A ce jour, des victimes de ces événements tragiques restent ignorées et non reconnues par les pouvoirs publics au moment où des gens qui n’ont rien à voir avec le Printemps Noir se sont fait indemnisés.
TIZI WEZZU (Tamurt) - Comme d’habitude, les matchs décisifs de l’équipe de football algérienne sont une bonne occasion pour manipuler les foules et faire oublier la politique désastreuse aux algériens. A Tizi Wezzu, les relais des pouvoirs ont commencé déjà à danser depuis hier.
, les relais des pouvoirs ont commencé déjà à danser depuis hier. Les comités de soutien de Bouteflika pour le quatrième mandat sont déjà dans la rue. Une dizaine de voitures sillonnent jours et nuit les artères de la ville des Genêts en klaxonnant et en mettant musique à fond. Des policiers en civile sont remarquable. Ils hissent des drapeaux afin de créer un mouvement de liesse, mais en dehors des quelques voyous, personnes ne leur prêté intention.
C’est dans le cadre d’un nouveau plan de la circulation pour la capitale du Djurdjura que cette décision a été prise. Les propriétaires de ces fourgonnettes de transport collectif, qui sont au nombre de 400, sont en colère. Ils menacent de sortir dans la rue.
Quant à la partie civile représentée aussi par quatre ténors du barreau, à savoir M° Hocine Ahmed, Bouchek, Redjane et Belkacem, l’accent a été mis le caractère éminemment criminel des accusés. Pour la partie civile, c’est même l’affaire de 2009 qui s’est poursuivie. Toutefois, c’est le représentant du ministère public qui a fait dresser les cheveux sur la tête. Sa plaidoirie qui, en bonne partie a reposé sur des concepts théologiques, a duré une heure et demie, a consisté à démontrer non seulement la volonté de tuer mais aussi le caractère sadique du geste des accusés.
Quant à la partie civile représentée aussi par quatre ténors du barreau, à savoir M° Hocine Ahmed, Bouchek, Redjane et Belkacem, l’accent a été mis le caractère éminemment criminel des accusés. Pour la partie civile, c’est même l’affaire de 2009 qui s’est poursuivie. Toutefois, c’est le représentant du ministère public qui a fait dresser les cheveux sur la tête. Sa plaidoirie qui, en bonne partie a reposé sur des concepts théologiques, a duré une heure et demie, a consisté à démontrer non seulement la volonté de tuer mais aussi le caractère sadique du geste des accusés.