 – La présidente du Comité international pour la libération de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, Noëlle Lenoir, également ancienne ministre française aux Affaires européennes, fait face à une campagne acharnée de diffamation, d'insultes et même de menaces de mort, émanant des réseaux proches du régime d'Alger.){kind=link}
FRANCE (TAMURT) – La présidente du Comité international pour la libération de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, Noëlle Lenoir, également ancienne ministre française aux Affaires européennes, fait face à une campagne acharnée de diffamation, d’insultes et même de menaces de mort, émanant des réseaux proches du régime d’Alger.
Pourtant, Noëlle Lenoir ne fait que demander activement la libération de Boualem Sansal. Le Journal Du Dimanche français a révélé dans sa dernière édition que le pouvoir algérien a mobilisé d’énormes moyens financiers et humains rien que pour tenter de discréditer Noëlle Lenoir et aussi d’autres opposants au régime algérien, surtout les Kabyles indépendantistes.
Le journal a révélé aussi que même en France des associations qui roulent pour le régime d’Alger sont actionnées pour accentuer la pression sur la présidente du Comité international pour la libération de Boualem Sansal. Le journal cite l’association « l’Union algérienne » et « SOS Racisme », qui ont porté plainte en France contre Noëlle Lenoir, dans l’espoir de la dissuader de continuer son combat pour la libération de Sansal.
Peine perdue. L’acharnement du régime algérien contre un simple écrivain qui n’a fait qu’exprimer ses opinions démontre sa faiblesse et surtout sa fébrilité contre toute voix contestataire. Le JDD demande à l’association « Union algérienne » et à SOS Racisme : pourquoi ils n’ont pas porté plainte contre les influenceurs algériens en France qui insultent les Kabyles et les leaders indépendantistes ?
Au fait, la presse française et une certaine classe politique commencent enfin à évoquer la répression du régime algérien contre le peuple kabyle et à parler même de l’indépendance de la Kabylie.
Idir Yatafen
Moi, kabyle, je soutiens Noëlle Lenoir pour tout ce qu’elle avait dit sur le régime algérien… Le régime algérien est un régime autoritaire, mafieux, corrupteur, corrompu, illégitime, anti-kabyle, etc. Tous les kabyles emprisonnés pour délit d’opinion doivent être tous libérés, ainsi que le grand écrivain très aimé, en l’occurrence Boualem Sansal. Boualem Sansal est loin d’être Yasmina Khadra le brosseur du régime algérien. Il déteste les kabyles et est haineux par-dessus le marché. À nous, kabyles, d’imposer l’indépendance, c’est un droit international, de toutes les régions kabylophones, et ce, pour vivre nos spécificités kabyles.