Affaire de l’assassinat de Mebrek Amirouche : Un coup de la gendarmerie ?

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AMIROUCHE MEBREK
AMIROUCHE MEBREK

TIZI-OUZOU (Tamurt) – La population d’Ath Douala et d’Ath Zmenzer, région du jeune Mebrek Amirouche enlevé et exécuté la semaine dernière par un groupe d’individus armés, près de Tizi-Ouzou, pointe son doigt accusateur vers les gendarmes dans cette affaire.

Plusieurs zones d’ombre persistent et ne sont pas clarifiées pour le moment. Une ambigüité qui a suscité un doute de l’implication des gendarmes dans ce crime. Un doute qui se confirme de jour en jour.

Tout le monde sait que les habitants d’Ath Zmenzer était, dans un passé récent, contre l’installation d’une brigade de gendarmerie au niveau de leur localité. Les élus locaux ont même saisi officiellement le wali à ce sujet et ont souhaité de ne pas ouvrir une brigade au niveau d’Ath Zmenzer.

L’affaire de l’assassinat d’Amirouche n’est-elle pas une façon de manipuler la population locale et de faire changer les habitants d’avis vis-à-vis de leur refus des hommes en tenues vertes, synonyme de terreur en Kabylie ? Tout porte à le croire.

Le fait que les gendarmes reconnaissent qu’ils ont identifiés les auteurs du crime et ont été localisés, mais n’ont rien fait pour sauver la victime laisse plané le doute. « Ce n’est pas normal qu’un groupe armé enlève un simple citoyen pour demander une forte rançon, puis l’exécuter pour des raisons que l’on ignore. L’odeur de la manipulation est très forte. Les services de sécurité veulent pousser les villageois à réclamer eux même les gendarmes. C’est leur stratégie », laisse entendre un jeune d’Oumaden, village d’Amirouche Mebrek.

Un avis partagé par de nombreux habitants de la région.

L’annonce du colonel de la gendarmerie à Tizi-Ouzou de doter toutes les 67 communes de Tizi-Ouzou en brigades de gendarmerie, pendant même la séquestration du jeune Amirouche Mebrek, confirme aussi le plan des services de sécurité.

A Ath Zmenzer, la non-assistance de la gendarmerie aux villageois ne fait qu’amplifier leur haine envers ce corps qui voue une haine sans égale aux Kabyles et ce n’est guère la peine de rappeler le nombre de crimes commis par ce corps contre la population civile dans la région. Les gendarmes ont tué plus de civils que de terroristes en Kabylie !

Saïd F

29 Commentaires

  1. Vousutilisez le mot DOUTE, mais le sens de votre essai suggere le mot SOUPCON (C cedille).

    Les Kabyles sont experts en tout, sauf en justice- sinon, il n’y a de meilleure que celle qu’on se rend soi-meme.

  2. vraiment {{Said}} F (qui se cache sous un pseudo) tu écrit n’importe quoi, tu fait tes analyses seul sans aucune conscience même investigations journalistiques, on dirait que tu habite dans une autre planète et pas en kabylie. Ce que je te conseil, ne fait pas la politique au dos des victimes de la Kabylie – C’est une honte et une grande honte – pour toi tu fait de la dénonciation mais réellement tu fait de la désinformation politique pour satisfaire ton maitre qui te paie une somme minable en Euro pour écrire du charabia politique. Il y a une manière de dénoncer et de critiquer une gestion d’un problème soulevé ou d’une situation vécue mais toi tu dit choses qu’aucun ne peut croire à tes salades. Tous les autres intervenants dans le site essaye au moins de rapporter une vérité en se rapprochant des faits comme {{Said}} de Tisseguaouine.

    Tu est convaincu que les auteurs sont des individus armés et tu accuse les gendarmes comme auteurs pour coller ton accusation à une ancienne revendication concernant le départ de la gendarmerie nationale qui a été faite par des hommes et pas par des silhouettes qui se cachent derrière des articles diffamatoires, un peut de respect aux victimes.
    {{
    J’invite abid lyazid d’interpeller ce type qui déshonore la Kabyles et le journalisme.}}

  3. c’est depuis que la gendarmerie a refait surface sur les grands axes routiers que les kidnappings et les assassinats recommencent.il faut absolument s’opposer a la réimplantation de ce corps qui fait regner la terreur en kabylie,parce qu’ils ont jamais digéres le fait d’avoir éte chassés de la kabylie en 2001!et s’ils reviennent,c’est pour se venger.

