TIZI-OUZOU (Tamurt) – La manifestation, avant-hier, à Tizi-Wezzu portant sur l’anniversaire du Front des Forces Socialistes (FFS) a été traduite par deux événements majeurs. Le premier a porté sur l’inauguration de la stèle érigée à M’douha à la mémoire des 11 martyrs du FFS tombés au champ d’honneur au début du mois d’avril 1964 suite à un sanglant accrochage qui a eu lieu à Taguemoun-Oukerrouche (At-Douala).
Etaient présents à cette cérémonie des membres du Présidium du parti à l’instar d’Ali Lasskri, le Dr Aziz Bahloul, le Dr rachid Hallet, le premier secrétaire du Parti, Mohamed Nebou, des anciens cadres et dirigeants tels que l’ex-sénateur, Abdelkader Hamadache, de nombreux Anciens de 1963 bien entendu, le Président de l’APC de Tizi-Ouzou, Ouhab Aït-Menguellet, des militants du Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD) et beaucoup d’autres citoyens sympathisants du parti d’Aït-Ahmed.
Cette manifestation s’est traduite par l’observation d’une minute de silence à la mémoire des martyrs de 1954-1962, de 1963 -1965 et de la démocratie, la fatiha et une prise de parole. Concernant cette prise de parole, c’est Ali Tifou, da Ali pour les intimes et qui un Ancien de 1963, qui s’adressera le premier à l’assistance fort nombreuse pour rappeler que l’action du FFS en 1963 était inscrite dans la lettre et l’esprit de novembre 1954 et du congrès de la Soummam. L’intervenant apportera également une précision de taille, à savoir que le leader du FFS, Hocine Aït-Ahmed a instruit ses militants et combattants de ne pas tirer sur les forces de la gendarmerie et l’ANP. Les accrochages qui ont eu lieu, a affirmé Ali Tifoun, étaient inévitables « car on venait nous déloger de nos maquis ». Pour sa part, Ali Laskri, lequel ne s’est pas montré prolixe, a vivement rappelé le principe de la réconciliation nationale laquelle comporte surtout la reconnaissance des Anciens de 1963. Quant à la fatiha, elle sera lue par Cheikh Chabane de la mosquée de la grande mosquée Cherfaoui.
Le second volet de la manifestation sera traduit par un meeting populaire qui sera fait à la place de l’ex-Mairie. Devant une foule très nombreuse, le Président de l’APW de Tizi-Ouzou, Hocine Haroun, le Premier secrétaire du FFS, Mohamed Nebou et Ali Lskri, membre du Présidium du parti se relayeront devant le micro. En ce qui le concerne, Hocine Haroun insistera sur le combat à mener pour le maintien au profit de la wilaya de Tizi-Ouzou des projets structurants. Pour le Président de l’APW de Tizi-Ouzou, la baisse du prix du baril du pétrole ne doit aucunement justifier les grands projets de développement de la wilaya. Mohamed Nebou abordera quant à lui toutes les questions chères au FFS, notamment la reconnaissance des Anciens de 1963. Concernant ce sujet précis, le Premier secrétaire du FFS que son parti « n’abdiquera pas dans son combat pour la reconnaissance du statut à nos valeureux Chouhadas tombés au champ d’honneur pour défendre les acquis de l’indépendance nationale ». « Notre groupe parlementaire, poursuit Mohamed Nebou, va relancer le projet de loi que le bureau de l’APN a rejeté sous prétexte que le pays ne dispose pas de ressources financières pour indemniser les martyrs de FFS. » « le FFS ne réclame pas des indemnités pour ses martyrs, mais une reconnaissance morale à ses valeureux Chouhadas », a précisé Mohamed Nebou. L’orateur mettra également l’accent sur la réconciliation nationale et les mécanismes proposés par le FFS pour faire sortir l’Algérie de la crise.
Ali Laskri abondera lui aussi dans le même sens que Mohamed Nebou. Le membre du Présidium du FFS a insisté sur le dialogue que son parti compte poursuivre pour la concrétisation de la réconciliation nationale. « Nous comptons associer à ce dialogue toutes les forces vives du pays, à savoir le pouvoir, les partis politiques, les syndicats et les représentants de la société civile ». A propos de tamazight, Ali Laskri a martelé que son parti n’a jamais cessé de revendiquer sa reconnaissance et sa valorisation ». L’orateur rappellera également le principe de « l’Algérie, une et indivisible », principe que le FFS ne cessera jamais de défendre. « Nous n’avons qu’un seul drapeau, celui pour lequel des hommes et des femmes se sont sacrifiés », a assuré avec véhémence Ali Laskri.
