Les Dieux grecs seraient des amazighs selon l’historien Tahar Kasmi

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CULTURE (Tamurt) – Sollicité par l’assistance, le conférencier, après avoir relaté l’historique du mouvement national qui aurait été créé par l’émigration kabyle vers les années 1916, développera l’autre thème relatif à l’histoire des berbères. Celle-ci remonte à 7400 ans avant Jésus Christ, à l’ère de la glaciation et les amazighs doivent leur nom à leur père Azigh, dira le conférencier.

Le Dieu grec Zeus s’appellerait en berbère Sousse et le frère d’Athèna-Tinhinane, Hercule fut le roi de Tanger. Pêle-mêle, il parlera des almoravides qui seraient en réalité les touaregs et de Bouyawawa (le père d’igawawen et du roi Chechnak) qui aurait colonisé la Palestine avec son armée d’Iflissen (les gens de la mer).

Concernant l’histoire du mouvement national, l’orateur s’attardera sur les différents conflits qui l’ont miné notamment la crise berbériste, l’assassinat des principales têtes pensantes de ce mouvement et la mise à l’écart à l’indépendance des guerriers libérateurs. Pour le conférencier, il y aurait eu 360.000 morts au champ de combat plutôt que le million et demi avancé par le pouvoir algérien. Cadre de la Sonatrach en retraite, le conférencier dira être sur un projet d’écriture de quatre essais sur l’histoire de l’Afrique du nord antique à ce jour, un recueil de chants patriotiques, une rétrospective sur le demi siècle d’indépendance pour rien et un roman. Pour ce dernier, les algériens sont entrain de dilapider leurs richesses sans produire quoi que ce soit.

Amaynut

27 Commentaires

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  2. C’est vraiment aberrant ce que dit cet ancien cadre de la Sonatrach, et cela pour les raisons suivantes:
    1-Il n’existe aucune référence historique, grecque (Hérodote ou autre), romaine, byzantine, européenne qui confirme cela.
    2-Pourquoi est ce que les grecs seraient émerveillés par les berbères géographiquement très loin de leur pays, et reconnus par tout le monde qu’il n’avaient aucune civilisation ni force militaire ou économique, alors, qu’ils seraient plus épatés par les grandes civilisations mésopotamiennes et égyptiennes plus proches de la Grèce antique que la berbérie?
    3-Aucune ressemblance morphologique entre les noms de Tinhinane et Athéna, Sousse et Zeus. Je pense que si le grecs sauront cette association ils seront très fâchés.
    4-Un historien est quelqu’un de spécialiste qui a fait des études en histoire et consacré une bonne partie de sa vie pour elle, et non quelqu’un qui a fait des études en Hydrocarbures ou en Gestions administrative et financière et fait carrière dans ces ces domaines comme Monsieur Tahar Kasmi
    5-L’Algérie a été libérée par tous les Algériens: les Chawis, les Djijeliens, les Annabis, les Constantinois, les Kabyles, les Tlémceniens, les Oranais, les Chelfis, les Médéens, les Djelfaouis, les gens du Sahara. Donc,c’est archi faux de dire que seules les Kabyles ont eu la plus grande contribution ou mérite. A Abane Ramdhane et Krim Belkacem, correspondent les chawis Larbi ben Mhidi, et Benboulaid. Aussi le Constantinois Boussouf était un vrai homme des services secrets

  3. Actuellement ils sont entraine de prendre la chasse au commerce informel en Algerie ( soit disant ayenn i guellen af Uchen Yughel af thighsi ) sans oublier les semi remorques des frontaliers traverse les frontières sans payer un centime aux recettes des douanes ( Chipa ) ou la force du plus fort ( des semi remorques traverse les frontières marocaine vers Oujda et Tlemcen , sans parler les autres transactions frauduleuses dans les ports et les zones franches , donc ils veulent essuyer le couteau au pauvres malheureux dans les ruelles des grandes villes , prennant l´example : tout les marchandises vendu sur les rues et les marchés informels en générale , sont leurs amis (es) de la Chipa et les sacs noir d´argent sale , ainssi le blanchiment d´argents d´étrangersou vers des comptes des sociétés complices étrangères ou sociétés de haj musa et musa el haj = sociétés écrans ( Dubai , Shenzhen , Casa, Turquie et la France en Gle , Espagne, Tunisie , Libye , Syrie , Russie , Serbia , Ukraine, dans les comptes anonymes et secrets ( les détournements , les Messieurs des 10%, corruptions de tout genres , des crimes ………ect ) sur des factures flambée ( de valeurs doublé ou triplé ) ( par example : au lieu d´ Euro sur l´Achat , donc sera 2€ ou 3 € ) dans pour cela ils sont entraine crier sur l´inflation sur le marché nationale dont le dinare est dévaluer depuis longtemps !!!!!!!!!!! aussi de les importations déclarés à 10 milliards de dollars donc sur la facturation sera flambés à 38 milliards de dollars , actuellement ils sont entraine d´evacuer et sortir leur bien de l´Algerie et placer ailleur en cas d´un changement du régime .