    • Idiot, relis encore une fois – Ils se plaignent des assassinats commis par celle-ci(les corps dits de securite’) – Le Francais se lit de gauche a droite.

    • @Awah,

      Moi aussi je peux te dire « Ils veulent réimplanter les gendarmerie en kabylie MAIS ils laissent un jeune père de famille se faire assassiner sans broncher!!! OÙ EST LA LOGIQUE?

      Il ne reste qu’une seule chose: QU’ils quittent notre territoire et nous laisser bâtir notre État. Nous le peuple kabyle somes kapables de nous prendre en main et assurer notre sécurité

      Si le peuple kabyle avait son État, toutes les victimes kabyles comme Amirouche Mbarek seraient aujourd’hui encore parmi nous. Seule l’Etat kabyle est à meme d’assurer la sécurité du peuple kabyle

    • @Awah, la délinquance en Kabylie est proportionnelle à la présence des symboles de l’Etat algérien, que ce soit l’Algérie coloniale ou l’Algérie arabe musulmane. Jamais des fléaux sociaux inconnus de notre société et de notre culture n’ont prospéré aussi vite que depuis 1985, année d’ouverture de plusieurs dizaines de gendarmerie en Kabylie et en Algérie.

      Voila donc @Awah; il faut un regard global pour faire la part de ce qu’on a « gagné » de l’annexion par les armes de notre pays à l’Algérie en 1857 et des dégâts que nous subissons chaque jour depuis cette date, à cause de cette présence.

  4. Le phénomène est clair et tout le monde le sait.

    Les rapts, les assassinats, les disparitions, les faux-kidnappings, les fausses libérations servent à maintenir le peuple kabyle dans la terreur.

    Lorsque les forces kabyles autonomes réussissent à libérer un ravisseur, le pouvoir panique et s’efforce d’organiser un autre rapt plus médiatique que l’autre afin de tenir en haleine l’opinion publique et de mesurer la résistance du peuple kabyle.

    Aujourd’hui c’est clair. Ne parlons pas du MAK qui n’est pas reconnu par le pouvoir algérien.

    Il y a en Kabylie 2 partis censés être les représentants du peuple kabyle.

    Ces partis sont le FFS et le RCD.

    L’aventure FFS, qui a coûté 467 martyrs et une centaine d’écopés et d’handicapés, créé, instrumentalisé jusqu’à l’outrance par un gourou précautionneusement tapi en Suisse est devenu en ce moment même, le meilleur gage démocratique du pouvoir acquis grâce à l’octroi de 22, 23 ou 25 députés (le nombre importe peu).

    Le RCD qui se voulait héritier, successeur et continuateur du Mouvement berbère, mouvement pour lequel des générations de militants se sont sacrifiés depuis Imache jusqu’à Amirouche Medrek, Aujourd’hui, ce même parti est réduit à quémander un accompagnement d’un parti islamiste qui s’appelait il n’ y pas longtemps Hamas et qui avait pour objectif la destruction du «furoncle berbère»
    qui entrave le triomphe le l’islam en Afrique du Nord.

    L’assassinat de Amirouche est perpétré conjointement par la police et la gendarmerie jusqu’à preuve du contraire.

    Le RCD et le FFS doivent ouvrir les yeux et cesser d’instrumentaliser leurs militants.

    Il leur échoit impérativement de se mettre au service du peuple kabyle dont l’histoire d’hier et d’aujourd’hui impose à tous la consécration de son indépendance.

    Il est encore temps pour chacun et pour tous de se ressaisir.

  5. Azul,

    Aussi longtemps qu il n y aurait pas un corps de service secret avec des silencieux en Kabylie pour rendre justice aux simples citoyens contre ceux qui commettent tous ses dépassements alarmants au sein de notre société qu il soit voyou, criminel état ou autre, les Kabyles continueront a passer leur temps a dénoncer et pleurnicher leurs morts & leurs misère pour le reste de leurs vie.
    Ulach thichrad zedigen urdnefkara adamen.
    A bon entendeur salut.

