AOKAS (Tamurt) – Pour la deuxième fois en un semestre, le linguiste et professeur ayant exercé à l’université de Bougie, Foudil Cheriguen, a été l’invité du café littéraire d’Aokas.
Il y a animé, dans l’après-midi du samedi, une conférence intitulée « Ces langues que l’ont dit maternelles ». Le kabyle dont la transcription doit être en caractères latins a été le point crucial des débats. Pour le conférencier, la volonté du pouvoir algérien quant à la transcription de Tamazight en caractères arabes répond à une idéologie arabo-musulmane pour en faire une variante de la langue arabe.
Amaynut pour Tamurt
tamazight en latin ou rien, le combat continu