    Ur Tanmirt .

  4. Azul

    Méfions nous d’une écriture de notre histoire à l' »algérienne » ou à l’arabe. Il y a des évidences visibles à l’oeil nu qui attestent de l’origine indo-européenne des kabyles (du moins de la civilisation kabyle) qu’on peut étudier avec des méthodes les plus rigoureuse en s’appuyant sur des références solides. Ecrire notre histoire dans le style « les origines arabes de la langue anglaise » me donne déjà quelques maux de têtes. Si vous voyez le discrédit…

    UN HISTORIEN peut s’appuyer sur l’identité des origines de la famille, de la cité (village) entre la société kabyle et les sociétés indo-européennes (italiques, grecques et indienne). L’HISTORIEN peut mettre en évidence l’identité parfaite entre la religion kabyle (ce qui en reste, à travers les témoignages, les rituels, poésie, écrits, …) et les religions des cités italiennes, grecques (issues du culte des ancêtres) et celle de l’Inde d’hier et d’aujourd’hui.

    L’autonomie ou l’indépendance suppose, en premier lieu, le retour à un mode de pensée authentique, au parler vrai de nos parents et ancêtres (awal), le rejet du charlatanisme oriental qui a poussé une grande partie de nos ancêtres à se réfugier dans nos vénérables montagnes et vallées.

    Nous n’avons pas à nous coller aux grecques et aux latins coûte que coûte; il s’agit de défendre notre histoire et notre identité au sein de l’ensemble auquel nous appartenons. Seules des études sérieuses déterminerons les kabyles à un retour au sources et attirerons le respect et la sympathie de la communauté scientifique, premier pas vers une reconnaissance du monde de notre peuple.

  5. Je comprend mieux pourquoi la Grèce est en faillite, tout comme nous les Berbères !! On peut dire que les dieux grecs et amazigh ne sont d’aucune utilité . C’est pour rigoler !! Il parait que du temps de Massinissa, ce pays avait avec la Numidie de très bons rapports, au point ou les Grecques par reconnaissance ont érigé deux statues en l’honneur de cet aguellid amazigh !!

  6. azul

    Mas tahar qasmi racontre des histoires et non l’histoire.on ne peut pas avancer des choses comme ça ou falsifier l’histoire comme le font vos maitres narco-islamo-arabo-terroristes. vous devez apporter des preuves monsieur à chaque fois que vous dites quelques chose. sinon n’importe qui peut faire ça sans meme etre un cadre de sonatrach « plutot pour moi,vous etiez qu’un esclave dans cette entreprise puisque vous produisez pour remplir les poches de vos maitres ,toujours narco-islamo-arabo-terroristes.

  7. Azul

    En voilà un chercheur qui va fièrement au delà des messes protocolaires qui ne cessent d’enchaîner et museler la scène scientifique internationale adepte de la routine culturelle et existentielle.

    Au lieu de sous-estimer le potentiel berbère et la possibilité que ses avancements soient vrais et réalité, j’invite de bon coeur tout les sceptiques à faire des recherches et apporter des faits et preuves pour nous affirmer la légitimité douteuse leurs scepticisme aveugle et injustifié.

    Et pour en finir si quelqu’un sait où puis-je me procurer un écrit, texte, article, livre ou thèse de ce monsieur il n’a qu’à le poster en réponse à ce commentaire et qu’il en soit, d’avance, remercié.