    Tanmirt.

  6. Je ne suis pas pour le retour des gendarmes en Kabylie, mais de là à coller ce crime abominable à quoi que ce soit, c’est de « l’élémentarisme ». « La gendarmerie enlève un jeune puis le tue pour que les habitants réclament le retour des gendarmes… ». C’est à dormir debout! Qui les a empêché de revenir??? Certes, ils sont indésirables, mais quand même…

    • Les darkis indésirable partiquent la politique de la terreur en kabylie pour se faire accepté et pour qu´ils puissant retourné.
      Malgrés que la population les haient, mais cela n´a pas contraint le souhait de ces darkis de reprendre le service en kabylie. II ya une raison de ce vive souhait, pas par le soucis de la securité des gens mais le ventre est leur premier intérêts, avant 2001, le couscous kabyle avait fait déjà courir leur salive, mmh c´est delicieux{ {{.(gumain a-dhezun seksu uk dhelmarka b-akhsum s-tagga ey-dhenen s-izit uzemur).}} }
      Dans le cadre de création de nouveau Ètat, l´appétit vorace pour couscous kabyle va disparaitre dans leur gout cela {{ {veut dire adiosse les darkis en kabylie !} }}

      • La politique de la darkisation n´a pas d´autre objectif, elle suit logiquement la politique d´arabisation de la kabylie mise en place par le parti unique, les darkis traite les gens en kabylie comme les enfants qui vont dans les´etabilessemts du fln, le régime n´a les édifices en kabylie mais il a le programme d´arabisation methodique que les enfants du pays kabyle doivent suivre!
        La question qui meritte d´etre posé, pourquoi la kabylie est soumise à cette etat du fait?

        la kabylie est un pays sans aucune compétence y compris d´assuré sa propore securité{{ {(les darkis, eldjaich churta le font à leurs place),} }} par le passé une relative francisation et a present l´arabisation absolut qui envahis depuis 62 progressivement toute les couches de la société !

  7. C’est le même scénario à vgayet on 2008 et 2009 sur la route qui mène à les plages de Boulimate et à Tala guilef et à tigheremt ses les années où les gendarmes Làare ( les enfants de la Dasse ) font leur réapparition timide à l’époque les propriétaires des Bar et des hôtels se font agressé et cambriolé pas loin des Barage de se corps de la honte et quand ils appel la police il viennent pas il leur répondent que c’est le boulot de la Gendarmerie c’est pas à nous d’intervenir. ..tout ses scénario pour que la population kabyle demande leur retour. ….et comme ça ses gendarmes Làare montre au reste de lALGÉRIE qu’il sont toujours les maître à bord. ..mais il se trompe la KABYLIE ne voudra jamais d’eux c’est les assassin de nous enfant. ..(( Dieu protège moi de mes amis mes ennemis je mon charge )))

  8. Azul, d’après ce que je peux lire a droite a gauche apparemment ils savent qui c est je pose la question ils attendent quoi pour arrêter les kidnappeurs que fond les partis politique en Kabylie pour réclamer justice? expliquez moi svp.

  9. {{Terrorisme d’État}}

    Les tribunaux expéditifs, la torture, les explosions terroristes, le kidnapping et les exécutions hors-procès sont cités comme pratiques courantes de terrorisme d’État, souvent utilisées pour terroriser les populations par les régimes souverains ou mandataires.
    {{
    Le terrorisme d’État consiste en l’exercice illégitime par l’État de son monopole de la violence à partir du moment où cette violence est d’une part en contradiction avec le contrat décrit par Thomas Hobbes selon lequel l’individu accepte d’abdiquer une partie de sa liberté en échange de la protection de l’État}} et qu’elle ne vise pas au maintien, menacé, de l’État mais à un accroissement de ses prérogatives. Le terrorisme d’État est donc un enjeu taxinomique puisqu’il met en cause non seulement l’image protectrice de l’État mais aussi la nature des rapports que l’État entretient avec la violence1.

