BGAYET (Tamurt) - La quarantaine de lycéens arrêtés lors des affrontements avec la police, durant la semaine écoulée, ont été tous relâchés en début de soirée du samedi. Après une grève d’une semaine, les lycéens ont regagné les salles de classe, le dimanche matin.
SOCIÉTÉ (Tamurt) - La férocité avec laquelle ont été réprimés hier les manifestants de l’opposition contre le quatrième mandat de Bouteflika à Alger en a choqué plus d’un. Le pouvoir a opté pour la politique de la terreur pour faire taire la société. Une politique de chantage pour assurer la pérennité du régime et le clan de Bouteflika. La société est en ébullition. Jamais depuis 1962 un chef de l’Etat n’a été aussi contesté en Algérie par le peuple comme cette fois-ci. Une vague d’indignation s’est emparée de toute l’Algérie.
TIZI WEZZU (Tamurt) La RN 15 a été bloquée ce matin à la circulation suite à un important éboulement de terrain enregistré sur la route qui relie les deux localités de Larbâa Nath Irathen et de Ain El Hammam.
ALGÉRIE (Tamurt) - La société civile commence à s’organiser pour faire barrage au clan de Bouteflika au pouvoir et pour faire chuter tout le régime. "BARAKAT!", est le mot d'ordre du mouvement qui été créé aujourd’hui pour mener un combat sur le terrain et organiser de grandes manifestations à travers toute l’Algérie.
BGAYET (Tamurt) - La campagne de collecte de signatures au profit du candidat Abdelaziz Bouteflika est entrée dans sa phase cruciale. Dans la région de Bgayet, les responsables des partis proches du président redoublent d’efforts pour satisfaire le clan de « son excellence ».
BGAYET (Tamurt) - La campagne de collecte de signatures au profit du candidat Abdelaziz Bouteflika est entrée dans sa phase cruciale. Dans la région de Bgayet, les responsables des partis proches du président redoublent d’efforts pour satisfaire le clan de « son excellence ».
Le grand problème, la dégradation de la piste qui mène vers leur village. Distante de moins de 4 km, elle impraticable. Les dernières intempéries ont aggravé la situation de ce chemin communal. Ce qui a provoqué la colère des villageois d’Adrar, est l’octroi par la mairie du projet de bitumage de cette piste à un entrepreneur escroc.
Les personnes venues assister à cet événement étaient, majoritairement, des kabyles. On a pu constater également la présence de certains berbères du Maroc et même des militants et animateurs du monde associatif français.