Attaque terroriste à Aïn-El Hammam : Un policier mort et un autre grièvement blessé

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groupe de terroristes
groupe de terroristes

TIZI-OUZOU (Tamurt) – L’un des policiers est mort sur le coup tandis que son camarade a été grièvement blessé. D’autres policiers se trouvant non loin du lieu de l’attentat ont vivement riposté à l’attaque des assaillants en tuant l’un d’eux sur le coup.

Cependant, le deuxième terroriste a réussi à prendre la fuite à bord de son auto en emportant avec lui le pistolet-mitrailleur du policier tué. Notons que lors de la fusillade, une panique indescriptible s’est emparée de la foule fort nombreuse à ce moment-là sur les lieux du crime et même des alentours.

En ce qui est du sort du policier blessé, il a été évacué d’urgence vers l’hôpital de Aïn-El-Hammam distant de quelques centaines de mètres seulement du lieu de l’attentat. Par ailleurs, nous avons appris de source locale qu’une demande de sang a été sollicitée aux âmes charitables au profit du malheureux policier.

Notons enfin que qu’il ne serait pas superfétatoire de mentionner qu’au vu du climat délétère régnant au niveau des hautes sphères d’Alger, le terrorisme a encore de beaux jours devant lui. Le terrorisme réduit à son état résiduel n’existe que dans le petit glossaire mensonger d’Ahmed Ouyahia et des ses amis affairistes.

Par Said Tissegouine

12 Commentaires

  1. Le regime algerien n’est rien d’autre qu’une branche de la DGSE Allah, un despote pillard et terroriste, comme bras droit !!!

    L’Algerie berbere est sous le joug de deux colonialismes diaboliques et barbares, l’Allaho-arabisme et la francarabie!

  2. Le regime algerien n’est rien d’autre qu’une branche de la DGSE Allah, un despote pillard et terroriste, comme bras droit !!!

    L’Algerie berbere est sous le joug de deux colonialismes diaboliques et barbares, l’Allaho-arabisme et la francarabie!

  3. Azzul,
    Si des comités de défense affiliés aux villages éxistaient, les auteurs de cet attentat auraient été fait comme des rats. Point besoin dès lors de l’armée étrangère ni de son prétexte, les terroristes.
    Seul le systeme politique kabyle convient pour la Kabylie. Les apc ?, les dairas ?, les wilayas ? et les vices qu’ils sécrètent, la gendarmerie, l’armée et les terroristes algériens sont des nuisances, une injustance inqualifiable envers la Kabylie.
    Seule une prise en charge immédiate par nous même de nos propres affaires nous sortira de ce mer.ier. Commençons par l’éducation pour mettre fin lupanar-école qu’on a admis au sein même des villes et villages de nos ancêtres. Jetons cette souillure qui est la télé algérienne qu’on a laissé entrer sous nos pénates.

  4. Azzul,
    Si des comités de défense affiliés aux villages éxistaient, les auteurs de cet attentat auraient été fait comme des rats. Point besoin dès lors de l’armée étrangère ni de son prétexte, les terroristes.
    Seul le systeme politique kabyle convient pour la Kabylie. Les apc ?, les dairas ?, les wilayas ? et les vices qu’ils sécrètent, la gendarmerie, l’armée et les terroristes algériens sont des nuisances, une injustance inqualifiable envers la Kabylie.
    Seule une prise en charge immédiate par nous même de nos propres affaires nous sortira de ce mer.ier. Commençons par l’éducation pour mettre fin lupanar-école qu’on a admis au sein même des villes et villages de nos ancêtres. Jetons cette souillure qui est la télé algérienne qu’on a laissé entrer sous nos pénates.

  5. La charia islamique est l’une des causes avec le militarisme et l’Etat-FLN de la guerre civile algérienne. Plutôt, le harcèlement unilatéral et les attaques répétitives de ces derniers, chacun dans sa branche nuisible envers le peuple algérien. Le Salafisme causant la recrudescence dès 94 du terrorisme islamique international (cet avion d’air France détourné, les attentats islamistes sur le sol français,…) était la conséquence de cette guerre dite-civile à l’algérienne. Quoique les civils au sens littéraire n’ont pas levé le petit doigt pour se défendre massivement. À part ces quelques milices progouvernementales, dont les membres se faisaient appelés « les patriotes » et en leurs têtes surgissaient à l’époque, en Kabylie par exemple, des noms de guerre et de haut-gradés de la révolution 54, un autre sujet.

