GHARDAIA (Tamurt ) – Suite à la dégradation de son état de santé, plusieurs voix se sont élevées pour exiger des autorités algérienne de lui prodiguer les soins nécessaire et cela conformément aux conventions et traités internationaux relatif aux doits humains. La mobilisation paye. Le Dr fekhar est enfin transféré à l’hôpital de Mnéa.
La mobilisation doit s’intensifier pour la libération immédiate et inconditionnelle de tous les détanus mozabites, arbitrairement et injustement jetés en prison.
pas sous le régime du drs j’espere!et puis si il lui arrive quelques choses ,il faut qu’ils sachent qu’entre eux et nous,je parle du pouvoir arabiste et des amazighs,la poire est définitivement coupée en deux.car apres ca il n’y’ aura plus d’algeriens,mais des berberes contre les arabes.-
la poire ça fait très longtemps qu’elle est divisé. leur part ils l’on dévoré, notre part on vas essayer de l’implanter pour avoir l’arbre fruitier à vie.
Tanemirt Citizen Kabyle
Parmi nous les amazigh s……..on à des laches collaborateurs. .c grâce à eux que le régime khoroto malg de merde encore en place……..he oui.
C’est bien, il ne faut pas relâcher la pression, mais qui peut leur faire confiance, il sont capables de lui inoculer le virus du sida ou un virus d’une maladie grave. Ils sont tellement machiavéliques. Honte aux ong internationales qui activent dans le domaine des droits de l’homme et qui ne répondent pas aux sos et appels de détresse des avocats, de la famille et des amis de kamel Fekhar.
Obama s’est prononce’ a partir d’Ethiopie et si et si les caniches Europeens faisaient de meme, les choses seraient autres… Tant que le monde est divise’ en 2, ces rapaces arrivent a faire jouer aux grands bulldogs, les uns contre les autres. La seule chose qui puisse payer vraiment, c’est la multiplication par 10 des deguats, qu’ils et leurs rejetons et interets incluant leurs relais paieraient, a chaque fois – la, la formule Matoub (la peur doit changer de camps), porterait des fruits/interets. Tant que cette variable est absente de l’equation, leur champs de manoeuvre est suffisemment libre… C’est injuste l’injustice, mais elle est certainnement plus supportable quand c’est les autres qui la subissent. La preuve est en Egypte, les khawteks, criaient « dimokhratia ! »