  8. aslama nwen tsirni. tu dis hamid des choses completement fausses. 1. la majorité des algeriens sont Amazighophones pas arabophones. si tu prends les romains,byzantins,européens, comme modéle historique et leurs historiens comme des prophétes et livres sacrés, comme tu n’apas cru la vraie histoire antique amazighe car tes Euro- tes Zoropéens ne l’ont pas écris ou dit notre vraie histoire antique, dans le dictionnaire LAROUSSE de 1999 et j’en ai une copie, dans le coté noms propres, tes Zoropéens-Romains ont écris sur l’algérie: pays avec une superficie….ect .. » avec 28 millions d’habitans,..les kabyles représentent 22 pour cent de la poplation totale « . et ces chiffres sont des chiffres officielles algériens. 2:il n’est pas evident d’adopter la langue et meme la civilisation d’une telle religion, sauf en Arabie, la mésopotamie,l’Assyrie,et la Tamazgha, que les infidéles arabo-baathistes ont adoptés la langue arabe comme un pilier du l’islam,.alors que la majorité des musulmans sont pas arabes. et les arabes sont jamais et jamais des musulmans tous. les français et britaniques ont fait leurs plans depuis le 18éme siecle, ils ont vu que les musulmans peuvent se réunirent en un seul bloc avec l’entité bien sur du l’Islam religion de Dieu soit éxalté,alors avec l’aide fervente des chrétiens du bilad acham(syrie,liban) ils ont barrés la route aux musulmans de s’unifier sous l’égide du l’Islam, ils ont inventés l’idée satanique du  » monde arabe « , l’élément arabe, l’unité arabe, et avec cela ils ont dévier les musulmans (ou moins les Imazighen,assyriens,égyptiens) de l’unité musulmane, et la pensée de ces peuples musulmanes est limitée seulement entre le maroc(Amur bakuc) et l’irak, et au delà de l’irak à l’est et de la syrie au nord on connait jamais les peuples qui habitent. alors qu’au lieu d’etre fier de notre nombre d’un milliard et notre religion musulmane universelle et humaine et porteuse de savoir et de civilisation(çà au temps ou les musulmans chacun garde et combattre pour son Islam, son Territoire et sa Langue Ancestrales); les Arabo-Baathistes Chrétiano-Laiques et Sionisto-Francmaçoniques, ont fait de la langue arabe le pilier sacré du l’Islam que Dieu nous pardonne et ont commencés à changer tous ce qui est mentionné islamique,musulman,amzigh en ARABE. 3/ cher hamid, les personnalités amazighes comme Tarek Uzeyyad, Tarif ben malek et d’autres ont jamais eut des sentiments de stupidité et de trahison envers leurs langue et civilisation amazighs, et ils ont combattés pour l’islam, et pour te faire savoir, la majorité des Imazighen parlent leur thamazighth courament dans toute l’afrique du nord, siwa en égypte,libye,tunisie,niger,mali,burkina-fasso,nigéria,sénégal,mauritanie,maroc et en algérie jusqu’à l’arrivée de vos aimables historiens colonialistes Zoropéens et l’afrique du nord a commencée depuis de reculer toujours jusqu’à ce jour, car la politique britanico-française du 18 et 19éme siécle à bien réussi avec l’aide des Arabes Chrétiens libanais et syriens, (à ce temps là tous les Imazighen sont musulmans du maroc à siwa et du burkina-fasso à la tunisie sont majoritairement Amazighopohnes et tous des Musulmans(d Inselmen) avec une petite communauté juive qui eux dans leur majorité venus de la pininsule ibérique à la fin du16éme siecle fuyant les hordes crimes des Zoropéens Chrétiens qui savaient écrire l’histoire des autres peuples comme nous les Imazighen Ilelliyen. Sedna Omar que Dieu ait son ame;  » نَحْنُ قَوْمٌ أَعَزَّنَا اَللَّهُ بِالْإسْلَامِ، فَـمَتَى اِبْتَغَيْنَا اَلْعِزَّةَ مِنْ غَيْرِ اَلْإسْلَامِ « أَذَلَّنَا اَللَّه.

  9. http://kulturica.com/k/mythologie/athena-deesse-de-la-sagesse/

    Les origines d’Athéna

    Athéna est née au bord du lac Tritonis, lac du dieu Triton.

