BOUGIE (Tamurt) – La pollution vient de porter un sacré coup à dame nature en Kabylie. Hier matin, des centaines de poissons d’eau douce de la rivière de la Soumam qui longe toute la région de Bougie a rejeté une quantité importante de poissons morts par l’effet de la pollution.
Les images sont désatreuses. Les habitants de la région étaient stupéfaits devant ces scènes effroyables et attristantes à la fois. La pollution de cette rivière, dont la couleur a changé d’ailleurs, ont provoqué un désastre écologique.
Le drame était prévisible estiment les habitants de Bougie. La pollution de cette rivière, qui peut générer d’énormes bénéfices, ne date pas d’aujourd’hui.
Les services de la direction de l’environnement n’ont rien fait pour la protéger. Tous les doigts accusateurs sont pointés vers leur direction.
Des eaux usées et toutes sortes de déchets sont jetés quotidiennement sans que personne ne bouge le petit doigt. L’incivisme de certains citoyens est aussi à signaler. L’absence des autorités ne justifie aucunement le jet d’ordure dans cette rivière qu’il faut à tout prix protéger.
La dégradation de la situation écologique dans la région ne touche pas uniquement et malheureusement les rivières. Aucun endroit n’est épargné par la pollution. La situation s’aggrave de plus en plus. Les rares militants écologiques sont loin de faire le poids et leur activité consiste à sensibiliser la population contre les risques d’une pollution généralisée.
Saïd F
Urgent un étranger se perd a tikajda,je demande a tous les kabyles de le retrouver c’est un invite.
on vient d’apprendre aux infos qu’une ressortissante française est kidnappée en Kabylie par un groupe terroriste qui se proclame lié au » DAECH ».
s’agit-il d’une même personne ?
l’article parle de catastrophe ecologique et monsieur nous rappelle qu’un francais est kidnappe : quel decalage !!
Pour les poissons, c’est deja trot tard car ils sont morts, par contre le francais est peut etre encore vivant donc c’est lui qu’il faudrait sauver. sans commentaires !!!
on ne dit pas Assif N’Soummam mais ‘Assif Asemmam’