    Origine

    {{Le terrorisme d’État est à l’origine une variante du terrorisme}}. Or la notion même de « terrorisme » est issue de l’histoire révolutionnaire française et du régime de la Terreur. Comme le remarque Jean-François Gayraud2, il y eut une expérience concrète avant qu’apparaisse le terme. Selon ses mots, il s’agit « d’une vaste machine politique » qui a organisé des assassinats et des exécutions, soutenue par le pouvoir judiciaire puisque le pouvoir politique avait voté des lois d’exception. Par la suite, l’expression « terrorisme d’État » a été forgée, dans le cadre de la guerre froide, par l’URSS pour désigner l’opération Condor : une stratégie de répression des mouvements insurrectionnels d’extrême-gauche mise en place par les régimes autoritaires d’Amérique du Sud dans les années 1970. Il s’agissait de dénoncer des pratiques qui consistaient à employer massivement des services secrets ou des groupes paramilitaires pour mener des actions d’assassinat et de torture. La « disparition forcée » fut un des phénomènes marquants de cette période (voir à ce sujet le mouvement de Las madres de la plaza de Mayo en Argentine). Guy Debord est un théoricien majeur du terrorisme d’état. Dans La véritable scission, ouvrage cosigné avec Gianfranco Sanguinetti (lui-même par ailleurs auteur de Du terrorisme et de l’état3 ) et publié en 1972, il accuse « les services de protection de l’état italien » d’avoir fait, en 1969, exploser les bombes de la Piazza Fontana4, principal point de départ des « années de plomb » italiennes. En janvier 1979, dans la Préface à la quatrième édition italienne de « La Société du Spectacle », et à propos de l’assassinat de Aldo Moro, il admet la possibilité d’une couche périphérique de petit terrorisme sincère, mais toléré momentanément, comme un vivier dans lequel on peut toujours pêcher à la commande quelques coupables à montrer sur un plateau5. En février-avril 1988, dans Commentaires sur la société du spectacle, il explique qu’il est dans l’ordre de la logique historique que des terroristes sincères en viennent à se faire manipuler par des services secrets6. Terrorisme d’État et secret d’État

    Par définition, le terrorisme d’État reste difficile à identifier puisqu’il relève du secret et que la difficulté tient à mettre en relation de façon formelle la perpétration des actes relevant du terrorisme et l’État qui en est le commanditaire. Ceci est compliqué par le rideau qui empêche de faire la distinction entre l’autorité qui a donné l’ordre et celui qui n’est pas au courant. Le concept reste souvent totalement tabou dans le cadre des relations diplomatiques entre deux pays. Dans le traitement médiatique, les journalistes évitent également – par manque d’éléments de preuve – de procéder à une attribution en direction d’un État et préfèrent s’en tenir d’abord à la réserve.

    {{ {L’essayiste Webster G. Tarpley définit ainsi le terrorisme d’État moderne : « [il est] le moyen par lequel les oligarchies mènent contre les peuples une guerre clandestine qu’il serait politiquement impossible de mener ouvertement} }} »{{ L’EXEMPLE DE LA KABYLIE ET DU M ZAB sont édifiants!!!!!}}

    Dans ces conditions, rares sont les affaires où les États sont mis en cause au plus haut niveau de façon flagrante. En 1985, l’attentat du Rainbow Warrior, attribué à l’État français, sera retentissant dans le concert des nations puisqu’intervenant dans un contexte de paix et ciblant un pays démocratique sur son territoire. Sans comparaison, un autre événement aussi médiatique sera l’attentat de Lockerbie attribué à la Jamahiriya arabe libyenne en 1988 et qui donnera lieu à un processus qui aboutira 15 ans après à la reconnaissance par la Libye de sa responsabilité. Un processus similaire, conduit par un collectif de victimes, Les Familles du DC10 d’UTA8, se produira pour l’attentat contre le vol 772 UTA le 19 septembre 1989, pour lequel la Jamahiriya arabe libyenne reconnaîtra aussi sa responsabilité et indemnisera les familles des 170 victimes.

