Archives quotidiennes: Mai 1, 2019

Le Hirak et la Kabylie, par Lyazid Abid

CONTRIBUTION (TAMURT) - Depuis le début de la contestation populaire en Algérie, qui est à sa onzième semaine, nous entendons des militants kabyles et amazighs dire « cette fois-ci, il ne faut pas qu’on se fasse avoir !». Il est donc évident que les activistes kabyles cherchent ou ont chercher à s’inscrire dans l’Algérie de demain en tant que tel. Ce qui est en soi honorable et tout à fait légitime. Sauf que l’histoire récente de la protestation-révolte en Kabylie, nous apprend désormais que cette bienveillance n’est pas mutuelle, ceci d’un coté. D’un autre coté, cette protestation suscite beaucoup de questions quant à ses initiateurs, ses acteurs, son mode opératoire, ses revendications et ses buts. Ces interrogations peuvent paraîtres dissonantes pour certains mais s’avèrent inévitables pour mieux comprendre les mutations à venir.

Le Hirak et la Kabylie

CONTRIBUTION (TAMURT) - Depuis le début de la contestation populaire en Algérie, qui est à sa onzième semaine, nous entendons des militants kabyles et amazighs dire « cette fois-ci, il ne faut pas qu’on se fasse avoir !». Il est donc évident que les activistes kabyles cherchent ou ont chercher à s’inscrire dans l’Algérie de demain en tant que tel. Ce qui est en soi honorable et tout à fait légitime. Sauf que l’histoire récente de la protestation-révolte en Kabylie, nous apprend désormais que cette bienveillance n’est pas mutuelle, ceci d’un coté. D’un autre coté, cette protestation suscite beaucoup de questions quant à ses initiateurs, ses acteurs, son mode opératoire, ses revendications et ses buts. Ces interrogations peuvent paraîtres dissonantes pour certains mais s’avèrent inévitables pour mieux comprendre les mutations à venir.

Tizi Ouzou : guerre entre les journalistes et le nouveau wali

KABYLIE (TAMURT) – Le torchon brûle entre le nouveau wali de Tizi Ouzou, Mohamed Djemâa et la corporation des journalistes de la région. En effet, le nouveau wali, Mohamed Djemâa, n’a pas tardé à riposter à l’action de boycott que lui avaient réservé les journalistes de Tizi Ouzou, surtout ceux exerçant dans le secteur privé.

Le stade de Tizi Ouzou sera boycotté si son nom n’est pas choisi pas les supporteurs

KABYLIE (TAMURT) - Le boss de la JSK, Cherif Mellal, menace de ne pas jouer dans le nouveau stade de Tizi Ouzou, si le nom du stade n'est pas choisi par les supporteurs. "C'est aux supporteurs de choisir le nom du nouveau stade de Tizi Ouzou. Si le pouvoir s'entête à imposer un nom de son choix, la JSK n'y jouera pas jouer", tranche Cherif Mellal.
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