Kabylie, crise de militance

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KABYLIE (Tamurt) – Notre combat pour la liberté de la Kabylie se heurte à des réticences, à l’indifférence voire à la méfiance des citoyens déçus par les partis kabyles et le Mouvement Citoyen. Pourtant les jeunes n’ont pas perdu leur fougue et leur aspiration à vivre dans un Etat libre et souverain.

Cette nouvelle appréhension n’est-elle pas due au fait que la conscience ne se projette pas exclusivement dans l’avenir. Elle puise sa force du présent et du passé en réadaptant le combat aux exigences actuelles.

Notre combat, nos sacrifices ont été nourris par le rêve d’un monde de justice et d’égalité. L’émergence de nouvelles puissances, essentiellement des peuples opprimés, la crise du néolibéralisme, les révolutions démocratiques, qui secouent le monde amaziɣ, nées du printemps berbère 80, la nouvelle conscience universelle des dangers qui menacent la planète et l’exigence de plus de justice sociale marquent une tendance lourde d’évolution. Sommes-nous dans le sens de l’histoire ou à contre courant ?
Notre but, l’horizon radieux qui vaut tous les sacrifices, qui paraît s’éloigner au fur et à mesure que l’on se rapproche de lui, est-il toujours d’actualité ?

Nous répondons que l’espoir qui nous anime est plus grand que les obstacles auxquels nous sommes confrontés et notre démarche cadre bien avec l’évolution de l’histoire dès lors que la notion de « souveraineté » est la clé qui ouvre les portes de la prospérité pour toute nation. La lutte pour l’instauration d’un Etat kabyle s’inscrit dans une dynamique de parachèvement de la décolonisation, condition sine-qua-non pour l’avènement d’un monde libre.

Pour apprivoiser cette marche de l’histoire au bénéfice de notre mouvement libérateur, il faudrait que les militants potentiels du Mouvement constituent une véritable force révolutionnaire. Aujourd’hui, il suffirait de donner du caractère à nos actions et de cerner correctement la nature des mutations nécessaires. Il faudra aussi réfléchir aux voies et moyens à mettre en œuvre pour la réalisation du référendum d’autodétermination qui permettra aux peuple kabyle de prendre son destin en main.

R. F.

21 Commentaires

  1. IL n`y`a pas de crise de Militance en Kabylie, La Kabylie veut la reconnaissance de sa langue, la reconnaissance de sa societé distincte et le respect de celle ci de par sa langue le Kabyle, sa religion qui est Jmaa Liman Laic (respect de toute les religions de kabylie on est toutes ces religions), qu`il y`ait ou non separation ou autonomie ou comme vous voulez l`appeler c`est ca que veulent tout les kabyle

    que vive la Kabylie longue vie à la Kabylie et son peuple

    Thanemirth

    • azul, je suis pour la liberté de la kabylie ,sauf que beaucoup de jeunes sont sur que l’algerie leur appartient ,nous voyons bien tout ce que fait le pouvoir pour attirer ces jeunes ,ils les flattent ,emissions kabyles a l’entv qui n’avaient jamais lieux ,sur les emissions de litterrature on voit des panneaux en berbere et ces jeunes se disent je suis chez moi partout en algerie voila le constat ,donc il faut aller vite car dans 5 ans les autonomistes se comptrons sur les doigts d’une main ,ce serait triste mais cette realité est envigeasable vive la kabylie libre vive ferhat vive le gpk tannemirt

  2. C’est tout à fait normal, des payes dite puissants garantie la légitimité des régimes mafieux, l’Allemagne, la Russie, fournie sans pitié des armes, l’Europe, l’Amérique, la chine, désert clés aux mains, économie Sucer, médias verrouillé, droit de l’homme profaner, tout ça sous tutelle de madame la France avec la bénédiction de l’UNU. Arabie saoudite, Qatar garantie EL OUMMA AL ARABIA, financent les terrorismes, perverse les sociétés. Que voulez-vous que des minorités autochtones face devant ces monstres géants après qu’ils sont fait trahis, divisé, corrompus, massacrés, assassinés depuis presque toujours, des fois meme par leurs propre freres. Y a de quoi être pessimiste, mais une chose est sûr, continuer à se réfugier derrière le pacifisme, est à passer son temps à se rebeller, ont fini par déficience et à creuser sa propre tombe. A-zzhir yebd-ed ghar tudrin, dans ce cas, légitime défense ne peut faire défaut par ignorance, Alors Accueillant l’ennemi proprement… à méditer
    Kabylement