    Noam Chomsky écrivait en 1989 que « l’Opération Mongoose, qui jusque ici gagne le prix de la plus grande entreprise isolée de terrorisme international au monde, lancée par l’administration Kennedy juste après la Baie des Cochons, était secrète »9. Elle avait un budget de 50 millions de dollars par an, employait 2 500 personnes dont environ 500 américains, et resta malgré tout secrète pendant 14 années, de 1961 à 1975. Elle fut révélée en partie par la Commission Church au Sénat américain et « par quelques bonnes enquêtes journalistiques ».

    La notion de terrorisme d’État peut également être utilisée dans le cadre d’une critique politique : c’est le cas pour Noam Chomsky qui considère les États-Unis comme menant une politique étrangère relevant du terrorisme d’État, écrivant notamment : « (…) il faut commencer par reconnaître que dans la majeure partie du monde, les États-Unis sont considérés comme un grand pays terroriste. »10. Il s’appuie en particulier sur un jugement rendu par la Cour internationale de justice en 1986 qui a condamné les États-Unis pour « usage illégal de la force » au Nicaragua dans les années 198011.

    Le thème du « terrorisme d’État américain » a été repris par d’autres commentateurs, comme l’historien Jean-Michel Lacroix, pour qui « on ne saurait oublier que si les États-Unis condamnent [après le 11 Septembre] le terrorisme d’État, c’est après l’avoir appuyé en Indonésie, au Cambodge, en Iran ou en Afrique du Sud » .

    {{Méthodes de terrorisme d’État}}

    {{John Rawlings Rees (1890-1969), psychiatre et directeur du Tavistock Institute of Medical Psychology à Londres en 1932, a développé une théorie de contrôle psychologique des masses fondée sur la formation délibérée de névroses. Selon lui, il était possible d’imposer à une population adulte un état émotionnel comparable à celui d’enfants névrosés}}.{{COMME EN KABYLIE}}

    Kurt Lewin décrit l’impact des stratégies de terreur sur les individus : « L’alternance fréquente entre des mesures disciplinaires sévères et la promesse d’être bien traité, accompagnée d’informations contradictoires, interdit toute compréhension logique de la situation. L’individu ne peut dès lors décider si telle ou telle action va le rapprocher ou au contraire l’éloigner de ses propres objectifs. Dans ces conditions, même les individus les plus déterminés seront démobilisés par des conflits intérieurs qui paralyseront leur capacité d’action14,15. »

    Les citoyens des nations occidentales sont généralement protégés des procès injustes par des protections constitutionnelles ou législatives et les procédures judiciaires, bien que, par exemple, récemment aux États-Unis, ces protections auraient été écartées dans l’affaire Hamdi v. Rumsfeld en 2004[réf. nécessaire]. Les autres nations peuvent avoir des institutions plus faibles et des régimes instables qui permettent aux gouvernements d’avoir une influence plus importante sur le déroulement des procès.

    {{Amnesty International signale qu’en 2003, dans 132 pays la torture a été pratiquée par des membres des forces de sécurité, de la police ou d’autres agents de l’État}}.

    {{Assassinats}}

    {{Les assassinats ou meurtres politiques ont lieu quand des agents de l’État tuent des citoyens jugés comme des menaces, ou pour intimider des communautés}}. Ils peuvent être réalisés par des militaires, les services de renseignement, les forces de polices ou des milices paramilitaires (type « escadrons de la mort »). Dans ce dernier cas, il peut y avoir des liens étroits entre eux et les forces officielles, avec des participations communes et/ou une absence de poursuites.

    Ces escadrons de la mort, agissant dans un cadre national, attaquent souvent les faibles (socialement), les minorités religieuses ou ethniques, ou les citoyens désignés comme subversifs. Leurs cibles incluent typiquemen , les leaders de syndicats, {{les peuples indigènes ET AUTOCHTONES}}{{, les religieux, les activistes, les journalistes et les universitaires}}. Ces escadrons protègent généralement leurs donneurs d’ordre par l’illusion d’une criminalité spontanée. Souvent, les corps sont dissimulés, augmentant la détresse des familles et des communautés. Ces cas sont connus sous le nom de « disparitions forcées », particulièrement en Amérique du Sud.

