ALGER (Tamurt) – La déscente aux enfers de l’économie algérienne n’est pas prête de s’estomper. Et pour cause ! L’Algérie perd, annuellement, deux millions de tonnes de carburants par les opérations de la contrebande, a déclaré, hier à Alger, le PDG de la Société algérienne de commercialisation et de distribution de produits pétroliers (Naftal), Hocine Rizou.
Une véritable hémorragie pour l’économie algérienne, laquelle est soumise à rude épreuve par les affaires de corruption, de contrebande et de la mafia politico-financière. La frivolité des services de sécurité algérienne laisse le champ libre aux contrebandiers qui agissent sans impunités, de surcroît, au su et au vu de tout le monde.
Amnay
Cela ne changera en rien c’est déjà une république bananière de la contrebande depuis 1962 aux plus hautes sphères et rien de nouveau à l’ouest, bonnet Blanc et Blanc bonnet.