    Après l’arrêt du processus électoral de 1991, qui a failli consacrer une seconde tour islamique en Algérie, après celle de l’Iran, sur un échiquier d’en moins 47 pays à plus de 50% musulmans face à l’Europe et l’occident ; dont les fous ont été joués malgré tout par deux vrais psychopathes, Saddam pour le fou blanc et le fou de tripoli s’emparait bien avant du noir. Les cavaliers auraient pu être attribués à Moubarak et Zine, pour leurs relations galopantes et dans toutes directions avec des dirigeants occidentaux, basées sur le profit familial comme tous les présidents non démocrates d’ailleurs. Il n’y avait pas de reine puisque l’islam interdit des responsabilités aux femmes. Enfin, pour le Roi, on aurait pu le glaner dans le grand choix des Maliks !

    Ce sont les mecontents de cet arrêt électoral dont quelques uns, pour ne pas dire la plupart, devenus terroristes qui, en Algérie, sans circonspection et à force d’audace et d’agissements tolérés et encouragés finirent à des milliers de kilomètres de Bentalha et de Tibherines par redonner du tonus à Ben Laden. Ce dernier, sans être prié du tout, prend les rênes et s’autoproclame Roi à la place du roi. Il élaborait des stratégies d’attaques et droit devant pour faire échec et mat. Il « réinvestit » autrement son blé en finançant efficacement des camps d’entrainements terroristes. En contre partie, on mettait à sa disposition des pions ceinturés d’explosifs, une jeunesse endoctrinée à fond, une bombe-humaine prête à frapper. Et un pèlerinage massif et mondial qui, à ses débuts n’inquiétait personne, affluait vers l’Afghanistan.

    Il fallait attendre dix ans jour pour jour de germination, lorsque ce terrorisme international s’accrut en atteignant son summum ce 11 septembre 2001, afin que les communautés dirigeantes, principalement les américains, se réveillent et rassemblent leur courage entre les mains pour les affronter. S’il demeure encore mondialement un petit courage et que l’éveil reste somnolant. En Algérie, lamentablement, cet engagement sous Bouteflika, l’excuseur des terroristes, prit un sens opposé et négatif car l’exécutif en place en abusant de la confiance des algériens et de la communauté mondiale, après avoir annoncé à maintes reprises un terrorisme résiduel, confirme avec éclat et incitation son encouragement à la terreur islamiste en exportant premièrement, d’une manière peu commune la corrida d’Alger-tranquille vers la Kabylie sous le regard insistant des instances internationales qui ne se lassent plus du spectacle sanguinaire qu’offre au quotidien l’arène kabyle et la Kabylomachie ! Deuxièmement et désormais une chose sûre, la cuadrilla, sous l’autorité de l’armée, comprenant toutes les forces règlementaires de l’Algérie, est sur le terrain : une guerre sans merci est ouverte sur les terres ancestrales kabyles où le pouvoir et islamistes se disputent militairement et officiellement le rôle du Matador !