    {{Le « Groupe de travail sur les disparitions forcées ou involontaires » de l’ONU a été créé en 1980 pour enquêter sur le phénomène global des disparitions inexpliquées.}}

    {{L’élimination d’opposants politiques, s’ils se déroulent à l’étranger, est en règle générale organisée, directement ou indirectement, par les services secrets de l’État incriminé.}}

    Voici quelques exemples en ce domaine :

    Carlo Rosselli et son frère Nello, exilés antifascistes italiens, ont été assassinés en France en 1937 par des membres de la Cagoule française, très probablement à la demande du régime de Mussolini qui finançait ce groupe.

    Ramón Mercader, un des exécuteurs travaillant pour le NKVD, a assassiné Léon Trotski au Mexique en 1940 et aurait auparavant tué une vingtaine de ses partisans18

    {{Georgi Markov, dissident bulgare, auteur de romans et de pièces de théâtre a été assassiné en 1978 par les services secrets bulgares à l’aide du parapluie bulgare.}}{{ { Mameri ,Djaout,Matoub,Meziane m’heni…….qui les a assassinés?}}
    }
    Moussa Koussa, responsable des services secrets de la Jamahiriya arabe libyenne, a été expulsé du Royaume-Uni en juin 1980 après avoir déclaré que son pays allait exécuter deux opposants sur le sol britannique et il est soupçonné d’avoir coordonné une demi-douzaine d’éliminations physiques en Europe.

    • Un colonel de la gendarmerie qui dévoile une information à la presse ,comme quo i ce n’est pas des terroristes qui l’ont kidnappé et il dit que nous savons qui et en même temps ils demandent aux mêmes journalistes de ne rien divulguer de son information ,c ‘est vraiment bizarre et incroyable tout ceci !
      Comment sait-il que ce n’est pas des terroristes qui l’ont kidnappé ? La réponse est simple car en Kabylie les vrais terroristes n’existent par par contre y’a les terroristes de l’état que couvrent très justement les forces dits de sécurités que sont la police ,les gendarmes et les militaires .
      Les gendarmes l’ont tué par arme blanche pour faire diversion ,pourtant ils l’ont kidnappé avec des kalachnikovs selon les premières informations de la presse algérienne .
      De même que c’est aussi les gendarmes qui l’avaient découvert mort à proximité d’une rivière ? tout ceci ressemble à un film à suspense ,seul les forces de gendarmerie sont capables de réaliser .
      Le but de ces Kidnappings c’est de faire de l’intox dans l’esprit des Kabyles .
      Même le téléphone de Amirouche n’a renseigné personne du lieu où il était durant toute sa captivité ,pourtant y’a plus et mieux que GPS chez Nedjma,Djezzy et Mobilis .

    • Il y a des appels de notes dans ton texte (qui apporte des informations utiles et souvent méconnues de beaucoup sur le terrorisme d’Etat, en Kabylie comme ailleurs), mais où sont les NOTES ?

    • azul
      @win n’tura, vous avez simplement de dire que les gendarmes sont une composante de l’anp heritiere de l’aln. E t cette aln n’est qu’un groupe de terroriste .ils ont été nommé ainsi par la france coloniale. donc consciemment ou incosciemment l’aln et l’anp et les gendarmes savent qu’ils ont un rolé de terroristes et ils excutent tout les ordres qui leurs viennent de leurs parrains meme pour excuter leurs familles et leurs amis ,ils n’hesiteront pas une seconde à assassiner .Pour les gendarmes assassiner est une fonction pour recevoir un salaire.

  10. au moindre declenchement de soulévements ces kasimodos tireront sans etat d’ame sur tout ce qui bougera et finiront par tirer meme sur leurs aliés kabyles de service, histoire de vouloir finir avec les kabyles.
    mais Dieu est avec nous. nous les anéanterons tous.

  11. Bon sang arrêtant avec les constats, Soyons Acteurs, les choses sont claires….
    Qu’attendez vous pour rejoindre LE MAK ?,

  12. Je ne fais aucune confiance a ce corps de securite appele gendarmes laisses par la France en Algerie.
    Quand a ce crime, il faut suivre toutes les pistes jusqu’a ce que la verite soit connue. Il y vas de notre avenir et memoire.

