Khalida Toumi évite toujours la Kabylie

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Khalida Toumi
Khalida Toumi

KABYLIE (tamurt) – Si l’ancienne ministre de la culture algérienne, Khalida Toumi, craignait de se rendre en Kabylie  en tant que ministre 13 ans durant, même après, elle évite toujours de mettre ses pieds dans sa région natale.

Selon des proches à cette ancienne députée du RCD, Khalida Toumi craint toujours la réaction des Kabyles, après sa trahison en 2000. Elle a été déjà lynchée en 2001, lors d’une marche de femmes à Tizi-Ouzou et depuis elle n’a plus mis ses pieds en Kabylie. Elle a été reniée définitivement par les siens après avoir rallié le clan des ennemis de la Kabylie.  «  Khalida Toumi sait bien qu’elle n’est pas la bienvenue en Kabylie et même à Maatkas.

Durant tout son règne au sein du gouvernement de Bouteflika, elle est restée loin de sa région et de ses proches qui ont fini par couper toute relation avec elle. Même ses amies et amis les plus intimes ont préféré la nier à l’exception de certains opportunistes qui lui sont restés fidèles », nous dira un proche de la ministre de Bouteflika.

Lounès

14 Commentaires

  1.  » Lynchée » n’importe quoi j’étais sur place ce jour là, La foule était hostile à sa présence et certains militants et anciens militants du RCD l’ont extirpé et lui ont dit de dégager le plancher avant que sa dégénère.

  2. Et dire que j’avais cru à cette femme qui était pour moi le symbole du féminisme et porte parole de toutes les femmes qui aspirent à leur liberté à une vie digne de son nom et surtout j’avais cru qu’elle etait une opposante farouche du régime dictatorial installé de force depuis 62. J’avais cru à son combat pour l’identité amazigh. tout ça c’était avant, avant son ralliement au pouvoir maffieu qu’elle critiquait avec virulence quand elle était membre du RCD. J’avais pas cru mes yeux quand je l’ai vu briguer le portefeuille du ministère de la culture sous un regime le plus criminel du monde, qu’elle trahison? elle est devenue l’ombre d’elle même, témoin et complice de toutes les atrocités et crimes commis par le pouvoir pendant la décennie noire, complice de la tuerie de jeunes kabyles jaloux de leur identité et soif de liberté en 2001, complice du délitement de l’identité kabyle par les constructions de mosquées et d’écoles coraniques à outrance en kabylie. Cette femme a préféré tout simplement servir le pouvoir maffieu, ses intérêts personnels, et au diable la démocratie et la
    kabylie sa patrie. Désormais son nom est inscrit dans le registre noir de l’histoire de l’l’Algérie et de la kabylie.

  3. En parler Algérien on dit: chouf wadjhou, yaatik khbarou. Un visage, plus particulièrement le regard, est le parfait reflet de l’âme pour ceux qui savent bien observer. De quelqu’un qui n’a aucune honte à vendre sa dignité et son honneur en contrepartie d’un quelconque insignifiant bien matériel, on dit aussi de lui : Ikazdar Oudhmiss ou bien Ouguessaara L’hiba. C’est le cas de cette dame et de ses semblables.

  4. Khalida Toumi a bafoué son honneur et sa dignité pour quelques privilèges que le pouvoir assassin des Kabyles lui a offert. C’est honteux pour une Kabyle qui a travaillé pour les algéro-arabo-islamiques anti-identitaires Amazighs et Kabyles.

  5. Voilà ce que disait entre autre le digne rebelle dont khalida a trahi les valeurs kabyles :
    « Je me sers de l’amour pour fustiger ce que le monde des hommes a de laid et d’odieux. Pour me révolter contre la veulerie et la duperie, dénoncer l’imposture aux milles visages.
    Ma poésie est à tout instant une remise en cause, un prétexte à protestation contre les injustices, les abus, les tabous etc..
    LOUNES MATOUB de ces gens imbus par le mercantilisme : Mes ennemis sont les tyrans, les oppresseurs quels qu’ils soient, les lâches, les veules, les hypocrites, et surtout les « parachutés » (…). Je n’aime pas les nouveaux riches, car ils sont plus attachés à leurs biens, à leurs nouveaux privilèges, qu’à leur propre patrie. Le soleil se lève tous les matins pour chaque citoyen(ne) et brille pour tous. Heureusement qu’il n’est pas importé à coups de devises, autrement il ne brillerait que pour une caste, pour une classe donnée ».
    L’immortel Zeus des temps moderne avait raison…
    En fait des déchets ..

  6. @yamghar. Elle n’est pas une kabyle a 100% c’est une descendante du bey Mohamed qui avait fui Constantin pour se réfugier à la zaouia de souk ilathnayen a sid Ali u Moussa (un mélange maraboutique de descendance juive). Et el bey Mohammed avait son harem et la suite vous l’avez devant vos yeux. J’appelle les compatriotes kabyles a aller au fond des choses. L’histoire avec un grand H. Il n’est pas kabyle n’importe le qui. Un kabyle est un ensemble de principes et surtout un minimum d’honnêteté et de courage.

  7. Il paraît qu’elle a amassé une fortune colossale, sur le dos de ses frères et de la cause qu’elle a trahi et sacrifié sur l’autel de ses basses ambitions et intérêts mesquins. elle est à présent reconvertie dans les affaires, quelque part, en Europe. Elle s’est servi et à servi ses proches, devenus très riches également.

  8. Rien d’étonnant dans ces comportements révoltants ; cette grue , comme ouyahia et tant d’autres renégats ont de tous temps fait partie de cette caste kabyle qui s’accoquine avec les persécuteurs de l’autre kabyle qu’ils ne considèrent point comme frère mais comme esclave .

  9. Pouerquoi tant de haine ? pourquoi oublier tout son passé de militante ? Elle au moins elle a valorisé la culture amazigh en tant que ministre de la culture . Elle a « décoicé  » la culture officielle qui était orientée « arabo musulmane » ; elle a rapproché la culture « officielle « du peuple. Nous les kabyle nous ne savons que critiquer, nos valeurs comme le « nif » avaient une signification dans le temps : pas aujourdh’ui !! Il faut se moderniser et avoir une vision large et regarder plus loin que le bout de sa kabylie. Si non , si nous refusons tous , nous resterons un peuple intelectuellement indigent.

    • itri, Ah itri et son fantasme de voir la Kabylie se diluer dans  » Kabylie capitale de la culture arabe » concept cher à khalida, Entre ton regard dirigé vers l’arabie, et mon regard qui dépasse pas le bout de ma Kabylie le choix est vite fait.
      T’as troqué  » Avarnous » contre des  » babouche » et tu viens te mué en professeur donneur de leçon, En tous les cas la culture officielle tu l’as bien ancrée en toi !

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