De Tizi-Ouzou, Said Tissegouine
Il est clair qu’il faut rien attendre du FFS et du RCD, il faut plutôt apprendre à se protéger d’eux, ils sont pires que le FLN et le RND réunis, car on sait exactement que représentent ces deux derniers, contrairement aux deux premiers. Je n’aime pas la politique et l’hypocrisie, et une fois réunies, ce qui est le cas, car la politique est synonyme d’hypocrisie, ça devient une catastrophe humaine.
Le FFS continue « à pousser un âne mort » (mazal yekkat avêhri s uâazzag). Les martyrs du FFS, du printemps noir ne peuvent reconnus et réhabilités qu’au sein de la nation kabyle libre et souveraine.La stratégie du FFS a échoué et il est temps de tirer les leçons d’un demi siècle d’opposition stérile et inefficace.Deux peuples (kabyles et arabes),deux projets de société inconciliables.Le FFS est est à l’agonie, son avenir est en Kabylie à condition qu’il cesse de tourner le dos au peuple kabyle qui l’a enfanté (idem pour le RCD).
Moi je reguarde la photo, et dedans on peut y trouver une 100aine d’objets, qui au mieux sont assemble’s dans ce pseudo pays, que ce FFS continue de reclamer ou je ne sais quoi. oh non, je sais quoi – le droit d’acces a l’assemblage ou aux produits elementaires, mais certainnement pas a la fabrication de ceux-ci. Par example: La canne du monsieur a droite. Meme la toile sur le mur.
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Certes une societe’ egualitaire a le plus de chance de faire emerger une elite capable de concevoir et implementer une telle activite’, mais pour ce faire, il y a besoin d’une population predispose’e. Cette disposition est la resultante directe d’une culture feconde.
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Ces 3 condition, je soumets sont totalement neutralise’es, et condamne’e a le rester jusqu’a la consacration de la liberte’. Celle de reflechir et d’agir independemment.
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Messieurs/Dames du FFS&RCD, vos inttentions sont bonnes, c’est la methode qui boite. Si vous revez d’une societe’ cultive’e et socialement mure, alors battez-vous pour l’Independance !
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Les Arabes sont clairs dans leurs principes et positions. Ils vous ont nie’ avant et combattu, et je ne vois pas pourquoi ils changeraient aujourd’hui. Eux ne sement pas la confusion, comme vous le faites – car soyons serieux, vos supports en 1963 etaient Kabyles et c’est par adhesion a cette SPECIFICITE’ que des Hommes se sont sacrifie’s.
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Par Socialiste, il y a bien lieu de societe’ comme denominateur commun, et la societe’ qui vous a supporte’, s’appele la Kabylie et non l’Algerie. Alors, un peu d’honnetete’, vous sera utile meme aupres de ceux que vous sollicitez – Changez de nom et de discours, et vous verrez. Je vous suggere: Front des Kabyles de Service, ou peut-etre un oximoran genre Flous du Kapitalisme Socialite.
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Rejoignez le MAK et bougez !
bonjour: SES DEUX PARTIS KHOBZISTES( ar a sidi et affes ) ne doivent pas exister encore en kabylie. DEGAGE FFS DEGAGE RCD .
Azul
Vive le MAK et le GPK.
C’est le seul espoir pour que la Kabylie retrouve a nouveau sa souveraineté.Donc vous n’attendez rien de ces partis tel que ffs/rcd/rnd ….act qui courent derrière quelques gouttes de pétrole.
Réveillez-vous.Réveillez-vous.
Tanmirt
Evidemment, le pouvoir ne reconnaîtra jamais les martyrs de 63, mais il peut compter sur le ffs pour combattre le mak. Le responsable de ce parti moribond l’a bien dit: le pays est indivisible et il n’y a qu’un seul drapeau. Le message est destiné au régime pour lui dire de dormir sur ses deux oreilles, le ffs est toujours là pour la sale besogne. Ne comprend que celui qui refuse de comprendre.
encore une remarque: d’après cette ancien du ffs, ait-hmed a instruit ses militants et combattants de ne pas tirer sir les militaires. C dire qu’il veut compter les morts de son côté seulement. Maintenant C claur: tout ce qui est dit sur lui est confirmé. Il a rejoint cette révolte initiée par krim belkacem pour la casser. Cette phrase qu’il a prononcée à sa capture suffit à le dénoncer: « ne tirez pas, c’est moi ait-hmed. »