    Autrefois, un grand lac salé occupait une grande partie de ce que l’on appelle aujourd’hui la Tunisie. Ilse jetait dans la Mediterranée au niveau du Golfe de Gabès. De ce lac légendaire, que les Grecs nommaient lac Tritonis en l’honneur du dieu Triton qui le gouvernait, il ne reste qu’une vaste étendue de sel au milieu du sable, le Chott-el-Jerid, dans la région de Gafsa et de Tozeur.

    La côte nord-ouest de l’Afrique se nommait la Lybie et il semble qu’une importante communauté lybienne se soit installée en Grèce dans un lointain passé.

    Triton était un dieu marin, tels Pontos, Nérée, Thaumas et Phorcys, dont beaucoup font partie de la descendance « monstrueuse » de Gaïa et sont liés aux époques « barbares », avant la prise de pouvoir par Zeus, ce qui signifie que ces divinités sont très anciennes. Triton, lui, passe pour être un enfant de Poséidon, frère de Zeus, et d’Amphitrite, comme le dit Hésiode. Pourtant, il paraît certain que ces divinités marines furent, à l’origine, les divinités tutélaires des diverses tribus qui vivaient autour ou au coeur – les îles – de la Mediterranée.

    Les légendes les plus courantes font d’Athéna la fille de Zeus. Cependant, cette interprétation, comme on le verra, est tardive et pose des problèmes de chronologie. Mais elle est bien commode, car elle établit un lien puissant de vassalité entre la digne et sage déesse et son « supérieur » Zeus, souvent bien moins sage et bien moins digne.

    D’autres légendes font d’Athéna la fille d’un certain Pallas, un géant ailé au corps de bouc, qu’elle massacra alors qu’il tentait d’abuser d’elle. Elle lui arracha la peau, s’en fit une égide et accola son nom au sien, devenant Pallas Athéna.

    Mais, selon d’autres légendes, Pallas était la fille de Triton (ce qui serait appuyé par l’épithète de « Tritogénie » dont on qualifie Athéna), et certains font de Pallas et d’Athéna une seule et même déesse, mais d’autres font de Pallas la compagne de jeux d’Athéna que celle-ci tua accidentellement. On attribue à Triton une autre fille, Tritéia, qui fut une prêtresse d’Athéna.

    Des légendes peu claires relient également Athéna à la Phtiotide, région de la Grèce antique située au fond de l’actuel golfe de Lamia, autour de la ville de Phthie, dont Pélée deviendra le roi. Ces légendes font d’Athéna la fille du roi Itonos, et elle tua sa soeur Iodama en lui montrant la tête de la Gorgone. Mais, selon d’autres légendes, Athéna n’était pas la fille d’Itonos et Iodama était une prêtresse d’Athéna (et fille d’Itonos).

    Pour reprendre les réflexions de Robert Graves, il semblerait donc que ces légendes anciennes témoignent d’une passation de pouvoir (a priori pacifique) du « père » Tritonis vers sa « fille » Athéna (ou Neith…), et que l’on soit passé, à une époque reculée, du patriarcat au matriarcat. Des traditions encore vivaces en Afrique du Nord le confirmeraient.

    L’Athéna olympienne

    Athéna, ou Neith, étant déesse tutélaire du grand peuple lybien dont une importante communauté s’établit en Grèce, il fut difficile aux prêtres de Zeus de minimiser, comme ils le firent pour de nombreuses divinités, l’importance d’Athéna. Ainsi, elle devint la fille aînée et préférée de Zeus, qui alla même, comme le dit la légende, jusqu’à l’enfanter.

    Avant d’épouser sa soeur Héra, Zeus eut plusieurs épouses et de nombreuses concubines. La première de ces épouses fut Métis, nom qui signifie Prudence, une titanide, fille du Ciel et de la Terre. Ce nom à forte teneur philosophique, qui préfigure la sagesse de la future Athéna, nous fait soupçonner une divinité « de circonstance », d’invention tardive.

