Said Sadi : « Nous avons décidé de créer le RCD une année avant octobre 1988 »

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Dr Said SADI
Dr Said SADI

ALGERIE (AMURT) – Said Sadi, dans le sillage de la publication de ses mémoires, est revenu en détails sur la création du RCD. Invité par la chaîne de télévision kabyle AZART TV, Said Sadi précise que la création du RCD n’avait aucun rapport avec les événements d’octobre 1988. « On a quitté le FFS en 1981 et on a continué à militer comme on pouvait. Nous avions créé la Ligue des droits de l’Homme en 1985 de manière illégale vis-à-vis de la loi algérienne et on a été emprisonné. On s’est dit, on ne peut pas seulement continuer à militer sur le plan culturel. Il nous fallait un outil politique », fera savoir Said Sadi.

« C’était à notre sortie de prison en 1987 que nous avions décidé de créer le RCD et personne ne savait que des événements auront lieu en octobre 1988. Pour vous dire que la création du RCD n’avait rien à voir avec les évènement d’octobre 88. D’ailleurs, l’université d’été de notre parti a été organisée en 1987 à Azeffoun », justifie Said Sadi. Ce dernier fera savoir lors de la même émission que Hocine Aït Ahmed n’était pas content pour la création du RCD, raison pour laquelle il propagea des rumeurs sur la création du RCD. « Oui, j’ai rencontré Larbi Belkheir en 1987, dans le cadre des consultations politiques menées par Larbi Belkheir et c’était en présence de M. Nait Djoudi, Premier secrétaire du FFS à l’époque », fait rappeler Said Sadi. Une façon pour lui de rejeter la rumeur qui prêtait la creation du RCD au général Larbi Belkheir.

Par ailleurs, Said Sadi est sévèrement critiqué sur la toile par les anciens militants et cadres de son parti suite à la publication de ses mémoires. Ils lui reprochent d’avoir occulté de ses mémoires plusieurs militants et membres fondateurs du RCD, comme les frères Aït Larbi et d’autres anciens cadre du parti.

Idir Yatafen

14 Commentaires

  1. Le RCD ou le FFS ont tout fait pour que la Kabylie en arrive à cette impasse. Quand on fausse la direction de lutte on mène le peuple droit vers l’abattoir. C’est ainsi que la Kabylie est subdivisée entre les puissances, intérieures et extérieures. Pour casser le FFS on invente le RCD, le régime a loué la concurrence pour venir à bout de la naissance d’un mouvement authentiquement libérateur. Qui s’aligne sur les clans laïcs arabes qui prend la tangente vers l’arabislamisme.

    Ces derniers temps, le Maroc a mis une OPA sur une partie des mouvements politiques, soit en Algérie qu’en Kabylie.
    Ce sont les effets pervers du manque de vision de nos valeureux combattants, lesquels ont simplement offert leurs corps pour libérer le pays, mais pas leur sagesse politique pour tracer dès le début de la guerre, l’après indépendance.
    Ils n’avaient pas eu le courage d’aller au bout de leur vision globale et ainsi aboutir à une structuration de l’État issue de l’humus culturel ancestral. La nature a horreur du vide, ce qui sera comblé par l’arabislamisme d’importation, benbella et boumediene seront les maitres du jeu.
    Le FFS et le RCD se sont investis dans ce sillon, souvent en feignant la cohérence entre l’État Arabe et la cause Amazigh. Le triptyque -arabité islamité amazighité- est le tronc commun des deux partis dits Kabyles, mais en réalité, ils n’avaient rien de la philosophie Kabyle, mais juste des appendices du régime pour « normaliser/contrôler, la kabylie. En effet, ces deux partis ont faussé le combat, plutôt que de refuser le compromis sur les principes, ils accentueront leur rôle d’instrument de l’assimilation. Les nouveaux mouvements n’ont pas les moyens et donc tombent entre les mains du Maroc qui les utilisera comme contrepoids du Polisario dans sa querelle arabo-arabe avec le régime algérien. Un régime bête, qui n’a ni idée pays ni légitimité, ainsi il joue à perpétuer l’islamisme comme moyen de contrôle social quand paradoxalement même les monarchies du golfe veulent s’en défaire du dogmatisme. En effet, un pays vaste qui importe des denrées alimentaires même d’arabie saoudite, pendant que la Mitidja se désertifie.

