Les citoyens dénoncent cette décision qu'ils qualifient d'arbitraire : Le wali d'Oran ordonne la dissolution de deux associations

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ALGÉRIE (Tamurt) – Le mouvement associatif se voit réduit à néant en Algérie. Les associations qui ne font pas allégeance au régime central d’Alger sont tout bonnement menacées de disparition.

Le wali d’Oran actionné sans doute, à partir d’Alger, n’a pas trouvé mieux que de suspendre les activités de deux associations; l’Association des Résidents de Canastel (ARC) et le Comité de Quartier El BAHIA de Bir EL DJIR, toutes deux activant dans la protection des espaces verts.

Face à ces pratiques qui menacent la liberté associative, les citoyens d’Oran se mobilisent. « Nous citoyens et représentants d’associations sommes réunis le dimanche 11 août 2013 pour :

– soutenir l’Association des Résidents de Canastel (ARC) et le Comité de Quartier El BAHIA de Bir EL DJIR, toutes deux activant dans la protection des espaces verts,

et dénoncer la suspension arbitraire dont elles ont été victimes. La suspension de ces deux associations confirme, malheureusement, le caractère liberticide de la loi Nº12-06 DU 12 JANVIER 2012 dénoncées par les associations d’Oran au moment de son élaboration en novembre 2011. En effet le wali d’Oran s’est appuyé sur une de ces dispositions contenu dans l’article 39 qui permet la suspension d’une association au motif « d’ingérence dans les affaires internes du pays. » « , lit-on dans le communiqué dénonçant les abus d’autorité du wali. « Y compris dans le cadre de cette loi scélérate, le wali d’Oran n’a, lui-même, pas respecté la procédure qui lui dicte des notifications préalables de mise en demeure avant suspension.

Face à cette situation : « nous exigeons la levée immédiate des suspensions des dites associations, nous réitérons notre dénonciation de cette loi sur les associations que nous nous qualifions d’anti constitutionnelle et contraire aux traités internationaux ratifiés par l’Algérie », laissent entendre les rédacteurs du communiqué.

Kamel S

7 Commentaires

  1. Mais on s’en fout ! Nos voisins se démerderont et {{NOUS Kabyles on reste mobilisés POUR LA KABYLIE ET JUSTE LA KABYLIE DORÉNAVENT !}}

    Les voisins ca ne nous regarde PLUS !!!

  2. http://en.wikipedia.org/wiki/Turks_in_Algeria
    http://balkanologie.revues.org/579?file=1
    {{Les pomaks et les gitans :
    La plupart d´eux sont des réfugiés Turks en Algerie d´Origine ( Pomaks et Gitane ) donc actuellement entraine de gouverner le pays : http://balkanologie.revues.org/579?file=1
    http://en.wikipedia.org/wiki/Turks_in_Algeria

    Isabelle Adjani, actress[28][29]
    Mohamed Bencheneb, writer[30]
    Ahmed Bey ben Mohamed Chérif, the last Bey of Constantine[31]
    Mustapha Haciane, poet[32]
    Messali Hadj, politician[33][34]
    Salim Halali, singer[35]
    Mohammed Racim, artist[36]
    Hamdan Khodja, scholar and merchant[37]
    Ahmed Tewfik El Madani, politician[38]

    Ahmed Ben Messali Hadj (Arabic: مصالي الحاج‎) (1898 in Tlemcen, French Algeria – June 3, 1974 in Paris, France) was an Algerian nationalist politician dedicated to the independence of his homeland from France. He co-founded the Étoile nord-africaine, the Parti du peuple algérien and the Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques before dissociating himself from the armed struggle for Independence in 1954. He also founded the Mouvement national algérien to counteract the ongoing efforts of the Front de libération nationale.}}
    {{
    Hadj was born in 1898 into an Algerian family of Turkish origin.[1][2] In 1927 he was elected leader of an Algerian workers’ association based in Paris. He attended the Anti-Imperialism Congress in Belgium that year, which created the League against Imperialism, and met with Vietnam’s Ho Chi Minh. Back in France and in his native Algeria, then a French colony, Messali helped build an underground movement and work towards Algerian independence. In the 1920s he started Étoile nord-africaine (North African Star), one of the first modern Algerian nationalist organizations, and in 1937 he founded the Algerian People’s Party (PPA). Both groups were suppressed by France, and in November 1937, Messali was put on trial for agitation, and imprisoned for several years}}

  3. Je pense que cette nouvelle n’a rien à faire dans le journal « tamurt », ce n’est absolument pas notre problème ! Oran ce n’est pas la Kabylie !

    • Bonjour.
      Bravo pour toute l’équipe de tamurt pour la qualité du journal que je lis régulièrement, et ,ce, bien que je sois Oranais et non kabyle. Aux auteurs des commentaires qui disent que ce qui se passe à Oran ne devrait pas faire la une car Oran n’est pas le problème de la Kabylie, je leur dis que c’est pas parce que les arabes (instrumentalisés par le pouvoir) ne sont pas correctes avec les kabyles que les kabyles ne devraient pas l’être. On peut défendre et gagner une cause sans user de la haine et de la discrimination comme le font les adversaires.
      Une question à @Anti-arabe ci-dessus : Vous êtes vraiment sûr que les nouvelles d’Oran ne devraient pas être publiées ici sur tamurt ou c’était sur le coup de la colère ?

      Amicalement

      • Je suis persuadé que les nouvelles d’Oran ou du reste de l’Algérie n’ont rien à faire dans le journal « Tamurt », çà ne nous regarde pas, tout bonnement ! Oran ce n’est pas la Kabylie, quand 128 jeunes mourraient sous les balles des gendarmes le 20 avril 2001 où étiez vous ? En avez vous parlé ? Vous êtes vous manifesté ? Ah !!! Si !!! Vous vous êtes manifesté pour le peuple Palestinien, je me rappelle puisque j’y étais !!! J’ai vécu toute ma jeunesse en Kabylie puis en dehors en Algérie, Kamel S, je ne suis pas né raciste, je le suis devenu, vous me direz « il y a des bons et des mauvais de partout », certes mais comme l’a dit Dda Slimane Azem, « abzez d gmas ujrad ».

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