA)
2) Déplacer le peuple AMAZIGH de tunisie (Djerba et les minorités du sud) vers la KABYLIE
3) Déplacer le peuple AMAZIGH (Tuaregs) de libye et du mali vers le sud algérien
C’est en fait une politique de peuplement et de concentration des peuples AMAZIGHS, actuellement trop dispersés dans un vaste « réceptacle » et minoritaires (ils le resteront à l’éternité) pour espérer un jour créer un état AMAZIGH. Travaillons à long terme et faisant de cet idéal un objectif à atteindre. Votre frère Kabyle.
Mais pass du tout. . . Cela revient a ceder du terrain. Par contre ramasser des guerriers volontaires de partout vers un endroit a la fois, pour aider les locaux a imposer leur etat et souverenete’ est necessaire. Dans le cas Lybien par example, ils se retrouvent minoritaires et font face a des isamistes venant de partout du monde, depuis le pakistan jusqu’au qatar. Ils etaient en irak, en afganistan et font la navette entre le mali et le maroc. Nombre d’entre eux etaient en algerie . . . Ce dont a besoin le peuple Amazigh est un pays ami, pour des entrainements et le financement par cotisations !
pour découvrir Ben Ouirne Lazhar
http://www.youtube.com/watch?v=RSxCUhIxU7g