  2. Merci pour cette louable réflexion. Tous est dit d’une manière laconique.
    J’ajoute que l’élitisme à conduit au déchirement de la société kabyle, par ricochet elle est devenu du combustible pour triompher des causes qui ne concerne pas le destin de la nation Kabyle hormis d’accélérer la mort programmé de notre nation. Il ne faut pas s’étonner dans un avenir très proche si les forces d’insécurités coloniales vont venir chercher vos grands parents chez vous sans trouver personne pour défendre votre honneur.
    Le seul et unique exploits des deux formations politique est la normalisation de la kabylie en contre partie des privilèges sur les hauteurs d’Alger, Genève, Paris, …etc.

    • Je me rappelle en 2013 quand le Zaïm avait annoncé l’échec du FFS,ce qu’il oublié de dire que c’était son échec puisqu’il décidait ce qu’il voulait,comme l’a rencontré de avec le traître Benbella. Mr Saadi ne fait aucun bilan de l’échec du RCD ni du sien. Deux partis dits opposants avec des sièges décidés par le pouvoir. Deux responsables….de l’échec de la kabylie livrée aux enfers du pouvoir diabolique. Il faut reconnaître que la populace, hormis qqs esprits lucides ,est aveuglée par les beaux parleurs religieux (et ou) politiques. La preuve…la situation cahotique.

  3. Les Kabyles de service se diversifient@ Pour discréditer la lutte Kabyle tu fais tout un amalgame avec des mensonges et des accusations non fondées. Au lieu de pestiférer sur les autres on aurait bien aimé connaitre ta lutte ou celle de tes parents ou du moins nous donnez ta vision pour sortir  » la Kabylie de l’impasse « comme tu dis. Je ne vais pas tout relever toutes tes absurdités mais il y a lieu de remettre certaines choses dans leur contexte politique réel et historique. En gros, il y a 3 visions politiques de la Kabylie, celle du FFS, celle du RCD et puis celle du MAK qui sont nés d’ailleurs dans cet ordre avec chacun sa génération et sa part dans l’évolution de cette lutte dans une suite logique.
    Le FFS est né de la lutte pour l’indépendance d’ailleurs présidé par Feu Ait Ahmed dont le rôle de premier plan en tant que leader dans cette lutte.
    Le RCD est né des événements des années 80 précisément du 20 avril dont presque tous les membres sont issus du MCB.
    Et puis vient le MAK dans les années 2 000 suite à l’assassinat de 127 jeunes Kabyles.
    Je ne vais pas rentrer dans le détail mais rien quand on regarde bien l’ évolution de de cette lutte politique on constate que ces partis sont nés du même mouvement qui s’est juste radicalisé avec le temps. Dire que c’est à cause de ses partis que la Kabylie est dans une impasse revient à porter une accusation grave comme celle que tu colles au MAK on attend tjrs des preuves de sa manipulation par l’éternel ennemi le Maroc ! ….Pour finir la Mitidja ne s’est pas désertifiée mais juste bien bétonnée.

    • @ mes parents t’emmerdent bande de racaille !
      J’attends toujours des faits pour me contredire ! Et pas des conneries sans sens.

