ALGÉRIE (Tamurt) – L’ancien chef du gouvernement algérien s’est enfin exprimé. Dans une longue déclaration envoyée à la presse, l’homme au cigare a fait une sortie discrète avec des sous-entendus et de nombreuses questions sur le devenir de l’Algérie. Il est à se demander si ce n’est pas une manière indirecte de dire son envie briguer un mandat présidentiel.
« Notre pays vit des moments sensibles qui vont conditionner son avenir immédiat et profiler irrémédiablement son devenir, au-delà de la présidentielle, indépendamment du fait que le Président soit candidat ou pas, par l’arrivée de nouvelles générations aux postes de responsabilité. Pour que notre pays vive ces échéances dans la cohésion, la sérénité et la discipline légale et sociale, il est primordial que les différents intérêts de groupes, de régions et de minorités soient préservés et garantis. De même qu’il est impératif que l’État préserve tous les droits et garantisse l’exercice de toutes les libertés. Ceci est essentiel pour assurer la sécurité, renforcer les avancées, corriger les distorsions, et éliminer les failles », a laissé entendre Mouloud Hamrouche.
Connaissant parfaitement le système politique algérien, Hamrouche a tenu à rassurer l’armée algérienne qu’il a glorifié. « Faut-il rappeler ici et maintenant que la renaissance de notre identité algérienne et notre projet national ont été cristallisés, abrités et défendus, successivement, par l’Armée de Libération Nationale, puis, l’Armée Nationale Populaire ? Cela n’a été possible que grâce aux hommes qui ont su trouver des compromis et élaborer des consensus. A chaque étape et à chaque crise, ces hommes ont su préserver l’unité des rangs, la discipline et transcender tout clivage culturel, tribal, régional en préservant l’identité et le projet national. Faut-il convoquer aujourd’hui, la promesse d’édifier un État moderne qui survit aux hommes, aux gouvernements et aux crises ? Faut-il rappeler encore l’engagement pris de poursuivre le processus démocratique ? Faut-il invoquer la promesse de continuer la réforme ? », s’interroge Mouloud Hamrouche, une manière pour lui de demander le soutien des généraux, les seuls qui choisissent les chefs d’Etats en Algérie.
« Nos constituants sociaux ne peuvent s’accommoder du pouvoir souverain sans contre-pouvoir. Il ne peut y avoir d’exercice d’un pouvoir d’autorité ou de mission sans habilitation par la loi et sans un contrôle. Il y va de l’intérêt et de la sécurité de l’Algérie, de tous les Algériens et de toutes les régions du pays.
C’est à ces conditions, que notre Armée Nationale Populaire assurera sa mission plus aisément et efficacement et nos institutions constitutionnelles assumeront clairement leurs rôles et fonctions », ajoute l’ex-chef du gouvernement qui ne s’est pas exprimé depuis 2004.
« C’est à ces conditions aussi que notre peuple persévérera dans la voie du progrès, de l’équité et de la solidarité entre toutes ses composantes sociales, et appréhendera les enjeux, tous les enjeux et relèvera les défis, tous les défis d’aujourd’hui. C’est à ces conditions que notre État demeurera crédible, sérieux et fiable pour ses partenaires et ses voisins. Chaque crise a ses victimes et ses opportunités. Évitons de gâcher ces nouvelles opportunités ou d’avoir de nouvelles victimes », ajoute Mouloud Hamrouche, un opposant qui n’a jamais dérangé les décideurs ni le système politique algérien.
Saïd F
Ce serait un bon president pour les Arabes algeriens quand a nous Imazighen on n’as pas besoin de ce clown.
UN peu de pudeur, toi; porteur de parapluie au dictateur qui a b@#$& l’Algerie depuis 1965!
Arrete d’ouvrir ton bec et va ecrire tes memoires un facon de te repentir envers Dieu, createur de l’Univers, va!
L’ARMÉE , LE COMMANDEMENT MILITAIRE ET LA POLICE POLITIQUE !
Le propre du discours politique est son ambiguïté, le flou qui entoure les mots, les insinuations, les à-côtés , les entre-les-lignes, les non-dits, les insinuations, les messages codés, et en cela, bled Algérie dépasse toutes les contrées. Voyons.ça :
-1) l’Armée, c’est l’Institution militaire, le cadre institutionnel, conceptuel..,
-2) Le Commande ment militaire : La Police politique L’État-major
C’est le Commandement militaire qui commande, préside, gouverne, décide de tout. Et non l’Armée qui est le cadre institutionnel
On assiste actuellement à un affrontement entre le DRS et l’État-major, à propos des restructurations » ordonnées » et exjigées pare les Puissances occidentales, après In Aménas où le DRS est soupçonné (1) d’être l’instigateur, et (2) d’être responsable et coupable de massacre/carnage par ses propres Hélicopètres, éliminant » ses » terroristes et les otages…..
C’EST LE DRS QUI FOUT LA MERDE, massacre, tue, terrorise les individus et régente la société, perpètre des attentats, pratique la répression permanente, instrumentalise la violence, souffle la violence là où il veut (en Kabylie, puis au Mzab, etc.), crée et manipules les Groupes armés, les Milices, les Escadrons de la mort, instigue des partis-officines, des associations-relais, des organes de propagandes ( journaux pourris, télés poubelles, radis tar tar)….
Le DRS est le mal originel, l’origine du mal, le démiurge ! Il est le cœur et le cerveau du Régime militaro-mafieux, son Centre névralgique, sa Main de fer, son Bras politique….
Il doit être dissout, et ses Chefs gestapistes différés à la Cour pénale internationale car coupable de crimes contre l’humanité….
