Nouvelle constitution. Un autre jeux du pouvoir algérien

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Algérie Constitution
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Philadelphie, USA (Tamurt) –  « On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. » Président des Etats Unis d’Amérique, Abraham Lincoln.

Les algériens  souffrent, l’Algérie devient un corps malade avec des difficultés dans tout domaine, voilà le visage actuel du pays, au lieu d’avancer, il recule, tombe et se fracture gravement en mille morceaux. Le présent est sombre, l’avenir trop incertain, même les plus optimistes prédisent le chaos social, l’autorité habilitée à sauver son peuple, baigne dans l’incompétence chronique et durable face aux aspirations des populations matures, responsables et intelligentes. Interrogeons le passé pour y voir plus clair?

Une fois de plus, Les renards son  en train de ressembler à Alger, ces serpents qui se mord la queue et symbolise les individus circulaires, c’est-à-dire, condamnés à tourner sur eux-mêmes, à répéter les mêmes faits et gestes sans avenir. Oui, une fois de plus, Un pouvoir qui ne cesse de se révéler incapable de transcender son animalité vient de relancer son cycle. Une nouvelle constitution après en avoir promulgué et brisé une demi-dizaine depuis 1962. Mettre  en place une nouvelle constitution sans participation du peuple. Mais « leur perpétuel retour, leur cercle indéfini de renaissances, leur perpétuelle répétition », vont prendre fin cette fois.

Car le peuple Kabyle s’est levé aux quatre coins de Kabylie. Cette façon de se lever et de marcher vers le futur avec lumière, notre peuple l’a réalisée une fois.c’été en 2001. Une protestation politique et sociale souveraine, toutes les intelligences et bonnes volontés de Kabylie rassemblées, du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest. Malheureusement, un ver réussit à s’introduire dans le fruit. On sait comment il entreprit à pourrir, oui de l’intérieur, toute l’oeuvre de ce grand moment de raison.

Après 2001, non seulement, il fit tomber le beau fruit, rongé, mort de l’intérieur, mais il abattit même l’arbre qui le portait, à savoir, la belle Kabylie. A la place de notre bel arbre, il a planté ses « figuiers stériles ».Ne me demandez pas comment ce nouveau figuier stérile périra. Ce que nous souhaitons, c’est que le ciel le foudroie.

Unissons donc nos prières, nos vœux, nos forces spirituelles et intellectuelles, afin que d’ici cette date, le feu du ciel tombe sur ce nouvel arbre stérile et la Kabylie trouvera sa liberté.

Rabah ARKAM, MAK (Philadelphie)

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