      Le FFS est né dans l’ambiguïté d’une Algérie indéfinie, par autocensure et adhésion indirecte au principe de l’arabislamisme. Il avait honte d’assumer la laïcité, puis il subira le massacre de 1963, que les oulémas soutiendront au nom de la « oumma ».
      Mais comme il baignait dans cette « culture » de l’Algérie anti-coloniale béate, pour ne pas déplaire aux régions arabisées, il cherchera pendant 50 ans une crédibilité politique nationale, qu’il n’aura jamais, sauf qu’en Kabylie d’analyse politique.
      Le RCD a été utilisé pour contenir le FFS.
      Le MCB était un bouillon des services de la sécurité militaire.
      Le MAK, pour ma part, a été poussé dans les bras du Maroc. Quand on a pas de droits chez soi, fatalement on se cherche des alliances ailleurs. Du reste, ce même régime avait le Maroc comme allié dans le « magreb arabe », donc ce n’est pas le Marocain Amazigh qui est l’allié du MAK mais bien un régime arabiste qui repose sur l’islamisme comme son jumeau d’Alger.
      Quand on a un contexte international explosif, un régime qui avait déjà dit plusieurs fois pouvoir sacrifier le tiers de la population s’il le fallait, les officiels marocains se sont emparé de la cause Kabyle.
      Ce fut un manque flagrant de stratégie, ce qui profiterait au régime marocain d’une part, mais aussi au régime algérien de l’autre, entre les deux il y a la Kabylie comme terrain de guerre des deux régimes arabistes.
      ce qui n’est ni de la trahison ni je considère ce mouvement comme terroriste!
      En 2001, c’est-à-dire quand la Kabylie a perdu la bataille, parce que les deux partis étaient dans le système algérien, ce qui amoindrira la Kabylie. Stop et fin.

      • @ juste au mot parents tu me traites de racaille, ça en dit long sur ta mentalité!
        Tu n’as tjrs pas apporté il ne serait qu’une idée pour sortir la Kabylie de l’impasse à part critiquer et porter des accusations infondées avec des absurdités énormes comme la toute nouvelle comme quoi le MCB était un bouillon des services de la sécurité militaire, qu’il soit infiltré c’est fort possible mais de là à dire autrement que le mouvement comme tous les autre mouvements ne sont pas nés de la volonté de bcp de Kabyles de demander leurs droits dans une lutte pour un changement de système revient à manquer de respects il ne serait ce que pour tous ceux qui l’ont payé de leur vie. En fait, à défaut de politique que tu ne connais pas, tu fais de la  » boulitique  » qu’est ce que tu connais en géopolitique, en géostratégie etc…NADA rien Walou…La vraie politique exercée par les pays respectables repose sur toutes les sciences surtout exactes comme les mathématique avec par exemple la loi des grands ensembles ou encore la loi des signes dans les opération que pourtant tous le monde connait qui dit par exemple que  » l’ennemi de mon ennemi c’est mon ami  » cad moins (-) x moins (-) ça donne plus (+) je te rappelle juste celle ci pour comprendre le rapprochement du MAK avec le Maroc et Israël, ça relève de la logique pure  » Si dans une suite d’opérations tu n’appliques pas par priorité opération après opération tu n’auras aucun résultat, il en est de même dans la politique, pour avancer dans ce monde commun il faut des alliances en fonction de l’intérêt du moment, c’est juste une opération rationnelle parmi d’autres pour arriver au bon résultat.

        • @khozidh, Le MAK a été simplement absorbé ! Vas au diable toi et ta petite idée de la Kabylie. Vous n’avez ni la stature ni le sens des procédures politiques de la kabylie. Tant que des cons de ton envergure se portent représentant d’office des Kabyles, le régime sera solide.
          Toi et ton pseudo parti- légitimé depuis Rabat, vous n’êtes pas une partie contrat, mais sujet subordonné aux intérêts du roi et d’autres donneurs d’ordres.
          Vous ne parlerez JAMAIS en mon nom tant que vous n’êtes passé par aucune urne Kabyle. Se faire élire au sein de votre secte ne suffit pas à se porter représentant de la Kabylie.

          • Tu as certainement une cervelle mélangée à celle d’un akjoun pour aboyer comme ça, cela n’arrêtera pas la caravane qui passe et qui avance doucement mais certainement jusqu’à sa destination. Décidément tu fais partie du lot atteint de la Marocophobie comme tes géniteurs généraux du crime.

