KABYLIE (Tamurt) – Originaire de la wilaya de Tizi-Ouzou, l’écrivain et journaliste Amar Ingrachen est un intellectuel rebelle dont le courage et la liberté de pensée mérite bien d’être signalés. En plus de ses déclarations et de ses écrits, Amar Ingrachen est également omniprésent sur le terrain contrairement à une grande partie d’écrivains qui ne guettent que la moindre invitation de la part du pouvoir pour courir applaudir.
« Auteur du roman « Le temps des grandes rumeurs », Amar Ingrachen est aussi responsable-fondateur de la maison d’édition « Frantz Fanon ». Et cette maison d’édition a publié bon nombre de livres qui sont loin de plaire au pouvoir algérien et à ses relais. En effet, la maison d’édition que dirige Amar Ingrachen est l’éditeur du fameux auteur Karim Akkouche. Ce dernier, pour rappel, a reçu des menaces, il y a quelques mois quand il a voulu animer des séances de ventes-dédicaces de ses livres en Kabylie. Il a dû fuir l’Algérie en catastrophe pour éviter le pire. L’éditeur Amar Ingrachen est également celui qui a republié les deux livres de Said Sadi : « Askuti » (roman en tamazight) et « L’Algérie, l’échec recommencé ». Amar Ingrachen a coordonné le livre collectif très critique : « Quelle transition démocratique pour quelle Algérie ? ». En plus de la témérité dont il fait preuve dans le choix des livres à éditer, Amar Ingrachen ne mâche pas ses mots quand il s’agit de prendre position quant aux persécutions dont sont la cible les hommes de culture libres.
Dans l’une de ses dernières contributions Amar Ingrachen souligne : « La dictature algérienne, comme toutes les autres, est à la fois patiente et perverse. Dans son entreprise d’assujettissement de la société, elle compte beaucoup sur le temps et mise sur l’essoufflement des résistances ». Mais, ajoute Amar Ingrachen, au besoin, elle n’hésite pas à réprimer les récalcitrants : « Face à sa perversité et à son instinct répressif, il s’est néanmoins toujours trouvé des individus qui, défiant l’indifférence de la majorité et les découragements sournois des élites faussaires, ont su opposer au pessimisme de la raison à l’optimisme de l’action et assurer la permanence du combat pour les libertés ».
Tahar Khellaf
je viens de lire son article sur peugeot via magreb emergent, conclusion, c’est du pipi de chat ce gars, il raconte n’importe quoi, c’est tellement débile qu’on se demande si il ne c’est pas échappé de l’asile, je comprends qu’il soit frustré par un pouvoir de tocard violent et ignard mais ce n’est pas une raison pour sombré dans la débélité qui laisse transparettre son engagement en faveur d’une algerie soumise docile et dominé, un second maroc, ou la population en serait réduite à vendre ses enfants aux touristes, à produire de la drogue, à emprunter massivement, à allez voler des voitures en espagne en france et en belgique, bref juste un miserable sioniste d’opérette aigris, jalous et sans le sous, un tocard incapable de produire la moindre richesse ou d’imaginer le moindre projet qui crache sur tout ce qui ce construit en usant du mensonge pour leurrer tromper aveugler, je suis chaoui et je souhaite vivement l’independance de la kabylie pour entendre ce genre d’horreur perfide et nauséabonde, non monsieur, les algeriens ne sont pas des tocards ni des ignards comme vous, vivement que la kabilye se détache de l’algerie et le plus rapidement possible serait le mieux, et bien le bonjour à votre maitre bhl et à son voisin le roi terroriste de tanger chez qui vous souhaitez faire la manche pour vous nourrir, allez vivre avec vos microphage calamiteux, cela ne nous empechera pas de leurs faire les poches et d’attiser votre haine qui finira par vous étouffer, reagrder bien les finances de vos amis israeliens et saoudiens vous serez surpris et encore plus demain, pauvre tocard, c’est à cause de nazillon de votre espece que la dictature s’accroche