  3. azul
    tands que vous etes racistes la majorite es kabyles n iront pas avec vous..
    vous tombez dans le jeu du pouvoir…vous etes contre le pouvoir pas contre l algerie..
    les kabyles sont des algeriens et l idee du MAK c de faire une autonomie a l Americaine ou suisse ou meme a l emirate donc soyez poli et sociale…
    tanemirt

  4. De nos jours aucun mouvement ou parti aussi fort soit-il, et à travers le monde donc ce n’est pas spécifique à la Kabylie, ne peut drainer les grandes foules. Pour la Kabylie il n’ y a vraiment pas lieu de s’alarmer:1) On distingue une majorité consciente, qui soutient fermement la cause Kabyle, donc adhère à la politique prônée par le GPK/MAK, 2) une portion d’indécis, mais qui reste un réceptacle tout de même assez important de militants potentiels à la cause, 3) les frustrés ou les déçus (comportement engendré par la versatilité des partis « Kabyles » et des mouvements citoyens tels que le MCB et Arrouch) 4) la dernière portion, la moins importante se soucie de la « panse » laquelle veut s’assurer du déjà acquis (selon le principe:un tien mieux que deux tu auras). Le GPK/MAK (quoiqu’il a du pain sur la planche) a le soutien indéfectible de la majorité sur laquelle il peut s’appuyer pour mettre en œuvre son programme d’autodétermination. Votre frère Kabyle.

  5. azul,
    vite, vite, vite l’autodétermination, la liberté, l’attente tue la volonté et le courage et plus il y a d’attente, plus
    cela profite aux ennemis de la Kabylie libre. merci au MAK et a l’ANAVAD, nous sommes pas encore assez solidaire, et le doute et la méfiance organisé par les manipulateurs du pouvoir et de ses allier sème la confusion parmi nous. Nous devons être solidaire plus que jamais, tous les Kabyles dans le monde. je suis isolé, mais je suis pour la cause de mon peuple. vive la Kabylie libre et indépendante.
    Idir le Kabyle isolé.

  6. Azul,

    Aucun parti kabyle, le MAK compris, n’a pris la peine de comprendre la société kabyle. On parle de culture, mais personne ne prend en compte la religion kabyle (berbère) qui est le socle de notre civilisation (azref, droit d’héritage, la famille, taddart, l’héritage, …). Comment comprendre tracer, écrire la personnalité du Kabyle si on ne se réfère pas à cela ? On parle de politique, mais personne n’a essayé de comprendre l’organisation politique de la Kabylie depuis plus de 2500 ans et de tenter, ne serait-ce que de s’en inspirer. Les colonialistes étaient-ils bêtes, débiles ou trop oisifs quand ils ont pris la peine d’étudier profondément la société, dans toutes ses coutures (durant les années 1850 – 1870) pour mieux exploiter les failles qu’ils peuvent détecter. A défaut d’étudier plus sérieusement notre société par nous même, ne pouvons-nous pas, ne serait-ce que reprendre ces études, pour en tirer parti dans le sens positifs, dans le sens de faire de la politique comme nos arrières grands parents, avec l’enrichissement des données et moyens modernes ?