        • @bombardier, Vous êtes une dictature potentielle. Non seulement vous n’êtes élus par personne, grâce au positionnement dans la presse et médias, soutenus par l’extérieur, vous vous imposez avec arrogance- le mot est faible- à la Kabylie comme fatalité. Si le reste des Kabyles vous soutient, ce que vous devez démontrer, je renoncerai à ma citoyenneté. Le parti unique Kabyle n’aime pas les urnes, mais s’ordonne grâce aux « alliances extérieures » que la Kabylie n’a jamais discuté.
          Je ne te réponds plus, non pas par manque d’argument, mais juste parce qu’il n’y a rien à discuter vu que vous ne représentez que votre personne et je n’ai pas de temps pour bavarder.

          • Personne ne t’impose quoi que ce soit à part ton régime arabo islamique qui te tiens par les c…… si tu en as !…. pour ce qui est des Kabyles qui luttent pour l’indépendance de la Kabylie, ils sont libres de leur choix pas comme le tiens dicté par tes chikours généraux du crime atteints de la Marocophobie . Au passage va te faire foutre et en Homme Libre je t’emmerde car tu ne mérites que ça vu ton niveau d’égouts.

  4. Affud@ Je ne vois pas l’intérêt de la Kabylie en divisant les Kabyles comme tu le fais sur des idées politiques qu’il faut apprendre à débattre et surtout convaincre dans un dialogue rationnel en arrêtant aussi de porter des mensonges et des accusations non fondées. Sur le plan politique je pense que les partis traditionnels comme le RCD et le FFS surtout avec le virage à 180° qu’il a fait dernièrement sont dépassés et ne pèsent plus grand chose en Kabylie ( ailleurs ils n’ont jamais pesés ), non pas parce que certains membres de ces partis que tu confonds délibérément avec les partis ( il ne faut pas mettre tout le monde dans le même panier ) , le plus important et ce qu’il faut regarder c’est le peuple Kabyle qui est de plus en plus acquis à l’indépendance seule garante de tous les droits Kabyles sans les quémander et pour décider d’elle même du programme politique qui répond le plus aux besoin du citoyen pour unir ensemble l’énergie nécessaire déjà pour sa libération et puis pour son développement et pour le bien de tous.

  5. Azul.

    Chacun, à travers l’Histoire et sa propre histoire, a fait du mieux qu’il a pu : c’est valable pour Hocine Aït Ahmed, pour Saïd Sadi et pour Ferhat Mehenni et d’autres. Nul n’est pas parfait, bien sûr. Et il est toujours facile de venir, à postériori, insulter, condamner, jeter l’anathème et que sais-je encore… C’est d’autant plus facile qu’on n’a rien fait soi-même.

    Le passé est passé. Il est mort. Apprenons des erreurs commises et avançons. Voyons plutôt ce qu’on peut trouver de positif dans les actes de Sadi, Aït Ahmed, … Car après tout, si aujourd’hui nous sommes là, à discuter, à échanger des idées (ou des insultes), c’est un peu grâce à ces aînés qui nous, malgré tout, ouvert les yeux.

    On peut aussi citer Mouloud Mammeri, Bessaoud Mohand Aarav, Taos Amrouche, Lounis Aït Menguellet, Matoud Lounès, Yidir, Ideflawen, … Nous sommes toutes et tous UN.

    Ar tufat.

    • @uccen, Si nous sommes ici, c’est grâce à la technologie qui le permet, le résultat des hommes politiques Kabyles est lisible en Algérie, ton exemple dit tout à fait la portée des hommes politiques kabyles. Dommage que ton exemple démontre le contraire de ce que tu voulais dire ! La liberté en Algérie est toujours à discrétion du pouvoir, surtout maintenant que les deux partis ont perdu la confiance de ceux qui étaient « leur base » électorale. Par contre, un nouveau départ nécessite un bilan du passé.