    Zeus s’unit à Métis, qui fut enceinte d’Athéna. Mais, selon l’oracle de Gaïa, la terre-mère, Métis devait enfanter une fille et son second enfant serait un garçon qui deviendrait plus grand que son père. Zeus, jaloux de sa puissance, avala son épouse et, lorsque le moment d’enfanter fut venu, il fut pris d’un furieux mal de tête et demanda à Héphaïstos (selon d’autres auteurs, il s’agissait de Prométhée) de lui fendre le crâne d’un coup de marteau. Alors, Athéna surgit du crâne de Zeus, armée et casquée, en poussant un cri terrible. Il semble que la mythologie soit en conflit avec sa propres chronologie : Héphaïstos était le fils de Zeus et de Héra, qui s’unirent bien après la naissance d’Athéna, ou même d’Héra seule, sans l’aide d’aucun mâle, qui l’aurait enfanté par dépit après la naissance d’Athéna.

    Athéna, qui combattit avec Zeus et le conseilla au moment de la guerre contre les Titans, fut surnommée « Promachos », « celle qui combat en première ligne ». Elle fait partie des 12 dieux olympiens. Dans l’Odyssée, pour appuyer l’importance de leurs dires, il est fréquent que les héros de l’histoire s’exclament : « Zeus père, Athéna, Apollon ! »

    Athéna, qui est sans doute très belle comme toutes les déesses, bien qu’un peu sévère, n’est pas, contrairement à Aphrodite, susceptible sur le plan de la beauté. Pourtant, elle participa au « concours de la pomme » : lors des noces de Pélée et de Thétis, la déesse de la discorde Éris fit rouler une pomme d’or, où étaient gravés les mots « à la plus belle », aux pieds d’Héra, d’Athéna et d’Aphrodite qui devisaient ensemble. Elles choisirents Pâris, le prince troyen, comme juge, et celui-ci élit Aphrodite, qui lui promit en échange l’amour de la plus belle femme du monde, la belle Hélène, reine de Sparte. C’est l’objet de l’un des plus beaux ouvrages lyriques français, et peut-être le plus drôle, la Belle Hélène d’Offenbach.

    Mais le rire sera de courte durée, car cet épisode sera la cause de la guerre de Troie : Pâris enlèvera Hélène et les Grecs partiront en guerre contre Troie pour la récupérer. Héra, et surtout Athéna, se prirent de haine pour Pâris et pour toute la cité de Troie et, lors de la guerre qui suivit, les deux déesses intervinrent constamment dans le cours des évènement : Héra, depuis l’Olympe en tentant d’influencer Zeus ; et Athéna, sur le champ de bataille, au milieu des combats, pour ruiner les Troyens.

    Pourtant, Athéna se retourna contre un Grec au cours du sac de Troie : Ajax, qui était à la fois vaillant et cruel, viola la princesse et devineresse Cassandre dans le temple même d’Athéna où elle s’était réfugiée. Elle submergea tous les vaisseaux d’Ajax lorsqu’il rentra chez lui et, empruntant sa foudre à Zeus, elle foudroya le héros sur le rocher où il se réfugia après avoir échappé au naufrage.

    Plus tard, elle assistera alternativement Ulysse lors de son long périple qui le ramena de Troie à son île d’Ithaque, et son fils Télémaque, qu’elle poussa à partir à la recherche de son père, afin qu’il se tînt à l’écart des prétendants qui menaçaient de la tuer, et qu’il acquît, par ces voyages, connaissances et mérites.

  10. http://kulturica.com/k/mythologie/athena-deesse-de-la-sagesse/

    Les origines d’Athéna

    Athéna est née au bord du lac Tritonis, lac du dieu Triton.

    Autrefois, un grand lac salé occupait une grande partie de ce que l’on appelle aujourd’hui la Tunisie. Ilse jetait dans la Mediterranée au niveau du Golfe de Gabès. De ce lac légendaire, que les Grecs nommaient lac Tritonis en l’honneur du dieu Triton qui le gouvernait, il ne reste qu’une vaste étendue de sel au milieu du sable, le Chott-el-Jerid, dans la région de Gafsa et de Tozeur.

    La côte nord-ouest de l’Afrique se nommait la Lybie et il semble qu’une importante communauté lybienne se soit installée en Grèce dans un lointain passé.

