ALGÉRIE (Tamurt) – Djamel Ould Abbès, qui s’exprime au nom du président de la République Abdelaziz Bouteflika, depuis quelque temps, vient d’expliquer les vrais desseins de la décision, prise par Abdelaziz Bouteflika, visant à soutenir et financer un musée dédié entièrement au rebelle Matoub Lounès dans son village natal Taourit Moussa dans la région d’Ait Mahmoud, près d’At Douala.
Les observateurs, qui ont pensé hâtivement, qu’une telle décision est venue du fond du cœur en guise de reconnaissance de l’apport incommensurable de Matoub Lounès dans le combat identitaire et les valeurs de laïcité et d’universalité ainsi que pour son talent d’artiste exceptionnel et hors-pair se sont trompés donc.
Djamel Ould Abbès vient d’apporter clairement la réponse à toutes les questions que l’on n’a pas cessé de se poser au lendemain de l’annonce de la décision en question par Azeddine Mihoubi, le ministre de la Culture, après avoir reçu dans son bureau à Alger, Malika Matoub.
Ainsi, Djamel Ould Abbès a affirmé que cette décision vise à soustraire la figure symbolique de Matoub Lounès des mains des indépendantistes kabyles, bien sûr sans citer nommément ces derniers mais en faisant clairement allusion à eux. Djamel Ould Abbès, qui est le secrétaire général du Front de Libération National, a indiqué que cette décision « prouve », d’après lui, que le président de la République, « est bel et bien au-dessus de la politique politicienne ».
Il affirme ceci en feignant de ne pas remarquer à quel point il se contredit. Car prendre une décision, non par conviction, mais juste pour barrer la route à un mouvement libre, est justement un acte qui relève purement de la politique politicienne.
Ould Abbès a ajouté en affirmant que la décision prise par le président de la République de financer et de soutenir la réalisation d’un musée Matoub-Lounès s’inscrit, en outre, dans le cadre du parachèvement du processus de la réconciliation nationale. Sans doute, celle de Malika Matoub avec Hacène Hattab. Car après s’être réconciliée avec presque tout le monde, il ne reste plus que cet « émir ».
Tarik Haddouche
C une corruption. Accepter de l argent venant de l ennemis même à titre posthume ne vas pas plaire au feu Lounes matoub lui le charitable qui donne sans espère un retour je me souviens adolescent au 40 jour de la mort de Tahar djaout lounes s été arrêté au village tagarcift avec un mouton dans sa mercedesse demandant une corde pour attacher le mouton qui bougeait on a pas trouver de corde on lui a donné du fil de fer il est partit à rire il a dit c une Mercedes pas une 404 !!!alors q s est supposé un mouton s embarque dans une 404 à l arrière attaché par une corde mais c lounes prêt à faire concession sur certains chose mais radical sur les principes
Azul fellawen,
Il faudra boycotter ce musée de la honte.
Laissons Malika Boukhetouche et sa maman accueillir les ennemis et les assassins de Lwennas. Faire aussi des festins avec eux dans ce musée.
Ils pourront même chaque année, créer un prix, qui sera remis au meilleur au meilleur ennemi des Kabyles. Si Kabyle et indépendantiste, les points comptent double.
Madame BOUKHTOUCHE et sa maman remettront en présence de tous ceux que Lwennas a combattu.
Quant à nous, les Kabyles, nous défendrons la mémoire de Lwennas aux cotés de Madame Nadia MATOUB, sa femme.
Chaque Kabyle aura cet honneur.
Visiter ce musée serait trahir Lwennas!!!