Bagarre au siège du FFS

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1917
FFS
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ALGER (Tamurt) – Heureux Hocine Aït Ahmed qui n’a rien vu. Les militants et plus particulièrement les députés du plus vieux parti d’opposition en Algérie ont livré une véritable rixe devant le siège du FFS, à Alger, à l’occasion d’un conseil national.
Une rencontre qui devait prendre la décision d’aller vers un congrès extraordinaire ou d’attendre le 6e congrès ordinaire, prévu pour la fin de cette année. La démission d’Ali Laskri de l’instance présidentielle à fait plonger le parti un peu plus dans une crise sans précédent. Les deux antagonistes, selon plusieurs sites d’information algériens, se sont bagarrés et le pire a été évité.
C’est la première fois que le FFS vit cette situation. Un parti qui a longuement milité pour la démocratie, mais ces dernières années, depuis que la famille Balloul s’est accaparée du FFS,  il est devenu comme le FLN et ses rencontres virent aux bagares et aux rixes entres responsables pour des intérêts généralement personnels.
Triste sort pour un parti qui était naguère très populaire en Kabylie. La question qui taraude les militants du FFS est de savoir pourquoi Aït Ahmed a confié le FFS à ses beaux frères?
Ravah Amokrane 

4 Commentaires

  1. Azul,

    Le ffs est une poubelle de l’histoire Kabyle, il n’a rien fait pour la Kabylie, si juste envoyer au casse-pipe prés 500 Héros Kabyle contre les envahisseurs.
    Il a donné pour la Kabylie, des veuves voir des orphelins…
    Et hoho en remerciement fessait du ski en suisse.
    Comme ont dit « la vérité blesse mais si l’on veut avancer… »
    Tadukli pour une Kabylie Kabyle.

  2. Le FFS a vécu sur le mythe Ait-Ahmed.Ce parti n’est que l’ombre du FFS des années 1990.Le FFS comme le RCD se sont servis des militants et sympathisants kabyles pour des causes extra-kabyles.Ils ont abandonné la Kabylie pour aller à la conquête de l’Algérie mais sans résultat.Leur stratégie a réussit l’échec.Incapables de défendre l’identité et la langue kabyles plus que jamais menacées,ils sont rejetés continuellement par les algériens à chaque échéance électorale.Ils sont devenus des appareils sans âme et sans projet errant et jouant les figurants dans les mascarades électorales du pouvoir arrogant, sans foi ni loi.

  3. il s’agit d’une entreprise de droit paraprivé ou si vous voulez familiale donc est évident que le successeur soit un zizi. Mouuuuh disait Mohia

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