Emmené au commissariat pour être auditionné, le conducteur du véhicule niera vouloir kidnapper l’enfant en reconnaissant toutefois avoir effleuré ses cheveux lorsqu’il est passé devant lui.
CINÉMA (Tamurt) - Le réalisateur kabyle, Belkacem Hadjadj vient de présenter, cette semaine, son nouveau film intitulé «Fadhma N’soumer, Avernous yerɣan». C’est un long métrage qui retrace, de manière aléatoire le parcours de l’héroïne kabyle, Fadhma N’soumer, surnommé par l’armée française la Jeanne d’Arc d’Afrique pour son courage et son héroïsme. Le film en question est tourné en langue «Kabyle cassée». Ce qui n’étonne pas quand on sait que c’est le pouvoir dictatorial d’Alger qui a financé ce film. Un pouvoir qui fait tout pour anéantir la culture kabyle, et faire oublier ses héros et héroïnes.
CINÉMA (Tamurt) - Le réalisateur kabyle, Belkacem Hadjadj vient de présenter, cette semaine, son nouveau film intitulé «Fadhma N’soumer, Avernous yerɣan». C’est un long métrage qui retrace, de manière aléatoire le parcours de l’héroïne kabyle, Fadhma N’soumer, surnommé par l’armée française la Jeanne d’Arc d’Afrique pour son courage et son héroïsme. Le film en question est tourné en langue «Kabyle cassée». Ce qui n’étonne pas quand on sait que c’est le pouvoir dictatorial d’Alger qui a financé ce film. Un pouvoir qui fait tout pour anéantir la culture kabyle, et faire oublier ses héros et héroïnes.
Il suffit de lire le titre de votre article, pour comprendre le mépris affiché à l’égard des nobles kabyles « LES WAGHLISSIENS ». En analysant votre article, nous comprenons que voulez à bon escient vider la basse Kabylie de son histoire, la phagocyter de diverses manières, la rendre insignifiante et sans consistance.