    Tout compte fait, on fait comme si politique signifie pour un kabyle autre chose que cité (village, ville), aârc (fédération). Et c’est déjà parfait, car, sinon, en quoi consiste la démocratie véritable ? La vénérable démocratie grecque est-elle autre chose ? Quel est le parti ou le mouvement kabyle qui reprend ces thèmes, ne serait-ce que dans ses discours envers le citoyens kabyles ? Nos partis et mouvements font comme si les Kabyles ont de tout temps été régis à partir d’un CENTRE que même la cosmologie kabyle n’a jamais connu. Certes cela existe depuis quelque années, mais cela correspond à l’ère de la déchéance de la Kabylie (1871 – 2014). Est-ce vraiment le modèle pour nous ? Suffit-il de mettre des leaders kabyles, des militants kabyles, des sigles kabyles, dans des systèmes d’organisation qui ne doivent rien à la Kabylité, pour faire kabyle ? En deux mots, nos partis et mouvements prennent la chose à l’envers. Et ça explique assez bien la lassitude de nos concitoyens. Mais non, on tourne la page à une glorieuse démocratie, et on modélise encore et encore à la FLN encore et on pond encore et encore des partis, des mouvements, des associations à saupoudrage kabyle, mais à matrice qui n’a rien de kabyle.

    L’essoufflement du militantisme kabyle, si on peut parler de cela, pourrait s’expliquer, EN PARTIE, par la lassitude de devoir coller aux schémas d’organisation et de codes d’expression exogènes et à cette contrainte que l’on s’impose, consciemment ou non, de refouler nos modèles et normes. La déstructuration systématique de la civilisation kabyle à partir de 1871, sa non réhabilitation en 1962 et son abandon par les kabyles eux-mêmes (nous mêmes) dans les schémas de lutte à partir du début du XXe siècle et, surtout à partir de 1949 et 1962; la non réhabilitation du socle religieux antique très affaibli par les destruction des mausolées des iâassassen et l’interdiction des assemblées qui entretiennent le feu sacré, l’affaiblissement des ces éléments vitaux de notre identité ne peut être sans conséquence sur nom Kabyle.

    • bien parler fatiha
      je rajouterai un détail mais qui a à mes yeux beaucoup d’importance: l’INJURE et/ou l’INTOLERANCE
      On ne sait pas critiquer et on fait dans l’injure et ça ne pardonne pas. c’est pour cela que les kabyles sont divisés. combien de vrais militants sont devenus aigris ou même qui abandonnent même leurs idées parce qu’ils sont objets d’injures venues d’autres militants aussi vrais.
      Le kabyle peut accepter ou supporter tout sauf l’injure. on arrive pas encore a s »écouter et essayer de convaincre.
      ce n’est que par le respect qu’on arrivera a faire quelque chose ensemble.

    • Je m’inscrit totalement dans la continuité du message précédent, toutefois je voudrais rajouter quelques éléments en fait on à l’impression que le mak s’inspire essentiellement des méthodes utilisées autrefois par le parti unique d’une part et d’autre part par les méthodes utilisées par le mouvement dit « citoyens » à savoir l’intimidation permanente l’injure …et j’en passe.Un projet de société n’est viable que si ils est porté par les citoyens hors je constate bien que le mak ressemble à une association folklorique la majeurs partie de ses activités se résume à des commémorations ou quelques actions sporadique qui ressemble à des tempêtes dans un verre d’eau,en résumé si l’idée du mak ne séduit pas ce n’est pas faute de lassitude de la population mais plutôt pour manque de lisibilité, un projet de société à besoin de démocratie et de liberté d’expression et surtout du respect le militantisme façon aarchs n’a pas rencontré du sucées chez la population kabyle il appartiens aux dirigeants du mak de revoir leurs copie d’être plus imaginatif et d’arrêter d’ invectiver la population. aujourd’hui le citoyen n’a pas besoins qu’on lui critique ce que font les autre mais qu’on lui proposent des alternatives crédible et réalisable aujourd’hui la population pense en premier lieu à l’avenir de leurs enfants et n’accepte plus de les sacrifier au noms d’un idéal.