    A part la tour représentée par l’Iran sur cet échiquier de croisades et de contre-croisades, puisqu’il s’agissait de la continuité de cette guerre moyenâgeuse identifiée sans fin, tous les pions illustrés en haut sont mis à terre ! Est-ce une nouvelle partie d’échec qui commence ? Ce qui est sûr, c’est que les Kabyles ne cautionneront jamais cet eternel recommencement, surtout sur leur terre. Grâce au GPK, avec l’aide des patriotes sincères et de la résistance kabyle au quotidien et avec aussi, espérons-le, une aide internationale conséquente et favorable, ce terrorisme islamiste combiné à celui de l’Etat Algérien via la gendarmerie, le DRS et l’ANP comme aujourd’hui à Azazga et sur les barrages routiers, cessera de sous peu. Après une invitation réglementaire au code de la route pour passer un barrage, un jeune homme a été assassiné volontairement d’une balle dans la nuque par un soldat algérien. Il voulait rejoindre sa famille au village avec un collègue, après une dure journée de travail à Tizi-Ouzou. Un meurtre que Bouteflika rajoutait dans la longue liste de son carnet spécial bavures impunies de Kabylie, son trésor de guerre qui se retournera bientôt contre lui devant la CPI! La Kabylie qui, représente la dernière muraille encore debout contre l’intégrisme islamique en Afrique du nord, tient encore la route. Mais pour combien de temps résistera-t-elle sous les conditions éditées par ce pouvoir en place?, se demandaient les observateurs.

    Avant tout, les maux de la Kabylie viennent d’abord des tiraillements de ses enfants qui n’arrivent plus à s’entendre pour instaurer le minimum d’un accord pour aller marcher dans le sillage des nations civilisées en coupant une bonne fois pour toute ce fil qui les lient à ce pouvoir assassin, source principale de leur mésentente ; et pourtant l’autonomie, cet outil politico-juridique que tous, partis politiques kabyles, associations non gouvernementales, comités des villages, élites et bases, s’accordent implicitement à regarder de prés, à éplucher et améliorer, offre une protection régionale sûre pour leur survie comme peuple kabyle uni.

    La liberté des peuples est le principal fondement des droits humains. L’autonomie de la Kabylie est un droit garanti par les écrits internationaux pourvu qu’on la souhaite ! Comme d’ailleurs son indépendance par la suite, si on y songe. Rien et personne ne pourra entraver pour longtemps la marche vers l’indépendance de la Kabylie vis-à-vis d’Alger à part les kabyles eux-mêmes. C’est certain ! Le mieux, c’est que l’occident retient la leçon islamiste et s’implique davantage dans son soutien à la construction de l’Etat Kabyle maintenant que les kabyles aient alimenté le feu vert, cette séparation avec Alger. La Kabylie sous le turban et le voile impliquerait une porte ouverte sur cette Europe sans cesse restée endroit visé par les conquêtes islamiques, à atteindre juste après la chute généralisée de l’Afrique du nord. La Kabylie est la seule tour de démocratie qui, se défend encore au-delà de la ligne médiane de cet échiquier, rempare ce couloir gauche montant vers l’Espagne et la France. Ce rempart contre l’islamisme d’un pion esseulé, aujourd’hui, est vraiment encerclé et affaibli, et le renfort attendu, après plusieurs S.O.S, n’arrive pas ! La vigilance des occidentaux est au maximum, d’accord ! Mais il suffirait d’un petit « soldat » non détecté à temps par le radar et la technologie voire les renseignements pour qu’on enjambe l’Europe et s’y damer.

    Sans ce, un autre réveil planétaire peut être terrible ! Celui qui passe la nuit dans la mare se réveille cousin des grenouilles, proverbe berbère.

    M. At Mejkan

  6. La charia islamique est l’une des causes avec le militarisme et l’Etat-FLN de la guerre civile algérienne. Plutôt, le harcèlement unilatéral et les attaques répétitives de ces derniers, chacun dans sa branche nuisible envers le peuple algérien. Le Salafisme causant la recrudescence dès 94 du terrorisme islamique international (cet avion d’air France détourné, les attentats islamistes sur le sol français,…) était la conséquence de cette guerre dite-civile à l’algérienne. Quoique les civils au sens littéraire n’ont pas levé le petit doigt pour se défendre massivement. À part ces quelques milices progouvernementales, dont les membres se faisaient appelés « les patriotes » et en leurs têtes surgissaient à l’époque, en Kabylie par exemple, des noms de guerre et de haut-gradés de la révolution 54, un autre sujet.

