Un ancien ministre algérien tire sur sa femme

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Abdelhafidh Amokrane
Abdelhafidh Amokrane

ALGÉRIE (Tamurt) – L’ancien ministre algérien des Affaires religieuses, au sein du gouvernement de Réda Malek entre 1992 et 1993, Amokrane Abdelhafidh, âgé de 91 ans , a tiré sur sa femme avec une arme à feu dans leur domicile à Zeralda, l’atteignant ainsi de trois balles à l’épaule.

Les faits se sont déroulés dans le domicile familial ce lundi 29. Ce dernier fut arrêté immédiatement et son arme a été saisie par la gendarmerie algérienne. Ces dernières ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances du drame.

Amnay News

1 COMMENTAIRE

  1. les fourbies se préparent sur Bruxelle avant le 14.06 . les busters sont fort de monter tikerkassines .

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    Algeriepatriotique a appris de sources sécuritaires que l’ambassade d’Algérie à Bruxelles fait l’objet de menaces émanant de sbires du roi du Maroc, Mohammed VI. Les autorités belges ont été informées officiellement de cette situation et ont décidé de renforcer la protection au niveau de la chancellerie et de la résidence, révèlent nos sources. Ainsi donc, après la lâche agression contre l’ambassadeur Mimouni, le Makhzen et ses services secrets ont décidé de recourir à la violence pour faire taire leurs détracteurs et imposer leurs choix à la communauté internationale.

    Pour rappel, le 20 mai dernier, le ministère des Affaires étrangères avait convoqué l’ambassadeur du royaume du Maroc à Alger, Lahcène Adlekhalek, pour lui exprimer les «vives protestations» de l’Algérie quant au «harcèlement» dont a été victime une diplomate algérienne à l’occasion de la tenue du séminaire du Comité des Nations unies sur la décolonisation, qui a eu lieu du 16 au 18 mai en cours, à Saint-Vincent-les-Grenadines, aux Caraïbes. Alger, a indiqué Messahel, est «en attente d’excuses de la part du Maroc».

    Notre ambassadeur à Bruxelles fait l’objet d’attaques en tous genres de la part des médias et des officiels marocains en raison de ses positions tranchées sur la question du Sahara Occidental occupé par le Maroc. Amar Belani a accusé, récemment, «certains hauts responsables» de l’Union européenne (UE) de travailler de concert avec leurs homologues marocains pour contourner les dispositions du dernier arrêt de la Cour de justice européenne, stipulant l’exclusion du territoire du Sahara Occidental des accords commerciaux signés entre l’UE et le Maroc.

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