Les images montrées aux algériens le démontent – Le glas a sonné pour Bouteflika !

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Ce n’est plus un doute. Le chef d’état algérien est dans une situation d’incapacité d’assurer la gestion du pays. Son rêne fait désormais partie du passé des algériens même si il est toujours en vie. Ce sont les images même montrées par la télévision officielle du régime d’Alger qui le montre et le démontre. Les quelques minutes montrées à la télévision de Bouteflika qui n’arrive même pas à bouger ses lèvres ont fait comprendre à tous les algériens que les décideurs ne font que gagner de temps et les officiels, notamment, Sella a menti sur toute la ligne à son peuple concernant la santé et l’avenir de Bouteflika au pouvoir. L’avis est partagé ce matin pas les algériens et y compris par les rares fidèles de Bouteflika à Alger. La presse écrite algérienne, notamment celle qui jouit d’un peu d’indépendance et de crédibilité, était unanime aujourd’hui sur la gravité de l’état de santé de Bouteflika. Les algériens n’ont entendu aucun mot de leur chef d’état. Les journalistes présents lui ont pourtant tendu des micros, mais aucun soufflement n’a été enregistré. Bouteflika, victime d’un AVC, n’a pas pu prononcer un mot. Il est resté aphone et muet. Le de Gaïd Salah, chef de l’armée algérienne, à montrer à côté de Bouteflika n’est pas fortuit. C’est une façon de dire à ‘opinion internationale que c’est Bouteflika qui est le maître à bord en Algérie, alors que le monde entier sait que rien ne peut se faire en Algérie sans l’aval de la DRS. Quant à Sellal il faisait semblant d’écouter attentivement les orientations de sa majesté. Les séquences montrées par la télévision algérienne, 24 heures après ses enregistrements, sont dignes des scènes du tournage de films et de mise en scène. Pourquoi les images n’ont pas été diffusées en direct ? Pourquoi le chef d’état n’a pas soufflé un mot ? Tout le monde a remarqué que Bouteflika ne pouvait pas tout son côté droit, donnant l’impression d’être paralysée. Son regard et resté figé est plongé dans le néant comme un cadavre.
Recruté par une caste de généraux en 1999, Bouteflika n’a quitté le pouvoir que par l’obligation biologique. Triste sort pour un dictateur arabes les plus peureux!

Youva Ifarwen

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