    Après l’arrêt du processus électoral de 1991, qui a failli consacrer une seconde tour islamique en Algérie, après celle de l’Iran, sur un échiquier d’en moins 47 pays à plus de 50% musulmans face à l’Europe et l’occident ; dont les fous ont été joués malgré tout par deux vrais psychopathes, Saddam pour le fou blanc et le fou de tripoli s’emparait bien avant du noir. Les cavaliers auraient pu être attribués à Moubarak et Zine, pour leurs relations galopantes et dans toutes directions avec des dirigeants occidentaux, basées sur le profit familial comme tous les présidents non démocrates d’ailleurs. Il n’y avait pas de reine puisque l’islam interdit des responsabilités aux femmes. Enfin, pour le Roi, on aurait pu le glaner dans le grand choix des Maliks !

    Ce sont les mecontents de cet arrêt électoral dont quelques uns, pour ne pas dire la plupart, devenus terroristes qui, en Algérie, sans circonspection et à force d’audace et d’agissements tolérés et encouragés finirent à des milliers de kilomètres de Bentalha et de Tibherines par redonner du tonus à Ben Laden. Ce dernier, sans être prié du tout, prend les rênes et s’autoproclame Roi à la place du roi. Il élaborait des stratégies d’attaques et droit devant pour faire échec et mat. Il « réinvestit » autrement son blé en finançant efficacement des camps d’entrainements terroristes. En contre partie, on mettait à sa disposition des pions ceinturés d’explosifs, une jeunesse endoctrinée à fond, une bombe-humaine prête à frapper. Et un pèlerinage massif et mondial qui, à ses débuts n’inquiétait personne, affluait vers l’Afghanistan.

    Il fallait attendre dix ans jour pour jour de germination, lorsque ce terrorisme international s’accrut en atteignant son summum ce 11 septembre 2001, afin que les communautés dirigeantes, principalement les américains, se réveillent et rassemblent leur courage entre les mains pour les affronter. S’il demeure encore mondialement un petit courage et que l’éveil reste somnolant. En Algérie, lamentablement, cet engagement sous Bouteflika, l’excuseur des terroristes, prit un sens opposé et négatif car l’exécutif en place en abusant de la confiance des algériens et de la communauté mondiale, après avoir annoncé à maintes reprises un terrorisme résiduel, confirme avec éclat et incitation son encouragement à la terreur islamiste en exportant premièrement, d’une manière peu commune la corrida d’Alger-tranquille vers la Kabylie sous le regard insistant des instances internationales qui ne se lassent plus du spectacle sanguinaire qu’offre au quotidien l’arène kabyle et la Kabylomachie ! Deuxièmement et désormais une chose sûre, la cuadrilla, sous l’autorité de l’armée, comprenant toutes les forces règlementaires de l’Algérie, est sur le terrain : une guerre sans merci est ouverte sur les terres ancestrales kabyles où le pouvoir et islamistes se disputent militairement et officiellement le rôle du Matador !

    A part la tour représentée par l’Iran sur cet échiquier de croisades et de contre-croisades, puisqu’il s’agissait de la continuité de cette guerre moyenâgeuse identifiée sans fin, tous les pions illustrés en haut sont mis à terre ! Est-ce une nouvelle partie d’échec qui commence ? Ce qui est sûr, c’est que les Kabyles ne cautionneront jamais cet eternel recommencement, surtout sur leur terre. Grâce au GPK, avec l’aide des patriotes sincères et de la résistance kabyle au quotidien et avec aussi, espérons-le, une aide internationale conséquente et favorable, ce terrorisme islamiste combiné à celui de l’Etat Algérien via la gendarmerie, le DRS et l’ANP comme aujourd’hui à Azazga et sur les barrages routiers, cessera de sous peu. Après une invitation réglementaire au code de la route pour passer un barrage, un jeune homme a été assassiné volontairement d’une balle dans la nuque par un soldat algérien. Il voulait rejoindre sa famille au village avec un collègue, après une dure journée de travail à Tizi-Ouzou. Un meurtre que Bouteflika rajoutait dans la longue liste de son carnet spécial bavures impunies de Kabylie, son trésor de guerre qui se retournera bientôt contre lui devant la CPI! La Kabylie qui, représente la dernière muraille encore debout contre l’intégrisme islamique en Afrique du nord, tient encore la route. Mais pour combien de temps résistera-t-elle sous les conditions éditées par ce pouvoir en place?, se demandaient les observateurs.

