 — Les intimidations contre Tamurt ne sont pas nouvelles, mais ces derniers jours, elles ont franchi un cap inquiétant. Alors que nos collaborateurs demeurent anonymes pour se protéger, le directeur du journal, Lyazid Abid, fait l’objet de menaces de mort et de représailles, attribuées par plusieurs sources aux services de sécurité algériens et à leurs relais.){kind=link}
KABYLIE (TAMURT) — Les intimidations contre Tamurt ne sont pas nouvelles, mais ces derniers jours, elles ont franchi un cap inquiétant. Alors que nos collaborateurs demeurent anonymes pour se protéger, le directeur du journal, Lyazid Abid, fait l’objet de menaces de mort et de représailles, attribuées par plusieurs sources aux services de sécurité algériens et à leurs relais.
Une vague de menaces depuis le vote à l’ONU
Depuis le vote du Conseil de sécurité de l’ONU en faveur du plan marocain sur le Sahara occidental, les pressions se sont brutalement intensifiées.
Un réflexe classique des régimes autoritaires : incapables d’assumer leurs échecs sur la scène internationale, ils redoublent de férocité envers les voix qu’ils ne contrôlent pas.
Tamurt ne cédera pas
Malgré ces attaques, la rédaction de Tamurt reste inflexible. Notre journal continuera de défendre la cause kabyle, son droit à l’autodétermination et sa liberté d’expression, sans se plier aux intimidations ni aux pressions politiques.
Des recours en justice envisagés
La direction de Tamurt annonce qu’elle se réserve le droit de porter plainte devant les instances internationales dès que les auteurs de ces menaces auront été formellement identifiés. Ceux qui cherchent à faire taire notre rédaction devront répondre de leurs actes.
La rédaction