BOUGIE (Tamurt) – La famille du monde de la culture de Bougie a rendu un hommage à la romancière et poétesse Dihya Lwiz, décédée le vendredi passé à l’âge de 32 ans.
Ils étaient quelques dizaines à avoir tenu, en fin d’après-midi du mardi, un rassemblement au niveau de la placette Saïd Mekbel après y avoir déposé une gerbe de fleurs et un portrait de la défunte. Animatrice du café littéraire de Bougie, Louiza Aouzelleg avait composé son premier poème à 13 ans avant de se lancer dans l’écriture pour pondre deux romans en langue arabe entre 2012 et 2013. Elle compte, à son actif, une participation, avec une brochette d’auteurs amazighs des différents pays de l’Afrique du nord, à la confection d’un recueil de nouvelles en tamazight.
Amaynut News
A mon avis vous exagérez de l’importance de cette auteure, que Dieu ait son âme! En fait, elle a surtout écrit en arabe. Quant à l’écriture en tamazight, c’était vraiment occasionnel! En effet, il a produit des poèmes et des nouvelles en kabyle mais l’essentiel de sa production c’est en arabe. Ça ne démunie en rien de son talent, mais il faut rendre à César ce qui appartient à César!