l’Algérie et le Polisario dans un sale pétrin

ALGÉRIE (TAMURT) – Le glas a sonné pour la chimérique « République arabe sahraouie », créée de toute pièce par le criminel Boumediene en 1975. Les États-Unis exigent de l’Algérie qu’elle accepte la proposition marocaine dans le dossier des tirretoirs du sud marocain. L’Algérie est dos au mur. L’organisation de la milice du Polisario sera classée bientôt par les USA et l’Union européenne comme organisation terroriste, ce qui signifie qu’elle sera laminée d’une manière ou d’une autre.

L’Algérie n’a aucun choix sauf celui d’abandonner le Polisario, sinon elle sera exposée à de graves sanctions internationales. La souveraineté du Maroc sur les territoires du Sud est reconnue par presque le monde entier.  Trump compte même ouvrir un consulat dans le Sud. Même les habitants de ces tirretoirs, dont certains sont pris en otage par l’Algérie dans les camps de Tindouf, sont les premiers à exprimer leur joie en voyant les puissances de ce monde se pencher sur leur cas et en finir avec cette histoire de Polisario qui n’a que trop duré.

À vrai dire, plus de la moitié des effectifs de la milice du Polisario est composée de militaires algériens, dont certains sont Kabyles même. Ils sont nombreux ces derniers temps à avouer qu’ils ont passé des années dans les rangs du Polisario, et étaient présentés par l’Algérie comme des combattants de la République arabe sahraouie. Que fera l’Algérie devant la détermination de Trump d’en finir avec les terroristes du Polisario ? 

Le Maroc a triomphé. Un pays qui a fait le choix de s’allier avec les USA et Israël au moment où l’Algérie croit encore à la dictature et s’allie même avec l’Iran. 

Idir Yatafen