    Avant tout, les maux de la Kabylie viennent d’abord des tiraillements de ses enfants qui n’arrivent plus à s’entendre pour instaurer le minimum d’un accord pour aller marcher dans le sillage des nations civilisées en coupant une bonne fois pour toute ce fil qui les lient à ce pouvoir assassin, source principale de leur mésentente ; et pourtant l’autonomie, cet outil politico-juridique que tous, partis politiques kabyles, associations non gouvernementales, comités des villages, élites et bases, s’accordent implicitement à regarder de prés, à éplucher et améliorer, offre une protection régionale sûre pour leur survie comme peuple kabyle uni.

    La liberté des peuples est le principal fondement des droits humains. L’autonomie de la Kabylie est un droit garanti par les écrits internationaux pourvu qu’on la souhaite ! Comme d’ailleurs son indépendance par la suite, si on y songe. Rien et personne ne pourra entraver pour longtemps la marche vers l’indépendance de la Kabylie vis-à-vis d’Alger à part les kabyles eux-mêmes. C’est certain ! Le mieux, c’est que l’occident retient la leçon islamiste et s’implique davantage dans son soutien à la construction de l’Etat Kabyle maintenant que les kabyles aient alimenté le feu vert, cette séparation avec Alger. La Kabylie sous le turban et le voile impliquerait une porte ouverte sur cette Europe sans cesse restée endroit visé par les conquêtes islamiques, à atteindre juste après la chute généralisée de l’Afrique du nord. La Kabylie est la seule tour de démocratie qui, se défend encore au-delà de la ligne médiane de cet échiquier, rempare ce couloir gauche montant vers l’Espagne et la France. Ce rempart contre l’islamisme d’un pion esseulé, aujourd’hui, est vraiment encerclé et affaibli, et le renfort attendu, après plusieurs S.O.S, n’arrive pas ! La vigilance des occidentaux est au maximum, d’accord ! Mais il suffirait d’un petit « soldat » non détecté à temps par le radar et la technologie voire les renseignements pour qu’on enjambe l’Europe et s’y damer.

    Sans ce, un autre réveil planétaire peut être terrible ! Celui qui passe la nuit dans la mare se réveille cousin des grenouilles, proverbe berbère.

    M. At Mejkan

  7. la mort d’un policier ou gendarme algérien ne me procure pas un brin de chagrin ! après le meurtre de 200 jeunes innocent, pourquoi pleurer devant un collabo de l’état algérien

  8. la mort d’un policier ou gendarme algérien ne me procure pas un brin de chagrin ! après le meurtre de 200 jeunes innocent, pourquoi pleurer devant un collabo de l’état algérien

  9. Votre discours ne tiens pas route , vous avez le système dans le sang , ce système possede des ingrédiens pour détruire la kabylie commencant par ses milites dès leurs créations le citoyens kabyles lès dénoncent ,nous savons tous que les arbe-musulmans préparent la rentrée des islamistes chez nous le rersultat est là ses milices désarmés comme des Harkis le politique kabyle est déshabyllé par les AARCHS ,
    La kabylie est vidé du politique pour préparer l’islamisation et l’arabisation en douceur , fuirent les investisseurs et terrorisé les kabyles par des gestes comme celui d’ighil ali et azazga et le reste c’est l’affaire des K.D.S . et clientilisme .
    Un arabe et le musulman sont d’accord pour notre désparition ? le 11 sept a donner une crédibélité au système algeriens et portant un pouvoir terroriste assassins , mais notre haine vers nos politique soit FERHAT ,AIT-hmed ou saadi nous la payant aujourd’hui très chère .

  10. Ce qui me chagrine c’est cette langue qui est toujours au dessus des autres. Même en Kabylie , notre langue vient aprés l’arabe; le « nif » kabyle. Je parle du panneau de cette mairie. C’est décevant cette « fiérté » kabyle et des Kabyles qui ont toujours eu un tuteur, même chez eux…

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