    • les gendarme ils viennent de ton gouvernement et pas de la France et si tu veux suivre une piste il faut aller voir ce fameux colonel qui soit disant a une bonne piste .

      • Mon gouvernement ? il n’est pas le mien. n’as jamais ete le mien. ce sont des usurpateurs de pouvoir et ne peus consequemment etre le mien.

  13. Terrorisme d’état

    Le terrorisme d’État consiste en l’exercice illégitime par l’État de son monopole de la violence à partir du moment où cette violence est d’une part en contradiction avec le contrat décrit par Thomas Hobbes selon lequel l’individu accepte d’abdiquer une partie de sa liberté en échange de la protection de l’État
    Le terrorisme d’État est à l’origine une variante du terrorisme. Or la notion même de « terrorisme » est issue de l’histoire révolutionnaire française et du régime de la Terreur. Comme le remarque Jean-François Gayraud2, il y eut une expérience concrète avant qu’apparaisse le terme. Selon ses mots, il s’agit « d’une vaste machine politique » qui a organisé des assassinats et des exécutions, soutenue par le pouvoir judiciaire puisque le pouvoir politique avait voté des lois d’exception
    L’essayiste Webster G. Tarpley définit ainsi le terrorisme d’État moderne : « [il est] le moyen par lequel les oligarchies mènent contre les peuples une guerre clandestine qu’il serait politiquement impossible de mener ouvertement » L’EXEMPLE DE LA KABYLIE ET DU M ZAB sont édifiants !!!!!
    John Rawlings Rees (1890-1969), psychiatre et directeur du Tavistock Institute of Medical Psychology à Londres en 1932, a développé une théorie de contrôle psychologique des masses fondée sur la formation délibérée de névroses. Selon lui, il était possible d’imposer à une population adulte un état émotionnel comparable à celui d’enfants névrosés.COMME EN KABYLIE
    Amnesty International signale qu’en 2003, dans 132 pays la torture a été pratiquée par des membres des forces de sécurité, de la police ou d’autres agents de l’État.

    Assassinats

    Les assassinats ou meurtres politiques ont lieu quand des agents de l’État tuent des citoyens jugés comme des menaces, ou pour intimider des communautés. Ils peuvent être réalisés par des militaires, les services de renseignement, les forces de polices ou des milices paramilitaires (type « escadrons de la mort »). Dans ce dernier cas, il peut y avoir des liens étroits entre eux et les forces officielles, avec des participations communes et/ou une absence de poursuites.
    Ces escadrons de la mort, agissant dans un cadre national, attaquent souvent les faibles (socialement), les minorités religieuses ou ethniques, ou les citoyens désignés comme subversifs. Leurs cibles incluent typiquemen , les leaders de syndicats, les peuples indigènes ET AUTOCHTONES, les religieux, les activistes, les journalistes et les universitaires. Ces escadrons protègent généralement leurs donneurs d’ordre par l’illusion d’une criminalité spontanée. Souvent, les corps sont dissimulés, augmentant la détresse des familles et des communautés. Ces cas sont connus sous le nom de « disparitions forcées »
    Le « Groupe de travail sur les disparitions forcées ou involontaires » de l’ONU a été créé en 1980 pour enquêter sur le phénomène global des disparitions inexpliquées.

    L’élimination d’opposants politiques, s’ils se déroulent à l’étranger, est en règle générale organisée, directement ou indirectement, par les services secrets de l’État incriminé.
    Georgi Markov, dissident bulgare, auteur de romans et de pièces de théâtre a été assassiné en 1978 par les services secrets bulgares à l’aide du parapluie bulgare. Mameri,Mekbel, ,Djaout,Matoub,Meziane m’heni…….qui les a assassinés ? A QUI LE TOUR ????

  14. dsl je pense que tout le monde est a coté de la plaque (c est une histoire de famille affaire d argents d aprés les dires il parait que c est la maman de amiroche qui as recus un parts de son hirtage du coté de ses parents etvous devinerait la suite amiroche a eté tué quiil as reconnue ses kidnappeurs pas plus )

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