 – Sur les 38 détenus politiques de Larbaa Nat Irathen, condamnés dans un procès expéditif à la perpétuité, deux sont déjà morts dans les geôles du régime raciste algérien. Un, l'année passée, et un deuxième la semaine dernière. Les autorités algériennes ont exigé des familles des détenus de ne pas révéler cette information.){kind=link}
LARBAA NAT IRATHEN (TAMURT) – Sur les 38 détenus politiques de Larbaa Nat Irathen, condamnés dans un procès expéditif à la perpétuité, deux sont déjà morts dans les geôles du régime raciste algérien. Un, l’année passée, et un deuxième la semaine dernière. Les autorités algériennes ont exigé des familles des détenus de ne pas révéler cette information.
« On nous a menacés de tuer tous les détenus de Larbaa Nat Irathen si jamais nous révélons la mort de ces deux détenus à la presse et on est menacés aussi de ne jamais organiser ni action de protestation, ni parler à la presse ou aux partis politiques et surtout de ne jamais contacter les ONG. Le régime algérien est déjà passé à l’acte en transférant tous les détenus de Larbaa dans des prisons du Sud, à Béchar, Ouargla, etc. Ils ont déjà tué deux de ses détenus. Sincèrement on a peur pour les autres détenus. Ils ont été certainement torturés. Je ne peux pas citer de noms, mais la plupart des proches des détenus de Larbaa Nat Irathen ont déjà perdu leurs emplois », nous confie un habitant de Larbaa Nat Irathen.
Effectivement, les proches des détenus vivent une situation dramatique et sous la menace permanente. Une source fait état même de la confiscation de tous les passeports des proches des détenus, mais on ne sait pas si c’est vrai car les concernés refusent de parler de peur des représailles de la sécurité militaire. « Un bureau spécial d’une équipe de la sécurité militaire algérienne est installé au secteur militaire de Tizi Ouzou pour surveiller de près les proches des détenus de Larbaa Nat Irathen », nous confie un élu local de la commune de LNI.
« Les services de sécurité algériens étaient affolés lorsqu’ils ont appris que les proches des victimes ont voulu internationaliser cette affaire. Ils ont peur des preuves irréfutables de l’innocence des jeunes de Larbaa et de l’implication directe des services de sécurité algériens qui ont exécuté Djamel Ben Smail », ajoute l’élu en question. L’affaire de Larbaa Nat est loin de connaître son épilogue.
Idir Yatafen
Le plus grand affront que l’on puisse faire pour ces martyrs et de ne pas prononcer ou ecrire leurs noms.
Alors, de grace dites nous qui ils ou elles sont !
Il faut s’attendre au pire avec le gouvernement terroriste d’Alger
Mon cousin était sorti de prison complément malade ( empoisonner par ses bâtards ) il decede quelques mois après
Il on aura d’autres malheureusement tant que les traîtres et les complices pullulent en Kabylie même en dehors de la kabylie ( y compris dans la diaspora il y a des vendus bien placé )
Regarder le sort reservé au fils de AMIROUCHE LE LIBERATEUR DE CETTE MAUDITE ALGERIE !
Actuellement condamné par empoisonnement des services dz.
On apprend rien de l’histoire c’est dingue !?
AT dwala en force pour une Kabylie Kabyle et rien d’autres .
( Chacun sa merde )
Que c’est triste. Quelle terrible nouvelle et quelle injustice. Comment nous kabyles pouvons-nous rester insensibles? Il faut absolument briser les chaînes du silence et de la peur. Il faut internationaliser cette affaire comme a commencé à le faire le MAK. Ils vont sûrement empoisonner nos prisonniers pour les tuer à petit feu comme avec Nordine Ait Hamouda et d’autres qui ont été relâchés et qui sont malades