Le bureau de l’association des journalistes de la wilaya de Tizi-Ouzou vient d’être reconduit aujourd’hui pour un nouveau mandat par la grande famille de la presse tizi-ouzienne, à l’issue d’une assemblée générale tenue à la petite salle de la maison de la culture Mouloud Mammeri.
Le renouvellement de confiance au bureau de l’association des journalistes, présidée par Samir Leslous, journaliste à Liberté, a été exprimé à l’unanimité des membres présents à cette assemblée générale.
La seule variante est le remplacement de quatre membres de l’ancien bureau par de nouvelles têtes par lesquelles se trouvent deux femmes. Notons que le maintien de Samir Leslous à la tête du bureau de l’association des journalistes est dû à l’insistance et à la ténacité de ses confrères et consoeurs présents à ce rendez-vous.
Par ailleurs, le doyen des journalistes de la wilaya de Tizi-Ouzou, Youcef Bournine, appelé, aussi respectueusement que tendrement, « Da Youcef » est maintenu à la tête de l’association comme « président d’honneur ».
Notons enfin que les nouvelles missions du bureau de l’association des journalistes de la wilaya de Tizi-Ouzou sont loin d’être de tout repos. En effet, les besoins de la corporation journalistique de la wilaya de Tizi-Ouzou sont nombreux dont certains nécessitent un sérieux concours des pouvoirs publics. C’est le cas par exemple de la maison de la presse et de son élément baptismal, l’accès à la source de d’information, le libre exercice de la profession journalistique tel que permis par les lois de la république en vigueur, la jouissance de certains droits socio-professionnels à l’instar de tous les citoyens du pays, etc. Samir Leslous et ses camarades ont bien du pain sur la planche pardi !
je le connais celui à droit en chemise noir et blanc , il etait membre de directoire de campagne de bouteflika avec ould ali el hadi. Bidoun taâliq. sahafa houra dimocratia
l’association des manipulés du wali de tizi qui a acheté la presse par des logements et ces faux jeton vont nous parler de liberté de la presse dans la kabylie alors que djaout pouvait ne pas mourir s’il avait accepté l’argent sale de pouvoir qui voulait l’acheter en lui proposant un logement à hydra en restant dans son petit appart de Bainem