  6. Ma proposition:
    Prendre acte du fait que la crise actuelle est à inscrire dans le vide dans la conception de l’État algérien, qui a été conditionné par cet arabislamisme fonctionnel aux nécessités du système colonial. Ce fatalisme est dans la visière du système colonial qui, en paternaliste, avait pensé un État sur le modèle du bureau arabe.
    Le recours à la force dénote simplement ce manque de culture institutionnelle. Avoir un parlement sans en avoir au préalable la culture des limites, qui devrait être biberonnée comme valeur dans les familles d’abord, puis dans les écoles pour consolider le coté juridique et politique. Le régime inhibera la Kabylie qui en dispose de cette culture, pour, croit-il l’imposer de haut en bas à la manière paternaliste, mais surtout dans le sillon arabislamique. C’est-à-dire, favoriser le contrôle plutôt que l’harmonie, avec le résultat actuel où l’État, n’étant pas sur de ses procédés, a donc peur de l’ogre qu’il a créé. Cet état des choses est le fruit de la prise du pouvoir par la force qui a instauré le manque de confiance structurellement entre institution et peuple.

    Prendre acte de la crise de légalité et légitimité du modèle de l’État à partir de ce déterminisme arabislamique qui est anti-national, dans la mesure où il a tenté de mélanger deux concepts antinomiques- nation et oumma-, ce qui débouchera sur la subordination de la nation à la « oumma ».
    Quand on donne la supériorité à l’oumma, une organisation sociale qui obéit aux préceptes religieux, qui ne peuvent être domestiqués, la preuve en est dans l’islamisme algérien, qui halalisera le massacre des 400 kabyles en 63. Politiquement, cet acte barbare a été un moment clair, avec les oulémas qui s’unissaient aux dictateurs criminels. Ceci exprimait l’incompatibilité entre islamisme étatique et laïcité.
    On s’attendrait du moins des partis Kabyles d’analyser ces choix alternatifs et en déduire des clarifications politiques et institutionnelles, niet, nos deux partis se cachent la tête dans cet informe triptyque.
    Quant au régime, dans sa partie la plus ouverte se cache la contradiction État/islam des pays arabes. Ni kadafi ni sadam ni Nasser ne produiront aucune proposition d’État séparant religion de l’État. les féodaux algériens attendent que le temps règlerait les questions sociétales et organisationnelles. Le pays qui était dépendant avec 10 millions d’habitants ne le sera pas moins avec 45 millions. Comme le future ne sera pas à l’image du passé, les peuples qui avancent le feront s’ils ont un système compétitif, donc il n’est pas seulement une necessité d’amélioration, mais
    1-S’impose donc de retourner à l’esprit de la convention comme cela avait été durant le congrès de la Soummam.
    2- Organiser une conférence nationale souveraine sur la reformulation de l’État et son articulation.
    3-Les sociétés peuvent s’améliorer uniquement à partir de systèmes endogènes, sans quoi la crise sera aiguë à chaque passage, le manque de référence rassurante exposera le peuple au grand vide, terrain fertile des violences, la Lybie en est l’exemple, une fois le système importé d’Égypte s’écroule, la violence a pris le dessus. Ce qui a été évité en Algérie, grâce à la stabilité des Kabyles qui ont refusé l’islamisme.
    a)Assumer l’Arach à la place des wilaya et les administrations locales seront organisées en subsidiarité ascendante, outre la monnaie et l’armée – le gouvernement national est comptable devant la commission nationale-; chaque région sera autonome en fiscalité, éducation, économie. Car un peuple dont l’administration n’est pas issue de ses propres valeurs ne sera ni productif ni s’identifierait dans les institutions.
    b) L’État central est le fruit de l’harmonisation entre les différentes régions. Un système de coefficients en fonction du nombre d’habitants doit être reconnu comme base de référence dans les élections.
    c) L’élection présidentielle doit être indirecte et doit tenir compte des coefficients régionaux et toute décision internationale devra trouver un consensus.
    d) Les investissements étatiques devraient être discutés avec chaque Arach régional.
    e) les préfets seront l’interlocuteur de l’État central, mais pas l’instrument invasif de l’État sur les régions les régimenter.
    f) Organiser un système de solidarité national autour de la culture ancestrale basée sur la subsidiarité et responsabilité. Un audit des dépenses et en cas d’aide extraordinaire, la région devra rendre compte et changer sa propre façon de gérer.

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