COMMUNIQUE (Tamurt) – Le caricaturiste kabyle Ghilas Ainouche vient d’être licencié par son employeur, le site algérien TSA, pour avoir exprimé son engagement pour la liberté de son peuple.
Ghilas est coupable de son courage de dire la vérité. C’est la preuve que le pouvoir algérien contrôle la presse dite privée et ne lésine sur aucun moyen pour museler la parole souverainiste kabyle. Avant le caricaturiste kabyle, un autre blogueur Merezoug Touati est en train de subir les affres des geôles algériennes pour le même motif: l’exercice de son droit à la libre expression et l’accomplissement de son devoir d’informer.
Nous apportons notre soutien indéfectible à Ghilas Ainouche et appelons le peuple kabyle à une solidarité agissante pour mettre un terme à cette injustice qui frappe nos journalistes et qui n’a que trop duré. Jacques Prévert disait : « Quand la vérité n’est pas libre, la liberté n’est pas vraie ».
Vivement une République kabyle indépendante
Bouaziz Ait Chebib