    • azul,
      le MAK est un mouvement et pas un parti. la religion est un choix personnel et non une affaire nationale.
      le MAK est démocrate et respect les valeurs et les croyances ancestrales du peuple Kabyle…
      il n’est question que de sortir la kabylie de la crise et de militer pour des solutions.ensuite il appartiendra au peuple Kabyle et a lui seul de tracer sa voie et de définir son autogestion politique, économique et environnemental.
      les polémiques éveille la conscience d’accord, la critique qui bâti aussi, mais les raccourcis et les déductions de survole détruisent et apportent aucune pierre a l’édifice. ( la sortie de la Kabylie et de son peuple de la crise, le retour de la liberté de choix et de conscience, la paix, la prospérité de ses habitants, sont les valeurs du MAK et du GPK. face au monde actuel et aux institutions mondiale, pour faire valoir une autodétermination il faux un gouvernement provisoire une représentation.
      Que voulez vous? quelles sont vos solutions? pour l’avenir de la Kabylie;
      L’ assemblées des Aârchs existe mais elle n’a pas sortie le pays de la crise.
      le FFS, le RCD et toutes les représentations politiques non plus.
      alors pour vous, comment sortir des griffes du pouvoir qui impose la terreur et la mort programmée de la kabylie?
      je vous écoute l’inconnu.
      merci de répondre;

      • Azul,

        Ih, akk’ ayyi a Idir. Ad votiɣ ɣef weɣyul n l FFS neɣ l RCD, ur tvotɣ ara ɣef uverrani. Dɣa l MAK id iskeflen isem n weqvayli, ur sïiɣ dacu ara ad rnuɣ.

        Maca, ayen twaliɣ issefk ad tid iniɣ.

        L’échec des partis kabyles est dû, en partie, à non la reprise, dans leur organisation, des formes d’organisation kabyle. Du coup, les gens ressentent, peut être vaguement, qu’il doivent s’adapter à chaque fois à des formes d’organisation à chaque fois différent. En même temps, les gens se résignent à faire le deuil de la démocratie millénaire. Quelle meilleur appui pour le MAK que l’appui des villages, tijumaâ et, au delà des âarcs tournés vers le seul objectif qui vaille pour le moment : l’émancipation de la Kabylie ?

  7. le phenomene de drainage des foules pour les manifs pacifiques a disparu dans toutes les societes respectables. Franchement ou sont les rassemblements des annees 60, 70 dans les pays occidentaux? Les quelques manifs qu’il y a sont minines par rapport aux foules d’antant. Donc ce phenoneme n’est pas unique a la Kabylie et aux Kabyles. De nos jours beaucoup de gens se manifestent sur le web (Facebook et autres plateformes web sociales) mais cela ne veut pas dire que les gens ne sont pas conscients du probleme et seront mobilises quand le moment critique approche.

  8. La verticalité du combat kabyle peut s’avérer, insuffisant, s’il n est pas relayé et porté par celui, horizontal. Il est, à mon sens vital d’aider à une prise de conscience sur une auto suffisance alimentaire possible et réalisable. L’agriculture de montagne a permis à des régions en Espagne de dégager, un surplus, qui leur ont permises, d’exporter et donc de rester en contact avec le reste des régions et territoires. Travailler à une prise de conscience qu’il n y a pas que les énergies fossiles pour satisfaire nos besoins en la matière. Celle, photo-voltaïque ou éolienne ne sont elles pas envisageables? Dire à quel point l’autonomie est viable si, le combat politico-idéologique s’additionne à ceux du développement durable et de celui de l’économie solidaire. Je rêve peut-être mais j’essaye de le faire, éveillé. Une seconde avant qu’il fasse jour,il fesait nuit.

    • A gmatneɣ,

      La destruction du socle de l’économie kabyle, paysanne, artisanale, durant les années 70 (coïncidant avec la « révolution agraire » par l’étranglement de la paysannerie par les importations de produits alimentaires subventionnés par l’argent du pétrole) n’aurait jamais été possible si les normes religieuses kabyles étaient encore assez puissantes; Il faut savoir que dans la religion kabyle, le sacré c’est axxam et akal (ur tnusen, ur rehhnen). Dans la religion kabyle, il est inconcevable de vendre le FOYER de ses ancêtres. Sachant que dans l’antiquité, l »ancêtre repose au sein même de la demeure familiale : aâssas n wexxam. Il en est de même pour la terre qui obéit à la même conception religieuse : l’ancêtre, parfois aussi, y repose, et on ne vend pas la terre ou repose l’ancêtre divin. Et la pratique qui consiste à se faire enterrer sur ses propres terres est-elle autres choses que la perpétuation de rituels religieux antiques, vénérable ?

