ALGÉRIE (Tamurt) – Tous les produits, alimentaires ou autres, vont connaitre des hausses parfois vertigineuses à partir du 1er janvier 2018. La crise économique que vit l’Algérie depuis l’été 2016 ne cesse ainsi de prendre de l’ampleur. Devant l’absence de perspectives, les gouvernants algériens ont choisi la solution la plus facile : revoir à la hausse tous les prix.
Alors que depuis quelques semaines, on savait déjà que le prix du litre d’essence va passer à 41 DA, ce jeudi, d’autres informations font état d’augmentations conséquentes dans les prix des produits alimentaires les plus élémentaires. Ce qui était considéré comme étant le repas des pauvres ne le sera désormais plus. On annonce ainsi des hausses de plus de 50 DA sur les prix du kilogramme d’haricot blanc, les lentilles et le café alors que les prix des fromages et des produits dérivés du lait viennent déjà d’enregistrer une hausse de plus de 100 %. Des hausses qui interviennent au moment où de nombreux autres produits de base ont été affectés par cette augmentation. Par ailleurs, le prix de l’énergie électrique a augmenté de manière sensible ces deux dernières années et les citoyens reçoivent chaque trimestre des factures salées de pas moins de 15 000 DA.
Quand l’argent coulait à flot, notamment entre 2005 et 2015, ceux qui en ont profité sont les hommes du pouvoir et leurs relais notamment les chanteurs de service et les écrivains aux ordres, etc. Aujourd’hui que les caisses de l’Etat sont vides, on demande au peuple de se serrer la ceinture. Et c’est à ce dernier de payer la sale facture d’une crise qui devait pourtant être apprivoisée car il devait être évident que le prix élevé du pétrole ne pouvait pas le rester éternellement. On se demande pourquoi, en ces temps de crise, on ne demande pas à ceux qui ont tété la vache Algérie, du temps de l’opulence, de rembourser ne serait-ce que la moitié de ce qu’ils ont pris ! Au lieu de priver le petit peuple même de la « loubia » et d’une petite tasse de café le matin.
Tahar Khellaf
Azoul. On n’a rien à faire avec les ânes j’ai rien.ce n’est pas notre problème , qu’ils meurent de faim.nous les kabyles on est des yahoudes, wlad fransa, hizb fransa, koufar. ……etc.maintenant ils vont payer très chèrement leurs hypocrisie et ce n’est qu’un début. Vive l’indépendance de la kabylie .
Le génial énarque Ouyahyia qui est très rusé a recommandé aux algériens de » consommer ce que nous produisons » (c’est à dire rien parce qu’ils ne produisent rien, mais l’algérien, vorace, consomme de tout) pour ne pas avoir à dire qu’il faut revenir au traditionnel sac de 50 kilos de semoule par mois pour se nourrir.
Une opportunité pour les corporations vampiriques d’infliger la double peine