Après Tarik Djerroud qui est passé le samedi 8 mars pour présenter son dernier né « un cœur à prendre », le samedi dernier, ce fut au tour de Malika Arabi d’être l’hôte du centre culturel d’Aokas pour y animer une conférence. « Eclats de vie » et « Sur les traces de mon père » étaient à l’honneur lors de cette rencontre avec une population avide de culture.
Dans une ambiance conviviale, à cœur ouvert, l’auteure s’est livrée au jeu des questions-réponses en mettant en exergue la menace islamiste d’autant plus qu’elle est convaincue que l’opium des peuples est incontestablement la religion.
Le débat était aussi l’occasion de revenir sur son récit, une autobiographie où son histoire est liée au destin de sa famille. Initialement enseignante, elle versera instinctivement dans l’écriture qu’elle considèrera par la suite comme un besoin vital pour survivre.
Elle profitera également pour parler de la condition féminine et fustigera le discours hypocrite des hommes à l’égard de la femme. D’ailleurs son récit raconte la soumission de la femme à l’homme dans une région où le mâle est dominant par la force des choses et des traditions imposées en réalité par l’homme. Elle reste d’ailleurs sceptique quant à l’évolution des choses dans ce domaine mais voit plutôt d’un autre œil la question de l’identité kabyle.
Amaynut
jamais vous ne trouverez un arabe ,saoudien;quatari,yemenite qui s’appelerait KABAYLI
Alors de grâce pourquoi certains kabyles affublés de nom ARABE continuent ils à porter ce nom patronymique colonial arabe qui les opprime?!!!
{{La décolonisation du joug arabomusulman commence par soi même!}}
Mme malika arabi ,avec tous nos respects ,vous defendez la kabylie ,comme beaucoup de nos soeurs et freres kabyles conscients d’être toujours des colonisés,nous vous en sommes grés de nous rejoindre dans ce combat pour la liberté.
Mais celà étant dit,{{Massa ARABI}} hier,nos parents,étaient sous l’oppression coloniale apartheid français et ses ramassis de suppletifs apatrides »franco-italoespano-malto- alsaço gitanoandalou » appeles « pieds noirs » devenus maîtres de nos pauvres defaitistes aieux qui les ont supportés plus d’un siécle avant que le peuple kabyle ne se débarasse de ce ramassis de colons « pieds noirs »d’apatrides devenus des HOMMES sous la protection coloniale française .
Nous savons ,hélas,les dégâts causés par ce colonialisme français à notre peuple kabyle en le depersonnalisant, à cause de ses diaboliques « bureauxarabes » qui ARABISAIENT par un genocide identitaire nos noms patronymiques ,les appellations de notre terroir kabyle,ses villes,villages,ses contrees,l{{es acifs devenus des oueds,les ait ath devenus des ben des bou}} et surtout des kabyles ,comme vous ,devenus {{DES ARABIS}}!!
Le colonialisme apartheid français à donner le relai à la pire des colonisations,l’araboislamisme,qui depuis plus de 50ans,ne cesse de vouloir anéantir identitairement,territorialement et économiquement la kabylie en la fagocytant dans l’araboislamisation tout azimuth par la force des armes,par le feu et le sang du terrorisme d’état de la colonisation arabomusulmane
{{Alors n est il pas temps de penser d abord à décoloniser sa propre personnalité kabyle par tout cette araberie coloniale dont elle est affublée?}}