 = Il est clair comme l'eau de roche que les autorités coloniales veulent saboter le club phare kabyle, la JSK. La relégation de ce club est une décision déjà prise, vu les résultats et les problèmes qu'il traverse. Les autorités coloniales ont imposé d'abord une direction et un président dont personne ne veut en Kabylie, Yarichen en l'occurrence, un anti-kabyle qui n'est plus à présenter.){kind=link}
KABYLIE (TAMURT) = Il est clair comme l’eau de roche que les autorités coloniales veulent saboter le club phare kabyle, la JSK. La relégation de ce club est une décision déjà prise, vu les résultats et les problèmes qu’il traverse. Les autorités coloniales ont imposé d’abord une direction et un président dont personne ne veut en Kabylie, Yarichen en l’occurrence, un anti-kabyle qui n’est plus à présenter.
Non satisfaits de voir Yarichen faire couler le club kabyle, les décideurs ont même arrêté l’ex-président légitime de la JSK Mr Mellal, dont toute la Kabylie réclame son retour au club. L’injustice est évidente et la volonté de faire disparaître la JSK de la scène sportive n’est plus à démontrer.
Ils veulent d’abord lui ôter son titre honorifique de seul club jamais relégué depuis son accession à la première division en 1969. Les décideurs algériens, qui ne cachent plus leur racisme envers tout ce qui symbolise la Kabylie ont juré de saboter la JSK. Un club qui a porté la revendication identitaire depuis des décennies. La JSK est plus qu’un club. C’est la seule qui rassemble tous les Kabyles. Inutile alors de citer les raisons qui ont poussé le régime d’Alger à humilier la JSK, le club le plus titré en Algérie.
La périlleuse situation dans laquelle le pouvoir a plongé le club kabyle a provoqué une colère profonde chez les Kabyles. Même ceux qui ne suivent pas le football se désolent de voir leur club fétiche couler sans pouvoir le sauver. Sur les réseaux sociaux, le rejet de la direction de Yarichen et le soutien à Cherif Mellal est unanime.
Les Kabyles, en outre, ne verront la JSK et d’autres club Kabyles occuper la place qui leur sied qu’une fois la Kabylie libre et indépendante.
Idir Yatafen
En lisant votre article, on a l’impression que vous etes la Kabylie, alors que vous ne représentez que votre propre personne. Laissez la JSK tranquille, ne l’utiliser pas comme font de commerce pour votre mouvement de mauvaise augure.