    Triton était un dieu marin, tels Pontos, Nérée, Thaumas et Phorcys, dont beaucoup font partie de la descendance « monstrueuse » de Gaïa et sont liés aux époques « barbares », avant la prise de pouvoir par Zeus, ce qui signifie que ces divinités sont très anciennes. Triton, lui, passe pour être un enfant de Poséidon, frère de Zeus, et d’Amphitrite, comme le dit Hésiode. Pourtant, il paraît certain que ces divinités marines furent, à l’origine, les divinités tutélaires des diverses tribus qui vivaient autour ou au coeur – les îles – de la Mediterranée.

    Les légendes les plus courantes font d’Athéna la fille de Zeus. Cependant, cette interprétation, comme on le verra, est tardive et pose des problèmes de chronologie. Mais elle est bien commode, car elle établit un lien puissant de vassalité entre la digne et sage déesse et son « supérieur » Zeus, souvent bien moins sage et bien moins digne.

    D’autres légendes font d’Athéna la fille d’un certain Pallas, un géant ailé au corps de bouc, qu’elle massacra alors qu’il tentait d’abuser d’elle. Elle lui arracha la peau, s’en fit une égide et accola son nom au sien, devenant Pallas Athéna.

    Mais, selon d’autres légendes, Pallas était la fille de Triton (ce qui serait appuyé par l’épithète de « Tritogénie » dont on qualifie Athéna), et certains font de Pallas et d’Athéna une seule et même déesse, mais d’autres font de Pallas la compagne de jeux d’Athéna que celle-ci tua accidentellement. On attribue à Triton une autre fille, Tritéia, qui fut une prêtresse d’Athéna.

    Des légendes peu claires relient également Athéna à la Phtiotide, région de la Grèce antique située au fond de l’actuel golfe de Lamia, autour de la ville de Phthie, dont Pélée deviendra le roi. Ces légendes font d’Athéna la fille du roi Itonos, et elle tua sa soeur Iodama en lui montrant la tête de la Gorgone. Mais, selon d’autres légendes, Athéna n’était pas la fille d’Itonos et Iodama était une prêtresse d’Athéna (et fille d’Itonos).

    Pour reprendre les réflexions de Robert Graves, il semblerait donc que ces légendes anciennes témoignent d’une passation de pouvoir (a priori pacifique) du « père » Tritonis vers sa « fille » Athéna (ou Neith…), et que l’on soit passé, à une époque reculée, du patriarcat au matriarcat. Des traditions encore vivaces en Afrique du Nord le confirmeraient.

    L’Athéna olympienne

    Athéna, ou Neith, étant déesse tutélaire du grand peuple lybien dont une importante communauté s’établit en Grèce, il fut difficile aux prêtres de Zeus de minimiser, comme ils le firent pour de nombreuses divinités, l’importance d’Athéna. Ainsi, elle devint la fille aînée et préférée de Zeus, qui alla même, comme le dit la légende, jusqu’à l’enfanter.

    Avant d’épouser sa soeur Héra, Zeus eut plusieurs épouses et de nombreuses concubines. La première de ces épouses fut Métis, nom qui signifie Prudence, une titanide, fille du Ciel et de la Terre. Ce nom à forte teneur philosophique, qui préfigure la sagesse de la future Athéna, nous fait soupçonner une divinité « de circonstance », d’invention tardive.

    Zeus s’unit à Métis, qui fut enceinte d’Athéna. Mais, selon l’oracle de Gaïa, la terre-mère, Métis devait enfanter une fille et son second enfant serait un garçon qui deviendrait plus grand que son père. Zeus, jaloux de sa puissance, avala son épouse et, lorsque le moment d’enfanter fut venu, il fut pris d’un furieux mal de tête et demanda à Héphaïstos (selon d’autres auteurs, il s’agissait de Prométhée) de lui fendre le crâne d’un coup de marteau. Alors, Athéna surgit du crâne de Zeus, armée et casquée, en poussant un cri terrible. Il semble que la mythologie soit en conflit avec sa propres chronologie : Héphaïstos était le fils de Zeus et de Héra, qui s’unirent bien après la naissance d’Athéna, ou même d’Héra seule, sans l’aide d’aucun mâle, qui l’aurait enfanté par dépit après la naissance d’Athéna.

