La cagnotte du secteur de la jeunesse et des sports dans la wilaya de Tizi-Ouzou est de pas moins de 42 milliards de DA dont 35 sont réservés au stade de 50.000 places de Oued-Falli. Peu de wilayas à travers le territoire national jouissent d’un tel « trésor ». Et pourtant, la wilaya de Tizi-Ouzou traîne un déficit énorme en matière d’activités et manifestations sportives.
C’est ce qu’ a souligné Abdelkader Bouaghzi hier à l’occasion des travaux de conseil de wilaya qu’il a dirigés et consacrés au secteur de la jeunesse et des sports. Le wali a ajouté que 119 opérations dont certaines sont antérieures à l’année 2005 sont en cours de réalisation. Le premier commis de l’Etat de Tizi-Ouzou a ajouté qu’en dépit de son importance, le secteur de la jeunesse et des sports reste indigent en matière de production. Il a également révélé qu’au cours de l’année 2011, c’est le secteur qui a consommé le moins de crédits. Toutefois, Abdelkader Bouaghzi a félicité Abderrahmane Oultache, le nouveau directeur de la jeunesse et des sports de la wilaya qui, depuis son arrivée à Tizi-Ouzou, a « bousculé » l’ordre des choses puisqu’il a relancé toutes les opérations en souffrance et tiré les dossiers mis sous les boisseaux par ses prédécesseurs.
Abderrahmane Oultache a même pris l’engagement de finaliser l’ensemble des programmes de son département d’ici la fin de l’année 2014. La grande question est de savoir si l’homme respectera ses engagements tant les opérations (119) sont nombreuses et les programmes volumineux. En tout cas, Abdelkader Bouaghzi, connu pour sa rationalité et ses vecteurs des réalités, n’a pas manqué de relever que si les programmes venaient à être achevés d’ici la fin de l’année 2014, il en serait un miracle.
S’agissant de la politique à suivre concernant la prise en charge réelle et effective de la jeunesse, le wali a considéré que cela est avant tout du ressort des présidents des APC et des chefs de daïras avant d’être des prérogatives de la direction de la jeunesse et des sports de la wilaya. En effet, selon Abdelkader Bouaghzi, les autorités locales, de par leurs contacts permanents avec la jeunesse, doivent recenser leurs besoins en matière d’activités sportives et loisirs et arrêter à cet effet les conditions de leurs concrétisations. Cela sous-entend les terrains à dégager pour la réalisation des infrastructures sportives nécessaires et l’ensemble des éléments y afférents ainsi que l’environnement adéquat aux aspirations des jeunes.
Le wali de Tizi-Ouzou a aussi insisté sur le rôle à faire jouer à la jeunesse – et d’ailleurs est le sien – dans l’ensemble des vecteurs de la société notamment la protection de l’environnement. « Dans ce contexte précis, a indiqué Abdelkader Bouaghzi, c’est à nous que revient la mission d’assurer un encadrement nécessaire à nos jeunes ». Lors de la prise de parole des chefs de daïras et élus locaux, Il était loisible de constater l’énorme écart entre les souhaits et les aspirations des responsables et la réalité du terrain. Dans certains cas, c’est le cadre juridique qui fait ombrage à la réalisation des infrastructures de jeunesse et les manifestations sportives. C’est le cas de la base nautique de Tigzirt. La base en question sera cédée à l’armée. Et en attendant, Il y règne toute sorte d’activés exceptés celles dites « sportives ». Le chef de daïra de cette commune maritime, Aïssa Mesrane, a déploré que les espaces de cette dite base ne soient pas exploités à bon escient. Pris en aparté, ce chef de daïra a révélé que la base nautique est utilisée pour « l’organisation des fêtes et plus, plus, plus… ».
Dans certaines communes, les infrastructures sportives sont à l’abandon total et de fait, sont devenues les lieux de prédilection des voyous et autres adeptes des jouissances interdites et prohibées par la morale. Dans sa « plaidoirie », Abderrahmane Oultache a promis que les choses ne resteront pas dans l’état actuel. A la lecture de son rapport sur les actions réalisées et à réaliser, l’espoir est cependant permis. En tout cas, la wali lui a, rappelons-le, donné un satisfecit.
En effets tout ces rapaces de l administration en Kabylie sont involontairement tromper dans un engrenage de corruption et n ont occune possibilité d échapper à l état quand il leurs ai nécessaire de les utiliser dans la traîtrise de leur frères.je souhaite que si en ca de comflis avec la France arabia d’Algérie ces éléments la doivent être mis en quarantaine et surveiller de très près ils se snt fait comme traître endormis, car ont trop bouffer à la merde de l’état et doive leurs rendre des contes.