-Libre a eux de s’aiguisé le cigare entre l’index et le majeur de leurs mains entachées de sang de nos enfants(y’a t-il un seul de ces hypocrites qui a dénoncé les assassinas des 127 de Kabylie??) pour briguer un quelconque poste de pouvoir rattacher a cet gouvernance bananière a la merci des tenants et instigateurs du plus profond désastre de cette partie de la grande tamazgha.
-Le Peuple Berbere n’a qu’un seul objectif, »loin de toutes ces bassesses dénuées de toutes consistance cérébrales »(que viennent-ils faire avec toutes leurs euphories fantasmatiques tout-azimute, en *Grande Tamazgha Afrique du Nord*) ,Poursuivre notre lutte civilisationnelle populaire, légitime,qui nous conduirait rationnellement sans déviation directement vers notre but, la Grande Tamazgha libre,souveraine,économiquement puissante,dégagée du joug de ceux qui nous colonisent qui sollicitent aujourd’hui nos voix pour nous faire associer au cautionnement de l’enfer qu’ils ont Déverser sur cette région de Tamazgha.
-Au moment jadis,lorsque nous avions offert notre Fraternité sincère ,nous fument Grandiosement DUPES,à nos jours »après ces douloureuse expérience chèrement payée »Le Peuple Berbere a recouvré tout ses sens vitaux….POUR LE PEUPLE BERBÈRE,IL Y A QUE LA GRANDE TAMAZGHA QUI COMPTE !
« A Southe Alladjddoud »
Azul ! Comme dit le proverbe kabyle : « Delhif guergazen i kiaran aâli dargaz » (C’est le manque d’hommes qui a fait d’Ali un homme). De porte parapluie, il est devenu chef de gouvernement. Il ose même parler « d’unité des rangs » et de « préservation de l’identité ». Une unité qui isole la majorité du peuple au point que de nombreuses contrées demandent aujourd’hui si ce n’est l’indépendance, au moins l’autonomie, et une identité de laquelle nul ne se reconnaît car elle isole l’identité mère, l’identité Amazigh de l’Afrique du Nord. Thanemirth à ceux qui ne voteront plus jamais sous le joug arabo-islamique.
« … A chaque étape et à chaque crise, ces hommes ont su préserver l’unité des rangs, la discipline et transcender tout clivage culturel, tribal, régional en préservant l’identité et le projet national. »
Le projet national Algerien a ete detourne’, en 1962. Ca ne ryme point comme « continuons le changement », mais plutot comme « changeons de continuation », ou en d’autre termes, enterrons les morts et recommencons avec les nouvelles generations !
Ces morts, si Hamrouche s’appelent Abane et Compagnons. Ce territoire est trop grand pour des petits ecervele’s de l’Ouest ou les ageunouille’s de l’Est, et absolument unearnaque pure pour les faibles du sud.
Il est Temps, en effet, que chacun voit midi a sa porte. En ce qui me concerne, je suis ne’ Kabyle, j’ai vecu combattant et mourrait pareil. Dans mon dictionnaire, le mot national veut dire Kabyle. Tout autre charabia n’est fantasme, supercherie, et cochonneries hallales. Sans la complaisance Chaouie, ni les Arabes d’entan, ni les islamistes d’aujourd’hui n’aurait droit de cite sur cette terre maudite, ou la republique baathiste-bidon dont vous revez.
Quand a vous positionner, il suffit de lever le doigt. Mais a quoi bon? on sait ou vous etes-et ceux a qui vous vous adressez, savent qui et ou vous etes, ils vous ont fabrique’ bon sang !
Les Mouloudes hamrouche font curieuesement leurs apparition dans les medias toujours peu de temps avant une masscarade elecotrale qui serait organisé comme d´habitude par le régime.
Ces gens sont utilisé comme des prapluits afin de couvrir le vide politique dans le quel le régime n´a pas d´autre solution que recourir à ses paratiques rituelle, défficille de pronostiqué sur son sort final, agravé par son illégitimité engendré par le comportement démocratiquement déficitaire.
Les kabyles sont obligé de suivre de prés et avec vigilance se qui trame sur la crise politique intérne du régime car un eventuel conflit armé peut avoir des effets negatif sur la kabylie sans Etat.(sans protection)
Les Kabyles ne sont pas mieux que les Arabes et ceux qui se permettent d’insulter ou de critiquer Hamrouche Mouloud ne sont que des moins que rien faibles d’esprit. Les Kabyles (dont je fais partie) feraient mieux de s’unir et de s’entendre avant d’invectiver les autres et d’assumer leurs erreurs en toute sincérité. Au lieu de dénigrer le pouvoir en place leur première préoccupation est de dénoncer les Kabyles de service qui ont trahi AIT AHMED le vieux chêne qui ne plie jamais et qui joue un rôle primordial dans la stabilité du pays. AIT AHMED soutient HAMROUCHE car ce dernier connaît mieux que quiconque le système et à promis de le changer de l’intérieur pour assurer ce changement tant attendu. Les Kabyles ne savent qu’ouvrir la bouche pour ne rien dire. SAID SADI a trahi AIT AHMED sur injonction des services secrets et du général Belkheir, MATOUB Lounés a été assassiné avec la complicité de ses frères Kabyles, ABRIKA a vendu la mèche pour une poignée d’argent et même le père de MASSINISSA a été acheté pour ne plus revendiquer une quelconque vengeance. Avec tout nos divisions nous devrions balayer devant notre porte avant de lancer des accusations gratuites à l’encontre des autres. La Kabylie de jadis est éclaboussée, notre culture dénaturée par des chanteurs au coefficient au dessous de zéro. Je suis Kabyle fier de mes origines mais je refuse de suivre les racistes, les khobzistes et les sadistes dont l’orgueil démesuré les mènera la ruine s’ils continuent à se chamailler comme des gamins mal élevés.