      Voila donc, la destruction de notre économie (et donc du plus grand aout pour notre émancipation et notre souveraineté) a été rendu facile grâce la destruction, durant les 150 dernières années, par l’affaiblissement de notre spiritualité et religiosité, base de la société et de la civilisation kabyle (et amazighe, en général).

  9. Il faut éliminer les rats qui ont infiltré notre champs de blé (le MAK/GPK) pour sauver notre récolte–notre existence. Voila la vrai crise. Aucun rat ne peut torpiller la libération du peuple kabyle du joug colonial terroriste arabo-islamiste imposé par la France. Et les rats ne peuvent que parler de crise en espérant se donner de la force et de convaincre le monde que notre cause est paralysée par les rats anti-Kabyles.

    Vive la Kabylie dératisée et indépendante!

  10. Aucun kabyle digne et fier de sa culture ne se lassera de militer pour la préservation de son terroir . Cependant , l’importance des ennemis exogènes et endogènes à nos aspirations légitimes incite au pessimisme quand de surcroît , aucune stratégie pouvant efficacement ébranler les convictions ennemies ne pointe à l’horizon .

  11. Ilik d aqvayli!
    Me disait mon grand père au moindre soucis familial. Petit je me posais toujours cette question, nos soucis c’était quoi au juste? et que vient faire taqvaylit dans tout ça.
    Lui qui a vu son fils ainé tombé au champs d’honneur en 1958, lui qui a quitté son village brulé par l’armée française dés 1956, lui à qui la gendarmerie algérienne a ramené la dépouille de son fils cadet mort ou assassiné dans une région arabophone et que la GN camouflait en maladie, et voilà qu’en octobre 1988 cette même GN lui prenait son petit fils Arezki de 19 ans.

    Ilik d’aqvayli!

    La vie continue, il fallait grandir, mon père rentrait de France et je découvrait que cette belle langue Taqvaylit est chantée par Sliman Azem, Arezki Gerroumi ou encore , Taleb Rabah;Idir, ferhat viendront après.
    Le cauchemar pour nous c’était cette famille kabyle qui habitait le pays arabe ‘tamurt w-aεravan », et qui nous rendait visite au premier chant de la cigale, la fait qu’ils côtoyait des arabes nous rendaient méfiants.
    Ilik d-aqvayli!
    Au lycée, « ilik d-aqvayli était en faite une religion pour nous tous, c’était une sorte de divinité ou de temps à autre une offrande était nécessaire qu’importe le prix à payer, nous sommes ainsi dire des zoroastriens qui célébraient le nirvana en boutant le feu à un édifice « n-elhoukouma ».

    Et quand (l’in)justice nous rendait visite, on comprenait pas pourquoi le juge s’aide d’un interprété alors que celui ci n’est justifié dans le code juridique a. que pour les prévenus de nationalités étrangères.
    Alger, il fallait bien faire des études et je rappelle de cette première semaine ou un biskri en me voyant parlé « taqvaylit  » ne comprenait pas comment on parle encore cette langue dans un lieu public.

    Ma ṭura…
    Awid kan tadrimt!!
    Aniḍaṭ?

    Le temps ‘s’en va , chacun de nous a gouté à son pain noir  » aɣrum aberkan » c’était la Loi mais notre Foi était plus forte, la Foi dans Fouroulou, dans cette colline qu’on abandonne, dans cet éternel jugurtha, dans cette Tizi bwasa.

    Tadrimt bwasa, c’est ça raconter, écrire notre histoire, passer le message à ces jeunes car chacun de nous est un acteur non seulement de son propre destin mais de celui de toute sa communauté, car comme disait Mas Feraht  » Nugad aka ar aɣ truh! »

  12. L’auteur de cet article est la future Khalida Messaoudi du MAK!

    Une crise de ménopause transformée en crise de militance! Ayakarkur a mmi!!!

    Vive la Kabylie indépendante!!!!!!!!

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