    Athéna, qui combattit avec Zeus et le conseilla au moment de la guerre contre les Titans, fut surnommée « Promachos », « celle qui combat en première ligne ». Elle fait partie des 12 dieux olympiens. Dans l’Odyssée, pour appuyer l’importance de leurs dires, il est fréquent que les héros de l’histoire s’exclament : « Zeus père, Athéna, Apollon ! »

    Athéna, qui est sans doute très belle comme toutes les déesses, bien qu’un peu sévère, n’est pas, contrairement à Aphrodite, susceptible sur le plan de la beauté. Pourtant, elle participa au « concours de la pomme » : lors des noces de Pélée et de Thétis, la déesse de la discorde Éris fit rouler une pomme d’or, où étaient gravés les mots « à la plus belle », aux pieds d’Héra, d’Athéna et d’Aphrodite qui devisaient ensemble. Elles choisirents Pâris, le prince troyen, comme juge, et celui-ci élit Aphrodite, qui lui promit en échange l’amour de la plus belle femme du monde, la belle Hélène, reine de Sparte. C’est l’objet de l’un des plus beaux ouvrages lyriques français, et peut-être le plus drôle, la Belle Hélène d’Offenbach.

    Mais le rire sera de courte durée, car cet épisode sera la cause de la guerre de Troie : Pâris enlèvera Hélène et les Grecs partiront en guerre contre Troie pour la récupérer. Héra, et surtout Athéna, se prirent de haine pour Pâris et pour toute la cité de Troie et, lors de la guerre qui suivit, les deux déesses intervinrent constamment dans le cours des évènement : Héra, depuis l’Olympe en tentant d’influencer Zeus ; et Athéna, sur le champ de bataille, au milieu des combats, pour ruiner les Troyens.

    Pourtant, Athéna se retourna contre un Grec au cours du sac de Troie : Ajax, qui était à la fois vaillant et cruel, viola la princesse et devineresse Cassandre dans le temple même d’Athéna où elle s’était réfugiée. Elle submergea tous les vaisseaux d’Ajax lorsqu’il rentra chez lui et, empruntant sa foudre à Zeus, elle foudroya le héros sur le rocher où il se réfugia après avoir échappé au naufrage.

    Plus tard, elle assistera alternativement Ulysse lors de son long périple qui le ramena de Troie à son île d’Ithaque, et son fils Télémaque, qu’elle poussa à partir à la recherche de son père, afin qu’il se tînt à l’écart des prétendants qui menaçaient de la tuer, et qu’il acquît, par ces voyages, connaissances et mérites.

  11. azul fellawen
    @a dada hamid,
    certes l’algerie a ete liberé par ses enfants.ce que vous ne savait pas que benoulaid et larbi benmhidi etaient venus a la revolution grace a didouche mourad par l’intermediaire d’un tailleur de biskra pour organiser le maquis des AURES et les kabyles ont le grand merité d’avoir fait toutes les revolutions…ce qui m’intrigue a chaque q’un kabyle fait quelques choses de bon pour cette terrez,le chaoui critique…rendre a cesar ce qui apprtient a cesar..!
    un jour viendra on etudiera le mythe chaoui et ses legendes…!
    -quant a kasmi tahar meme si il avait fait les hydrocarbures comme formation de base,mais reste connaisseur et cridible dans ses theses. -en quoi vous gene et vous derange que les amazigh ont fait la grece….quelle mesquenerie,quelle jalousie…!-essayez de voir combien de martyrs tomés au champs d’honneur dans toutes les wilaya…voius allez avoir des surprises meme sont qui sont morts dans les aures,idough,tisemsilt,oran,tebessa ou ailleurs sont kabyles….vraiment a dadda vous avez un syndrome de stokolm,quelle ingratitude amere qui vient d’un frere ou taymat..! tanmirt ar timlillit.

  12. C est ceux qui ont la soif pour l’argent et le pouvoir et ceux qui ont pendu les heros qui ont écrit l’histoire de tout l’hunivers et pas les heros. Même les sculteurs des montagnes n’était pas épargnés. Vous parlez des amazigh alors que c est un sujet hors dimenssion comme la physique moderne il faut voyager mais pas lire.
    Et je pense que dès qu on abord la question amazigh on se met on garde mais c est une vérité qui doit être protégée par des mensonges.

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